Niveau 7 – blinds 200/400 ante 400 – 305 joueurs sur 383 inscrits
C’est reparti pour les deux derniers niveaux de la journée ! Après une pause de 60 minutes, nos vaillants combattants ont regagné leur siège pour en découdre pendant encore deux heures.
L’attention sera-t-elle au rendez-vous, avec la diffusion sur les écrans géants du casino du match de Ligue des Champions Barça-Lyon ? Rien n’est moins sûr, tant le foot est une véritable religion ici. Qui pour Lyon ? Qui pour les locaux (et archi-favoris) ?
Quelques chanceux ont su trouver des places au dernier moment pour assister à ce match a priori de grande qualité, au mythique Camp Nou. Le foot c’est donc dans moins d’une heure et avant cela, ce sont les jetons qui nous intéressent.
Et notamment ceux de Rémi Castaignon. Discret mais efficace le garçon, car Rémi a su monter en toute décontraction un joli stack d’environ 110 000, pour se placer dans le top du classement provisoire. A l’autre bout de l’échelle, on a du dire au revoir (et ce fut un crève coeur) à Isabel Baltazar, qui a rendu les armes peu avant le dinner break, accompagnée par Paul François Tedeschi.
On espère la revoir très vite. Au revoir Isabel !
Paul Berende vient de doubler dès la reprise. Avec moins de 6 000 jetons, il ne fallait pas traîner !
On en profite pour vous fournir quelques tapis (approximatifs) :
Noah Boeken, 60 000
Jimmy Kebe : 60 000
Bruno Lopes, chaud : 55 000
Joris Ruijs : 40 000
Chanracy Khun, dernier vainqueur WPT Barcelone (2013) : 37 000
Martin Jacobson, un champion venu du froid : 30 000
Martins Adeniya : 13 000
Martins Adeniya a vécu un dernier niveau compliqué
C’est au terme d’une longue finale que Yoann Kaminisky s’est finalement imposé et a décroché l’épée dédiée au gagnant de cette compétition. Peu d’observateurs auraient misé sur ce joueur discret, passé par des montagnes russes de coinflips au Day 3, et ayant frôlé à plusieurs reprises l’élimination. Il aura également bénéficié d’un étonnant play d’un short-stack à six joueurs restants, lorsqu’il relance avec K-10 offsuit, et fait coucher un short-stack (6BB) qui tenait A-10 en main…
Le fort sympathique Patrice Espinasse, qualifié lors d’un freeroll et journaliste à Midi Libre de son métier, finit runner-up, après avoir pratiqué un poker solide et plus agressif qu’on ne l’aurait imaginé. Le chipleader, Tahar Said, ainsi que le champion 2024, Jérémy Cauchard, n’auront pas réussi d’exploit, finissant respectivement 5ème et 6ème.
Il faut saluer l’excellence de l’accueil assuré par les équipes locales du Pasino Grand, ainsi que de l’organisation assumée par tout le personnel de Texapoker. Alliés à Winamax, ils ont créé un festival sans aucune fausse note, populaire et extrêmement professionnel.
L’attente a été longue, très longue puisqu’il était 1h30 matin passée lorsque que trois éliminations d’affilée ont scellé le sort des neuf survivants de la grande finale. Parmi eux, le champion 2024 WiPT, qui arrive avec le plus petit tapis, mais surtout un solide chip leader, grand habitué du live midstakes, qui aura marqué les esprits après un fold AA étrange en demie finale face à son poursuivant, le très agressif et très chanceux PL Quandalle…
Le stream de la finale est bien sûr à retrouver sur Winamax.fr à partir de 14h !
Au retour du dinner-break, toujours dix-neuf joueurs en lice, et dix éliminations à attendre pour déterminer la table finale. Parmi eux, la belle histoire continue pour les deux qualifiés freeroll des étapes live, qui jouent solidement, ainsi que pour le vainqueur de l’an dernier qui a perdu la majeure partie de son stack avant la pause contre Paul Pirès-Trigo, notamment lors d’un bluff manqué à la river avec… rien contre top-paire, pour près de 5 millions de jetons…