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Portraits / Interviews

PMU Poker au coeur de l’actualité

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Alors que la fin d’année est chargée d’actualité pour PMU Poker, Poker52 a eu l’occasion d’échanger avec Hugo Seveste, Chef de Produit en charge des événements live PMU Poker et des partenariats. Rencontre.

Julien Martini vient de remporter la dernière étape du Hip Poker Tour, après également une victoire en FPO… Comment expliquez-vous la constance de votre joueur dans tous les formats ?

Effectivement, c’est la première fois qu’un team pro PMU remporte une étape du Hip’Poker Tour et pas des moindres car il s’agit de la finale à Vincennes, un tournoi ayant rassemblé 335 participants. Erwann Pecheux et Jonathan Therme s’étaient déjà hissés en TF sur des étapes de province mais en 10 ans de HiPT, la victoire de Julien reste un événement inédit pour un Team Pro PMU. Pour rajouter un élément de contexte, Julien a joué en sachant que la dotation était réservée aux clients sur le Hip’Poker Tour. Josiane, qui a fini deuxième de ce tournoi, a passé un moment inoubliable : disputer un HU avec un quadruple champion du monde de poker tout en étant certaine de remporter le premier prix financier. Cela en dit long sur la détermination de Julien sur chaque partie.

Comme vous l’avez mentionné, Julien a remporté un Main Event FPO à Gujan-Mestras en 2022 mais il s’est aussi imposé sur le Highroller du FPO La Grande-Motte en 2023. Julien Martini est un grand professionnel, c’est quelqu’un qui travaille beaucoup le jeu ; il est très compétent en Cash Game et dans les variantes qu’il grind tout au long de l’année mais c’est aussi un joueur de tournoi hors pair. Je pense que son secret, qui constitue sa plus grande force, c’est sa soif de victoire et son envie de mieux faire à chaque échéance. C’est un éternel insatisfait, dès qu’il s’assoit à une table de Poker il donne le meilleur de lui-même avec pour seul objectif de gagner, peu importe qu’il s’agisse d’un tournoi WSOP, un EPT, un FPO, un Hip’Poker Tour ou même le tournoi interne des employés du PMU qu’il a remporté en 2022. Par-dessus tout, Julien est un amoureux du jeu, il est constamment dans une recherche de progression et d’amélioration de son niveau de jeu.

Comment avait commencé l’aventure avec lui ? Quelles sont les plus grandes fiertés dans votre histoire en commun ?

Après l’histoire forte vécue avec Erwann Pecheux et Sarah Herzali, nous avions besoin marquer le coup car Sarah et Erwann étaient des icônes de PMU Poker. Nous avons donc cherché un profil français avec un fort potentiel niveau poker mais capable également de faire rayonner dans les médias, ou encore dans le milieu du poker associatif qui est très cher à l’ADN du PMU. Julien Martini s’est imposé à nous comme une évidence, il a démarré le Poker dans le Club d’Achères dans le 78. Avant d’être le top joueur que l’on connaît, c’est quelqu’un qui a travaillé sur un métier plus classique et qui a des valeurs en adéquation avec celles du PMU. C’est Brewenn Cariou, le Responsable du Business Sport/Poker au PMU, qui en 2021 est parvenu à négocier avec Julien de sorte que ce dernier représente la room.

Sans hésiter, les plus grandes fiertés sont ses victoires sur le circuit PMU qui montrent l’investissement qu’il peut mettre dans son sponsor mais surtout, Julien a remporté 3 de ses 4 bracelets de champion du monde avec un patch PMU sur la poitrine en tant que joueur sponsorisé et c’est une immense fierté pour la marque de l’avoir accompagné lors de ces succès.

  • Le 10K razz à Vegas en juillet 2022
  • Le 2K 8 Game Mix à Rozvadov en décembre 2021
  • Le 2 500€ Short Deck à Rozvadov en novembre 2021

 

Comment s’articulent vos compétitions live principales, Hip Poker Tour et FPO ?

Le Hip’Poker Tour est un circuit de tournois gratuits avec croupier et en hippodrome. Pour y participer, les clients doivent se qualifier gratuitement sur PMU.fr. En général, les qualifs démarrent 5-6 semaines avant l’événement à raison de deux satellites par semaine. L’objectif de cet événement est de faire découvrir les courses hippiques aux joueurs de poker puis pendant la pause dîner du tournoi, ces derniers ont l’occasion de parier sur les courses depuis les salons de l’hippodrome, bien souvent avec un cocktail offert par PMU Poker. L’année 2024 a marqué l’anniversaire des 10 ans du Hip’Poker Tour (8 saisons en raison du COVID-19 en 2020/2021) pour un total de 30 étapes, près de 5 500 joueurs cumulés, 700 croupiers, plus de 200 000€ redistribués et 8 hippodromes visités.

Concernant le FPO, il s’agit de notre circuit propriétaire, en marque propre. Le tour est coorganisé depuis sa création en 2017 avec Texapoker. Le tournoi phare du festival est le Main Event à 600€. C’est tout d’abord un événement d’image pour PMU ; l’objectif initial du circuit était d’ancrer la marque dans le paysage live du poker français. L’objectif est largement atteint puisqu’en 7 ans et 31 étapes, la fréquentation a explosé aussi bien sur le Main Event, qui rassemble régulièrement entre 500 et 700 joueurs, que sur les side events qui cartonnent avec le FPO 300, le PLO ou encore le Highroller. Outre l’organisation millimétrée par les équipes de Texapoker, le succès s’est aussi construit via les satellites onlines. Sur des étapes comme Lyon ou Pornic, nous avons recensé plus de 50 joueurs directement qualifiés via PMU.fr. À La Grande-Motte, la magie a opéré pour Mickael Martin, un client qui a obtenu son ticket via les sous-satellites : il a transformé 10€ en 50 000€.

 

Quels sont les grands moments de la saison 2024/2025 à venir ?

Sur le Live, il va y avoir plusieurs événements pour lesquels PMU est partenaire via Texapoker. Par exemple, en décembre, au moins un joueur sera qualifié sur PMU.fr pour jouer le WPT World Championship au Wynn Las Vegas. Ce fut le cas également l’an passé où Maryline, cliente PMU Poker, après avoir remporté un satellite à 125€ puis le super satellite à 1000€, s’est retrouvée dans l’avion avec la Team Pro PMU pour aller jouer ce WPT à 10 000$. L’histoire fut magnifique puisqu’elle a fait sauter la bulle de ce tournoi et a terminé ITM pour plus de 20 000$.

Dans le même registre, nous aurons la promotion Las Vegas Experience/Super Crown qui permet aux clients qualifiés de jouer des tournois WSOP à Las Vegas pendant les championnats du monde.

Enfin, à une date encore à déterminer, un client PMU sera couronné Pro Dream afin d’intégrer la Team Pro le temps d’une saison comme ce fut le cas pour Dylan Chechowski par le passé ou plus récemment pour Jeremy Surinach qui forme un duo complémentaire avec Julien Martini.

Comment fonctionne votre partenariat avec Apo et Texapoker pour le live ?

L’association Texapoker x PMU est en vigueur depuis 2016. Les équipes dirigées par Apostolos Chantzis s’occupent de la logistique, de la promotion et de l’exploitation du France Poker Open en lien avec les casinos qui accueillent les étapes. Texapoker s’implique au-delà de ses aspects et investi avec nous sur le dispositif de l’évènement pour proposer aux joueurs la meilleure expérience possible.

Ce partenariat est surtout un modèle gagnant-gagnant qui permet aux joueurs de cumuler des tickets TPS 250 via les satellites online sur PMU.fr (initialement le tournoi phare de l’opération « un tournoi près de chez vous » de Texapoker). Ainsi, les clients peuvent cumuler des tickets afin de construire une bankroll live utilisable sur tous les tournois Texapoker en partenariat avec PMU. Le solde de la bankroll est visible quasi en temps réel sur Texapoker.net avec votre compte client. Il y a deux satellites par semaine avec 6 tickets GTD 250€ le mardi et le jeudi et un 5 tickets 100€ le dimanche. Ces tournois, accessibles depuis 3€, rencontrent un tel succès qu’ils doublent très souvent leur garantie jusqu’à fournir plus d’une vingtaine de tickets par semaine. Et cette belle histoire a encore grandi avec le soutien de PMU Poker sur les évènements WPT prime que Texapoker organise en France et à San Remo qui permettent d’enrichir les qualifications live de la room.

 

Le parcours d’Hugo Seveste dans l’industrie du gaming

Diplômé d’un Bachelor en commerce international et d’un Master 2 en management des organisations sportives, je suis passionné par le Poker et l’industrie des jeux d’argent depuis l’âge de 18 ans. Après mon Master 2, j’ai vécu un an et demi en Angleterre (Manchester et Leicester) où j’officiais en tant que croupier jeux traditionnels dans le groupe de casinotiers Grosvenor. Au PMU depuis bientôt 8 ans, je m’occupe des produits live majeurs de la room comme le circuit  live PMU, le France Poker Open. J’ai également en charge la mise en place de la saison Hip’Poker Tour ; des tournois gratuits en hippodrome ayant pour but de faire gagner de la dotation à une cible de joueurs associatifs/récréatifs et de leur faire découvrir le monde des courses hippiques. J’ai en charge également les partenariats et c’est moi qui suis en relation directe avec Texapoker, notre partenaire majeur qui effectue un énorme travail sur les synergies live et aussi online via les satellites pour jouer des TPS près de chez vous ou de gros festivals siglés PMU.

 

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Portraits / Interviews

Vincent Reynaert lance le média « Les Enjeux »

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Vincent Reynaert, ancien de PMU Poker et du Groupe Barrière, vient de lancer un média pas comme les autres : Les Enjeux, une plateforme qui analyse un monde du gaming en pleine mutation. Rencontre.

Pouvez-vous nous rappeler votre parcours dans le monde du gaming ?

J’ai découvert l’univers du jeu en 2010, à un moment clé : celui de l’ouverture du marché français. À l’époque, tout était à construire. C’est dans ce contexte que j’ai rejoint Everest Poker, pour développer les partenariats sur un marché qui s’inventait chaque jour. C’était une période excitante, un peu folle aussi, avec beaucoup d’expérimentations et une vraie effervescence autour du poker en ligne.

Un peu moins de 2 ans plus tard, j’ai rejoint le PMU. 8 années passionnantes pendant lesquelles j’ai eu la chance de travailler sur le développement du poker dans une entreprise dont ce n’est pas le coeur de métier. C’est à ce moment-là qu’est né le France Poker Open (FPO), un circuit que nous avons créé avec l’ambition de surfer sur l’ADN poker live, la marque de fabrique de PMU Poker.

En 2020, j’ai intégré le groupe Barrière pour piloter le développement de leur offre digitale. L’objectif : préparer le futur des casinos physiques dans un monde de plus en plus connecté. Et juste avant de lancer Les-Enjeux.com, j’ai occupé le poste de directeur marketing et communication chez Texapoker, une aventure courte mais intense, au cœur de la plus belle scène du poker live. Ces expériences m’ont donné une vision globale du secteur, à la fois côté opérateurs, événementiel et communication et surtout une conviction : celle que l’industrie du jeu a besoin d’être mieux racontée.

Quelle est la volonté derrière “Les Enjeux” ?

Le jeu est un secteur fascinant, en pleine mutation. On assiste à une recomposition de fond : des acteurs comme Winamax ou Betclic ont complètement bouleversé les codes, les casinos physiques amorcent une transition vers le digital, la filière hippique doit se réinventer pour séduire une nouvelle génération de joueurs, et la régulation évolue vers plus d’ouverture, notamment avec la possible arrivée des casinos en ligne, le jeu est de moins en moins un tabou.

Bref, c’est un moment charnière. Et pourtant, il n’existait pas de média francophone pour documenter ces transformations. Les informations circulent, mais souvent de façon éclatée, entre des communiqués institutionnels, des sites d’actualité très spécialisés ou des analyses en anglais.

Avec Les Enjeux, on veut justement combler ce vide. Notre ambition est de devenir un point de convergence : un lieu où les différents acteurs, opérateurs, fournisseurs, régulateurs, start-up, juristes, etc. peuvent se retrouver, échanger, comprendre les grandes tendances, et surtout prendre du recul sur leurs métiers.

C’est aussi un média qui parle à tous les passionnés de jeux, pas seulement aux professionnels. On veut raconter les succès, les innovations, les débats, mais aussi les enjeux humains, économiques et sociétaux derrière cette industrie souvent caricaturée.

Que va apporter une telle publication en ligne, et quelle équipe va y travailler ?

Aujourd’hui, dans le monde francophone, il n’y a pas de média de référence capable de couvrir l’ensemble de l’écosystème du jeu, comme le font des titres anglo-saxons tels que iGaming Business ou EGR.
Nous, on veut occuper cette place.

Notre couverture sera large : la France, bien sûr, mais aussi la Belgique, la Suisse, le Luxembourg, et une partie de l’Afrique francophone, notamment le Maroc, où l’activité casino et hippique est très dynamique. L’idée, c’est de créer un réseau francophone du jeu.

Mais au-delà de l’actu, Les Enjeux veut surtout changer la perception du secteur. Trop souvent, le jeu est résumé à ses excès ou à ses risques, alors qu’il s’agit d’un univers d’innovation, de savoir-faire et d’excellence française. Des milliers de personnes y travaillent, des start-ups y inventent la tech de demain, des groupes investissent dans la RSE, la data, la sécurité ou la formation.

Pour construire ce regard global, je m’entoure d’experts : des avocats fiscalistes, des consultants spécialisés, des technophiles, des pros du casino, du poker ou du pari hippique. Ce sont eux qui apporteront la rigueur, la crédibilité et la diversité de points de vue.

Et enfin, un point qui me tient à cœur : Les Enjeux veut aussi inspirer. En mettant en lumière les réussites, on espère attirer de nouveaux talents, de nouvelles idées et de nouvelles énergies vers le secteur.

Quelle est votre vision du jeu à 1, 5 ou 10 ans en France et en Europe ?

La France, c’est un marché paradoxal : très encadré, parfois rigide, mais incroyablement riche. On compte plus de 200 casinos, soit le maillage le plus dense d’Europe. On a deux opérateurs historiques, la FDJ et le PMU, qui ont su se réinventer pour devenir de véritables acteurs digitaux et européens. D’ailleurs, la FDJ vient de franchir un cap avec le rachat de Kindred Group, propriétaire d’Unibet : un signal fort de l’ambition française.

Dans les cinq prochaines années, on va assister à une recomposition majeure du paysage du jeu en ligne. L’ouverture du marché des casinos en ligne est, à mon sens, inévitable. La vraie question, ce sera : sur quel modèle ? Et avec quelles garanties de protection et de responsabilité ?
Plusieurs visions vont s’affronter : celle des opérateurs terrestres, celle des acteurs déjà en ligne, celle du régulateur, du politique et des moralisateurs… Ce sera un moment clé, comparable à ce qu’a été l’ouverture du marché des paris en 2010.

Sur le long terme, je crois que le secteur va continuer à se professionnaliser et à s’ouvrir. On va vers un écosystème plus mature, plus connecté à la tech, à la data et à l’expérience client. Et je pense aussi qu’on va assister à une forme de réconciliation entre le jeu et la société. Parce que le jeu, au fond, c’est aussi du divertissement, de la culture, et parfois même du patrimoine.

Et nous, chez Les Enjeux, notre rôle, c’est de raconter cette évolution, d’en décrypter les ressorts et d’en faire un sujet de société à part entière.

(crédit photo : Audran Sarzier)

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Portraits / Interviews

Rencontre : Fivebet, poker et vision d’avenir avec Thomas Gimie

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Alors que le poker live connaît un nouvel essor en France, certains acteurs se démarquent par leur énergie et leur volonté de dynamiser le milieu. C’est le cas de Fivebet, une jeune structure qui s’impose peu à peu comme un nom à suivre dans l’univers du poker live. À sa tête, Thomas Gimie et benjamin Camps, passionnés de la première heure, entendent proposer une expérience différente : plus humaine, plus structurée, et résolument tournée vers les joueurs.

  • Pouvez-vous présenter votre société et vos activités, ainsi que votre parcours dans le poker ?

Avec benjamin, mon associé et co-fondateur, on s’est rencontrés il y a plus de 15 ans, et on a eu une carrière qui nous a fait beaucoup travailler ensemble, même si on était dans des endroits différents. On travaillait dans les tournois, partout dans le monde, et un peu à tous les postes.

Benjamin a pris des postes à plein temps, et moi, j’ai toujours été très indépendant en étant sur des tournois dans un cadre plutôt événementiel ! J’ai finalement dirigé beaucoup de tournois avant de monter Fivebet avec Benjamin.

  • Comment interagissez-vous avec vos équipes, celle du casino et celles de Winamax ?

C’est une bonne question ! Mon rôle ici est d’être l’intermédiaire entre tout le monde. Légalement, l’organisateur, c’est le casino. Winamax est le sponsor propriétaire de la marque avec son cahier des charges et ses process, tandis que moi, je suis là pour que tout le monde puisse marcher main dans la main, et réaliser l’objectif qu’on a tous, c’est-à-dire régaler les joueurs et créer des événements qui fassent date !

Moi, j’amène tous les extras poker. Christophe (le responsable du casino) de son côté a aussi d’autres extras comme la sécurité, les barmans… Au niveau des employés de jeu, on a 250 personnes supplémentaires que je manage pour le compte de Christophe, en vue d’assurer l’événement de Winamax.

  • Quels autres grands évènements organisez-vous dans l’année ?

Ici, on a au moins deux rendez-vous importants par an, qui sont les Swiss Poker Series mais aussi les Kill Tilt Poker Series. Ce sont des festivals qui fonctionnent vraiment bien.

Aussi, il y a une stratégie d’événements qui se veulent très gros et très ambitieux, mais il y a aussi des ambitions plus humbles qui sont d’aller combler des territoires qui sont en manque de poker. C’est ce qu’on essaye aussi de faire avec d’autres marques dans d’autres endroits de France où il y a une demande, mais très peu d’offres.

  • Avec la prééminence de Texapoker dans le live, comment avez-vous trouvé votre place et qu’apportez-vous comme savoir-faire ?

Le but était de développer une nouvelle part de marché, plutôt que d’essayer d’en grignoter à TexaPoker, et je crois que c’est ce qu’on a fait ! Soit on est allé faire du poker d’une autre manière dans des établissements qui en proposaient déjà, soit on est allé en faire dans des casinos qui n’en faisaient tout simplement pas. Tu vois par exemple, on ne travaille pas sur des casinos qui travaillaient avec TexaPoker avant qu’on arrive, ce qui fait que la concurrence est bénéfique pour le marché puisqu’on fait grossir le gâteau ! C’est notre approche des choses…

Nous ne sommes pas sur la multiplication du volume, et nous n’avons pas non plus pour objectif de décliner des produits qui sont les mêmes partout. Comme on est une jeune entreprise, on essaye de valoriser notre flexibilité et de développer des produits sur mesure en fonction d’un site. Le but est de mettre un peu d’âme dans tout ça !

 

 

 

Crédit photo : Caroline Darcourt 

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Portraits / Interviews

Rencontre : Christophe Guerin, au cœur des opérations du casino d’Aix-les-Bains

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À l’occasion du WPO d’Aix-les-Bains organisé par Winamax, nous avons pu nous entretenir pendant quelques minutes avec Christophe Guerin, responsable du Casino Grand Cercle. Entre tradition, innovations et passion pour le poker, il nous partage sa vision du métier, et les coulisses de l’organisation d’un événement d’envergure.

  • Pouvez-vous nous présenter votre casino, son offre de jeu et plus particulièrement de poker pendant l’année ?

Au niveau du poker, on a un tournoi mensuel en partenariat avec Fivebet. On s’occupe de l’organisation et de la communication par rapport à ce tournoi. On travaille avec Fivebet depuis deux ans et demi à peu près. Niveau cash game on a trois tables à l’année, et c’est principalement ce qu’on propose chez nous niveau poker. On a reçu aussi Pokerstars, et le Swiss Poker Series.

Notre société existe depuis 1824, et le casino a été construit en 1849, il fait entre 12.000 et 13.000 mètres carrés de surface développée. En offre de jeu, on a 223 machines, et 8 tables de jeu !

  • Comment s’est noué votre partenariat avec Winamax pour le WPO ? Dans quelle stratégie locale et nationale cela s’inscrit-il ?

Grâce à des contacts que Thomas avait déjà chez Winamax, on a discuté de manière ouverte avec eux pour savoir s’ils avaient de la place dans leur calendrier pour pouvoir organiser un tournoi majeur chez nous.

Ça a pris quelques mois, et on a fini par rencontrer les propriétaires de Winamax (Alexandre et Christophe). On a essayé de mettre en avant notre ville qui n’est pas une très grosse ville de province, mais avec un fort potentiel. Après avoir argumenté et plaidé en faveur du casino qui est l’un des plus beaux de France, de par sa localisation, son accessibilité et son architecture, les responsables de chez Winamax ont finalement été convaincus.

Je savais que ça pouvait être un succès et qu’on pouvait mettre tous les moyens nécessaires pour organiser un événement comme le WPO, mais aussi avoir la capacité d’accueillir un très grand nombre de joueurs.  La qualité du site n’allait pas décevoir, c’était une certitude. On a donc tout mis en œuvre pour accueillir Winamax au mieux !

Pour la démarche nationale, on reste un casino régional et nous n’avons pas encore d’ambition nationale.

  • Quels sont les points forts de votre casino et son accueil joueur ?

Le point fort du casino, c’est réellement la qualité du bâtiment, mais aussi l’offre de jeux puisqu’elle est quand même très conséquente au niveau des machines. On a une diversité de jeux qui arrive à satisfaire 95 % des joueurs.

De plus, on dispose d’un restaurant qui est tout à fait exceptionnel. On a plusieurs salles de réception et nos salariés sont parfaitement formés à l’accueil et à l’orientation des clients. On a également une offre hôtelière qui est plutôt très satisfaisante, avec SPA et piscine. On profite aussi du plus grand lac naturel de France qui se trouve juste à côté, donc on a une qualité de vie qui est très intéressante, même pour quelqu’un qui voudrait juste venir quelques jours, c’est vraiment sympa !

  • Quels sont vos prochains grands évènements pour nos lecteurs qui souhaiteraient découvrir votre établissement ?

Les chalets en décembre ! On monte une structure en extérieur pour l’hiver avec DJ, restauration, bar… C’est un immense chalet festif avec une offre alimentaire importante et plusieurs bars ! Il est possible de boire du vin chaud, ou encore de manger des huîtres, et ce, en étant à proximité du casino !

En dehors de ça, à l’année, on organise des pièces de théâtre, des spectacles, et il y a à peu près 150 jours d’animation par an au casino ! Un jour sur trois, vous pouvez donc profiter d’une animation chez nous.

 

 

Crédit photo : Gema Cristobal 

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