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Portraits / Interviews

Mais que devient Dario Minieri ?

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Le poker fabrique quelques idoles, mais peu résistent à l’usure du temps. C’est en tout cas la conclusion à laquelle arrive un confrère italien de la presse poker qui s’est récemment demandé ce qu’était devenu Dario Minieri.

Souvenez-vous, c’était il y a cinq ans à peine, une broutille à l’échelle du siècle mais une éternité en temps poker : un jeune italien au visage d’ange débarquait à Las Vegas à peine en âge de jouer au casino, avec une bankroll de quelques dizaines de milliers de dollars.

Ses amis étaient les pros italiens du circuit : Luca Pagano, Max Pescatori ou Jennifer Harman. Pendant cet été-là, à Las Vegas, Dario Minieri avait vécu une existence de High-roller : les nuits qui rapportent des fortunes, et les petits matins qui vous rendent broke… A force, il avait même revendu sa montre or et diamant pour pouvoir financer sa fin de séjour.

Suite à ce difficile été, Minieri avait été de tous les bons coups : finales de l’European Poker Tour, invité (malheureux) de High Stakes Poker où il n’avait pas spécialement brillé contre les sharks locaux, débuts de tournois en fanfare, souvent suivis par un classique « blow up » où l’Italien ne savait pas baisser de rythme.

Résultat, l’année 2010-2011 est à l’image de sa carrière absente depuis quelques temps : pas de cash conséquents en tournois, peu d’exposition médiatique ou télévisuelle. Pourtant, Minieri est selon tous les pros un bon joueur, mais parfois trop enclin à un jeu sur-agressif qui ne sait pas changer de registre.

Avec l’avènement du jeu solide et agressif de la nouvelle génération online, le côté tête brûlée de Minieri semble clairement le desservir… A quelques jours d’une nouvelle saison de l’Italian Poker Tour, que va devenir le petit prodige de Venise ?

03-Feb-2011 Italy € 3,000 No Limit Hold’em – Main Event
WPT Venice, Venice
40th € 7,660 $ 10,449
15-Jan-2011 Bahamas $ 5,000 NAPT Bounty Shootout
PokerStars Caribbean Adventure, Paradise Island
4th $ 10,000
19-Oct-2010 Italy € 3,200 No Limit Hold’em – Pro League Entry restricted
IPT San Remo 2, Sanremo
1st € 52,000 $ 72,474
26-Jun-2010 United States $ 2,500 World Championship Mixed Events 8 Game
41st World Series of Poker (WSOP) 2010, Las Vegas
14th $ 11,377
21-Jun-2010 United States $ 2,500 Seven Card Razz
41st World Series of Poker (WSOP) 2010, Las Vegas
19th $ 6,464
06-Jun-2010 United States $ 10,000 Seven Card Stud Hi/Lo 8 Championships
41st World Series of Poker (WSOP) 2010, Las Vegas
8th $ 52,366
01-Jun-2010 United States $ 5,000 No Limit Hold’em – Shootout
41st World Series of Poker (WSOP) 2010, Las Vegas
22nd $ 16,607
20-Jan-2010 France € 5,000 No Limit Hold’em – Main Event
EPT Deauville, Deauville
49th € 12,500 $ 17,695
05-Jan-2010 Bahamas $ 10,000 No Limit Hold’em – Main Event
PokerStars Caribbean Adventure, Paradise Island
188th $ 15,000
23-Oct-2009 Poland € 12,255 No Limit Hold’em – High Roller
EPT Warsaw, Warsaw
1st € 77,206 $ 115,130
25-Sep-2009 England Caesars Cup – Europe vs USA
2009 World Series Of Poker – Europe , London
1st
06-May-2009 Italy € 4,000 No Limit Hold’em
WPT Venice, Venice
7th € 48,680 $ 65,124
09-Dec-2008 Czech Republic € 5,000 No Limit Hold’em
EPT – Prague, Prague
47th € 8,300 $ 10,647
15-Nov-2008 Poland € 5,400 No Limit Hold’em
EPT Polish Open, Warsaw
3rd € 123,162 $ 154,503
16-Jun-2008 United States $ 2,500 No Limit Hold’em
39th World Series of Poker (WSOP) 2008, Las Vegas
1st $ 528,418
15-Apr-2008 Monaco € 10,000 Stars of Poker – No Limit Hold’em Entry restricted
EPT Grand Final, Monte Carlo
7th
01-Apr-2008 Italy € 4,700 EPT Sanremo – No Limit Hold’em
EPT Sanremo, Sanremo
3rd € 287,600 $ 454,366
06-Jul-2007 United States $ 10,000 World Championship No Limit Hold’em
38th World Series of Poker (WSOP) 2007, Las Vegas
96th $ 67,535
05-Jun-2007 United States $ 1,000 No Limit Hold’em
38th World Series of Poker (WSOP) 2007, Las Vegas
27th $ 16,212
26-Nov-2006 Italy € 200 No Limit Hold’em
3rd Campionato Italiano di Texas Hold’em, Sanremo
8th € 1,210 $ 1,552
07-Oct-2006 Austria € 5,000 EPT – No Limit Hold’em
The Big Double 2006, Baden
3rd € 125,780 $ 159,763
30-Aug-2006 Slovenia € 230 Limit Hold’em
Torneo Autunnale di Poker, Nova Gorica
5th € 886 $ 1,129
28-Jul-2006 United States $ 10,000 No Limit Texas Hold’em – World Championship Event
37th World Series of Poker (WSOP) 2006, Las Vegas
543rd $ 22,266
07-Mar-2006 Monaco € 10,000 EPT Grant Final – No Limit Hold’em
EPT Grand Final, Monte Carlo
22nd € 16,800 $ 20,235
30-Nov-2005 Slovenia € 1,000 No Limit Hold’em
Campionato Italiano di Poker (Italian Poker Championships) 2005, Nova Gorica
4th € 3,760 $ 4,406
29-Nov-2005 Slovenia € 500 Pot Limit Hold’em
Campionato Italiano di Poker (Italian Poker Championships) 2005, Nova Gorica
4th € 2,680 $ 3,141

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Portraits / Interviews

Vincent Reynaert lance le média « Les Enjeux »

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Vincent Reynaert, ancien de PMU Poker et du Groupe Barrière, vient de lancer un média pas comme les autres : Les Enjeux, une plateforme qui analyse un monde du gaming en pleine mutation. Rencontre.

Pouvez-vous nous rappeler votre parcours dans le monde du gaming ?

J’ai découvert l’univers du jeu en 2010, à un moment clé : celui de l’ouverture du marché français. À l’époque, tout était à construire. C’est dans ce contexte que j’ai rejoint Everest Poker, pour développer les partenariats sur un marché qui s’inventait chaque jour. C’était une période excitante, un peu folle aussi, avec beaucoup d’expérimentations et une vraie effervescence autour du poker en ligne.

Un peu moins de 2 ans plus tard, j’ai rejoint le PMU. 8 années passionnantes pendant lesquelles j’ai eu la chance de travailler sur le développement du poker dans une entreprise dont ce n’est pas le coeur de métier. C’est à ce moment-là qu’est né le France Poker Open (FPO), un circuit que nous avons créé avec l’ambition de surfer sur l’ADN poker live, la marque de fabrique de PMU Poker.

En 2020, j’ai intégré le groupe Barrière pour piloter le développement de leur offre digitale. L’objectif : préparer le futur des casinos physiques dans un monde de plus en plus connecté. Et juste avant de lancer Les-Enjeux.com, j’ai occupé le poste de directeur marketing et communication chez Texapoker, une aventure courte mais intense, au cœur de la plus belle scène du poker live. Ces expériences m’ont donné une vision globale du secteur, à la fois côté opérateurs, événementiel et communication et surtout une conviction : celle que l’industrie du jeu a besoin d’être mieux racontée.

Quelle est la volonté derrière “Les Enjeux” ?

Le jeu est un secteur fascinant, en pleine mutation. On assiste à une recomposition de fond : des acteurs comme Winamax ou Betclic ont complètement bouleversé les codes, les casinos physiques amorcent une transition vers le digital, la filière hippique doit se réinventer pour séduire une nouvelle génération de joueurs, et la régulation évolue vers plus d’ouverture, notamment avec la possible arrivée des casinos en ligne, le jeu est de moins en moins un tabou.

Bref, c’est un moment charnière. Et pourtant, il n’existait pas de média francophone pour documenter ces transformations. Les informations circulent, mais souvent de façon éclatée, entre des communiqués institutionnels, des sites d’actualité très spécialisés ou des analyses en anglais.

Avec Les Enjeux, on veut justement combler ce vide. Notre ambition est de devenir un point de convergence : un lieu où les différents acteurs, opérateurs, fournisseurs, régulateurs, start-up, juristes, etc. peuvent se retrouver, échanger, comprendre les grandes tendances, et surtout prendre du recul sur leurs métiers.

C’est aussi un média qui parle à tous les passionnés de jeux, pas seulement aux professionnels. On veut raconter les succès, les innovations, les débats, mais aussi les enjeux humains, économiques et sociétaux derrière cette industrie souvent caricaturée.

Que va apporter une telle publication en ligne, et quelle équipe va y travailler ?

Aujourd’hui, dans le monde francophone, il n’y a pas de média de référence capable de couvrir l’ensemble de l’écosystème du jeu, comme le font des titres anglo-saxons tels que iGaming Business ou EGR.
Nous, on veut occuper cette place.

Notre couverture sera large : la France, bien sûr, mais aussi la Belgique, la Suisse, le Luxembourg, et une partie de l’Afrique francophone, notamment le Maroc, où l’activité casino et hippique est très dynamique. L’idée, c’est de créer un réseau francophone du jeu.

Mais au-delà de l’actu, Les Enjeux veut surtout changer la perception du secteur. Trop souvent, le jeu est résumé à ses excès ou à ses risques, alors qu’il s’agit d’un univers d’innovation, de savoir-faire et d’excellence française. Des milliers de personnes y travaillent, des start-ups y inventent la tech de demain, des groupes investissent dans la RSE, la data, la sécurité ou la formation.

Pour construire ce regard global, je m’entoure d’experts : des avocats fiscalistes, des consultants spécialisés, des technophiles, des pros du casino, du poker ou du pari hippique. Ce sont eux qui apporteront la rigueur, la crédibilité et la diversité de points de vue.

Et enfin, un point qui me tient à cœur : Les Enjeux veut aussi inspirer. En mettant en lumière les réussites, on espère attirer de nouveaux talents, de nouvelles idées et de nouvelles énergies vers le secteur.

Quelle est votre vision du jeu à 1, 5 ou 10 ans en France et en Europe ?

La France, c’est un marché paradoxal : très encadré, parfois rigide, mais incroyablement riche. On compte plus de 200 casinos, soit le maillage le plus dense d’Europe. On a deux opérateurs historiques, la FDJ et le PMU, qui ont su se réinventer pour devenir de véritables acteurs digitaux et européens. D’ailleurs, la FDJ vient de franchir un cap avec le rachat de Kindred Group, propriétaire d’Unibet : un signal fort de l’ambition française.

Dans les cinq prochaines années, on va assister à une recomposition majeure du paysage du jeu en ligne. L’ouverture du marché des casinos en ligne est, à mon sens, inévitable. La vraie question, ce sera : sur quel modèle ? Et avec quelles garanties de protection et de responsabilité ?
Plusieurs visions vont s’affronter : celle des opérateurs terrestres, celle des acteurs déjà en ligne, celle du régulateur, du politique et des moralisateurs… Ce sera un moment clé, comparable à ce qu’a été l’ouverture du marché des paris en 2010.

Sur le long terme, je crois que le secteur va continuer à se professionnaliser et à s’ouvrir. On va vers un écosystème plus mature, plus connecté à la tech, à la data et à l’expérience client. Et je pense aussi qu’on va assister à une forme de réconciliation entre le jeu et la société. Parce que le jeu, au fond, c’est aussi du divertissement, de la culture, et parfois même du patrimoine.

Et nous, chez Les Enjeux, notre rôle, c’est de raconter cette évolution, d’en décrypter les ressorts et d’en faire un sujet de société à part entière.

(crédit photo : Audran Sarzier)

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Portraits / Interviews

Rencontre : Fivebet, poker et vision d’avenir avec Thomas Gimie

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Alors que le poker live connaît un nouvel essor en France, certains acteurs se démarquent par leur énergie et leur volonté de dynamiser le milieu. C’est le cas de Fivebet, une jeune structure qui s’impose peu à peu comme un nom à suivre dans l’univers du poker live. À sa tête, Thomas Gimie et benjamin Camps, passionnés de la première heure, entendent proposer une expérience différente : plus humaine, plus structurée, et résolument tournée vers les joueurs.

  • Pouvez-vous présenter votre société et vos activités, ainsi que votre parcours dans le poker ?

Avec benjamin, mon associé et co-fondateur, on s’est rencontrés il y a plus de 15 ans, et on a eu une carrière qui nous a fait beaucoup travailler ensemble, même si on était dans des endroits différents. On travaillait dans les tournois, partout dans le monde, et un peu à tous les postes.

Benjamin a pris des postes à plein temps, et moi, j’ai toujours été très indépendant en étant sur des tournois dans un cadre plutôt événementiel ! J’ai finalement dirigé beaucoup de tournois avant de monter Fivebet avec Benjamin.

  • Comment interagissez-vous avec vos équipes, celle du casino et celles de Winamax ?

C’est une bonne question ! Mon rôle ici est d’être l’intermédiaire entre tout le monde. Légalement, l’organisateur, c’est le casino. Winamax est le sponsor propriétaire de la marque avec son cahier des charges et ses process, tandis que moi, je suis là pour que tout le monde puisse marcher main dans la main, et réaliser l’objectif qu’on a tous, c’est-à-dire régaler les joueurs et créer des événements qui fassent date !

Moi, j’amène tous les extras poker. Christophe (le responsable du casino) de son côté a aussi d’autres extras comme la sécurité, les barmans… Au niveau des employés de jeu, on a 250 personnes supplémentaires que je manage pour le compte de Christophe, en vue d’assurer l’événement de Winamax.

  • Quels autres grands évènements organisez-vous dans l’année ?

Ici, on a au moins deux rendez-vous importants par an, qui sont les Swiss Poker Series mais aussi les Kill Tilt Poker Series. Ce sont des festivals qui fonctionnent vraiment bien.

Aussi, il y a une stratégie d’événements qui se veulent très gros et très ambitieux, mais il y a aussi des ambitions plus humbles qui sont d’aller combler des territoires qui sont en manque de poker. C’est ce qu’on essaye aussi de faire avec d’autres marques dans d’autres endroits de France où il y a une demande, mais très peu d’offres.

  • Avec la prééminence de Texapoker dans le live, comment avez-vous trouvé votre place et qu’apportez-vous comme savoir-faire ?

Le but était de développer une nouvelle part de marché, plutôt que d’essayer d’en grignoter à TexaPoker, et je crois que c’est ce qu’on a fait ! Soit on est allé faire du poker d’une autre manière dans des établissements qui en proposaient déjà, soit on est allé en faire dans des casinos qui n’en faisaient tout simplement pas. Tu vois par exemple, on ne travaille pas sur des casinos qui travaillaient avec TexaPoker avant qu’on arrive, ce qui fait que la concurrence est bénéfique pour le marché puisqu’on fait grossir le gâteau ! C’est notre approche des choses…

Nous ne sommes pas sur la multiplication du volume, et nous n’avons pas non plus pour objectif de décliner des produits qui sont les mêmes partout. Comme on est une jeune entreprise, on essaye de valoriser notre flexibilité et de développer des produits sur mesure en fonction d’un site. Le but est de mettre un peu d’âme dans tout ça !

 

 

 

Crédit photo : Caroline Darcourt 

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Portraits / Interviews

Rencontre : Christophe Guerin, au cœur des opérations du casino d’Aix-les-Bains

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À l’occasion du WPO d’Aix-les-Bains organisé par Winamax, nous avons pu nous entretenir pendant quelques minutes avec Christophe Guerin, responsable du Casino Grand Cercle. Entre tradition, innovations et passion pour le poker, il nous partage sa vision du métier, et les coulisses de l’organisation d’un événement d’envergure.

  • Pouvez-vous nous présenter votre casino, son offre de jeu et plus particulièrement de poker pendant l’année ?

Au niveau du poker, on a un tournoi mensuel en partenariat avec Fivebet. On s’occupe de l’organisation et de la communication par rapport à ce tournoi. On travaille avec Fivebet depuis deux ans et demi à peu près. Niveau cash game on a trois tables à l’année, et c’est principalement ce qu’on propose chez nous niveau poker. On a reçu aussi Pokerstars, et le Swiss Poker Series.

Notre société existe depuis 1824, et le casino a été construit en 1849, il fait entre 12.000 et 13.000 mètres carrés de surface développée. En offre de jeu, on a 223 machines, et 8 tables de jeu !

  • Comment s’est noué votre partenariat avec Winamax pour le WPO ? Dans quelle stratégie locale et nationale cela s’inscrit-il ?

Grâce à des contacts que Thomas avait déjà chez Winamax, on a discuté de manière ouverte avec eux pour savoir s’ils avaient de la place dans leur calendrier pour pouvoir organiser un tournoi majeur chez nous.

Ça a pris quelques mois, et on a fini par rencontrer les propriétaires de Winamax (Alexandre et Christophe). On a essayé de mettre en avant notre ville qui n’est pas une très grosse ville de province, mais avec un fort potentiel. Après avoir argumenté et plaidé en faveur du casino qui est l’un des plus beaux de France, de par sa localisation, son accessibilité et son architecture, les responsables de chez Winamax ont finalement été convaincus.

Je savais que ça pouvait être un succès et qu’on pouvait mettre tous les moyens nécessaires pour organiser un événement comme le WPO, mais aussi avoir la capacité d’accueillir un très grand nombre de joueurs.  La qualité du site n’allait pas décevoir, c’était une certitude. On a donc tout mis en œuvre pour accueillir Winamax au mieux !

Pour la démarche nationale, on reste un casino régional et nous n’avons pas encore d’ambition nationale.

  • Quels sont les points forts de votre casino et son accueil joueur ?

Le point fort du casino, c’est réellement la qualité du bâtiment, mais aussi l’offre de jeux puisqu’elle est quand même très conséquente au niveau des machines. On a une diversité de jeux qui arrive à satisfaire 95 % des joueurs.

De plus, on dispose d’un restaurant qui est tout à fait exceptionnel. On a plusieurs salles de réception et nos salariés sont parfaitement formés à l’accueil et à l’orientation des clients. On a également une offre hôtelière qui est plutôt très satisfaisante, avec SPA et piscine. On profite aussi du plus grand lac naturel de France qui se trouve juste à côté, donc on a une qualité de vie qui est très intéressante, même pour quelqu’un qui voudrait juste venir quelques jours, c’est vraiment sympa !

  • Quels sont vos prochains grands évènements pour nos lecteurs qui souhaiteraient découvrir votre établissement ?

Les chalets en décembre ! On monte une structure en extérieur pour l’hiver avec DJ, restauration, bar… C’est un immense chalet festif avec une offre alimentaire importante et plusieurs bars ! Il est possible de boire du vin chaud, ou encore de manger des huîtres, et ce, en étant à proximité du casino !

En dehors de ça, à l’année, on organise des pièces de théâtre, des spectacles, et il y a à peu près 150 jours d’animation par an au casino ! Un jour sur trois, vous pouvez donc profiter d’une animation chez nous.

 

 

Crédit photo : Gema Cristobal 

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