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Winamax accueille une nouvelle joueuse dans le Team W !

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Deux ans : c’est le temps qu’il aura fallu à Alexane Najchaus pour passer de néophyte complète au poker à membre de la meilleure équipe d’Europe, à seulement 26 ans. Mais cette spécialiste du format Expresso, possède déjà tous les atouts pour relever avec succès ce challenge : diplômée en psychologie, conseillée par son frère qui est aussi un joueur pro, la Red Diamond compte bien devenir la nouvelle caution Expresso du Team W. Jusqu’ici alors inconnue du grand public et même de la communauté poker, Alexane a fait sa première apparition dans le monde du poker lors du WPO Madrid, où elle était venue tâter pour la première fois du jeton en tournoi live. Un festival durant lequel sa présence n’est pas passée inaperçue, et qui a encouragé les équipes de Winamax à en savoir plus sur elle en l’invitant à échanger avec eux dans leurs locaux : ”Le profil et le parcours d’Alexane ont rapidement éveillé notre curiosité. Raconte le coach du Team Pro Winamax, Stéphane Matheu. En échangeant avec elle, nous sommes arrivés à la conclusion qu’elle possédait les valeurs, les compétences et les qualités pour intégrer le Team Pro Winamax.

Et le coup de cœur entre Alexane et Winamax semble réciproque : la joueuse est sur un nuage depuis qu’elle a appris son intégration dans le Team. “Je pourrais en parler pendant des heures. C’est à la fois un honneur, une chance et un privilège. C’est tellement inespéré, de par ma spécialisation en Expresso, et mon parcours non conventionnel… Jamais je n’aurais imaginé intégrer le Team Pro, en tout cas pas maintenant.”

C’est grâce à son grand frère Virgile, de deux ans son aîné, que la Francilienne découvre presque par hasard le poker en 2020. Un monde alors totalement inconnu pour elle. Pourtant, Alexane se destinait à une carrière professionnelle plus conventionnelle : “J’ai obtenu un premier Master de psychologie clinique en 2018, détaille LaSirenita, et je suis en train d’en passer un second sur la psychiatrie de la guerre au King’s College de Londres. J’ai toujours adoré les études. Et j’étais déjà en poste avant de découvrir le poker.

Alexane peut compter sur ses nouveaux coéquipiers pour lui apprendre les ficelles du métier, ainsi que sur son coach Stéphane Matheu : “On a fait un grand tour d’horizon de ce que sera mon année au sein du Team Pro, avec énormément de nouvelles expériences, explique LaSirenita. Je suis surexcitée de commencer cette aventure. Je suis contente d’être là, j’ai hâte de rencontrer tout le monde. Sans être dans le sensationnel, c’est une des meilleures opportunités que j’ai eues de ma vie et j’ai vraiment hâte de mettre le pied à l’étrier.” Même si elle ne se fixe pas d’objectif de résultats pour sa première année au sein du Team W – qui lui permettra surtout de découvrir les plus beaux tournois live de la planète, à commencer par le WPO Bratislava – Alexane ne se met pas de pression inutile pour ses premiers pas : « Être catapultée dans une équipe de ce calibre donne envie d’avoir d’aussi bons résultats que les autres membres. Je pense que dans cette ambiance, je vais donner le meilleur de moi-même.

Pour lire sa biographie complète, c’est par ici.

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[Finale WiPT Paris — Journal off] La Familia grande

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« Toutes les familles sont dysfonctionnelles, non ? » plaisantait un ami qui écoutait patiemment son confident du jour au restaurant, à la table jouxtant ma solitude de mi-journée. Sans me retourner, j’aurais pu opiner du chef : toute organisation sociale, humaine, est par essence dysfonctionnelle, bancale, en ébullition constante, au bord du précipice mais, miracle d’un grand ordre invisible, tout se passe le plus souvent assez bien.

Le monde du poker ne déroge pas à la règle. Le poker, une grande famille ? Bien évidemment : dans ses travers comme ses passions, dans ses relations et ses antagonismes, dans ses concurrences et ses alliances. Pour les « vieux de la vieille » qui ont connu le début du poker en France —amené, d’un côté, par Bruno Fitoussi au sein de l’Aviation Club de France, il y a plus de trente ans ; de l’autre, au grand public, par Patrick Bruel et le WPT puis la room maison, Winamax—, cette famille dysfonctionnelle a bien évolué, même si la plupart des acteurs de l’époque sont encore présents.

Contrairement au mondes des joueurs où les disparus jonchent les rivages mémoriels de ceux qui écumaient les cercles de jeux de l’époque et les premiers tours européens (à l’époque, c’était Amsterdam qui faisait figure de Graal des tournois du vieux continent), le business du poker se recycle et perd peu de forces vives. Il y règne, justement, un esprit de famille. Tout le monde, ou presque, a travaillé avec l’autre. Tout le monde se connaît. S’ignore ou se jauge, s’embrasse ou se charrie. Une famille, avec ses générations, ses cousins par alliance et ses branches éloignées. De l’époque des cercles de jeux, cette grande famille a gardé bien des acteurs, depuis essaimés au sein des clubs parisiens ou chez les casinotiers. L’heure n’est plus aux troubles financements des ces Associations de Loi 1901 sans but lucratif (un bon résumé de la quadrature du cercle de l’époque), mais aux sociétés commerciales clairement gérées. La « guerre des cercles » qui avait fait les choux gras de la presse police/justice est depuis longtemps remisée dans les archives familiales du poker. Désormais, même si la concurrence entre clubs est réelle, comme pour tout secteur commercial, la plupart du temps les calendriers de tournois sont décidés en toute intelligence, et sans guerre frontale. La famille a muri, elle s’est assagie.

Côté rooms online, le marché s’est lui aussi stabilisé, et même si les trois gros opérateurs français n’organisent pas encore des tournois tous ensemble —on n’a pas, à notre mémoire, de tel exemple dans l’histoire internationale du poker— il existe un podium désormais solide en terme de marché. Winamax, numéro 1 francophone, a plié le game, évité les rachats et offres agressives de l’international, et gère avec l’esprit de famille sa société. Il suffit d’entrer dans une salle de tournoi brandée W pour croiser des têtes habituelles depuis bien des années. Les fondateurs sont encore en place, l’équipe éditoriale et marketing est profondément soudée aux racines de la société. Une famille multiple, qui occupe plusieurs étages, mais qui fonctionne à dimension humaine.

Côté tournois live, c’est avec le même sentiment de famille que Texapoker fonctionne. Au-delà du père fondateur, taiseux et professionel, généreux et discret, qu’est Apo Chantzis, on croise ses fidèles lieutenants depuis des années, toujours aux postes, et même son propre frère. Une famille sur la route, comme une caravane de cirque qui s’arrêterait à chaque ville que la France et ses diagonales de la suburbia proposent, déplie ses tables, affiche ses logos et drapeaux, remise ses costumes et ses noeuds papillons pour offrir un spectacle rodé et affûté, chaque soir, avant de repartir vers d’autres horizons.

Les salles presse sont habitées du même sentiment de familiarité. Que l’on entre dans la salle presse du World Poker Tour au Wynn à Las Vegas, tout en marbre rose et moquette épaisse, ou dans celle du WiPT, au fond du grand hangar de la porte de Versailles, on croise des profils qu’on voyait déjà lors de nos propres débuts, en 2005, dans les couloirs réfrigérés de l’Amazon Room au casino Rio à Las Vegas. Bien sûr, les corps se sont épaissis avec les années, les cheveux ont disparu ou grisonnent discrètement, mais les mêmes amitiés et inimitiés y règnent. Les rumeurs et les disputes, l’entraide et les mesquineries, les coups de main comme les paranoïas y ont la même place que dans n’importe quelle branche de la société. Comme dans une familia grande il n’y a pas de raison de revenir en arrière quant à ses propres jugements hâtifs. Le temps n’efface rien, tout au mieux laisse-t-il à chacun d’écrire ses propres vies, loin des tapis verts : l’un est devenu romancier à succès, l’autre a affronté la société bourgeoise du cinéma de la FEMIS et rêve de long-métrages, certains vivent leur passion de gloire et d’autres de famille. La famille est grande, élastique, multi-dimensionnelle, et accueille à chaque nouveau stop quelques têtes encore inconnues. Les prochaines générations, elles, ont encore le temps de se créer leurs propres embrouilles et drama intimes.

Jérôme Schmidt

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[WiPT Paris – Grande finale] Où sont les femmes ?

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Les années passent, et la diversité des fields du poker n’évolue pas, elle a même tendance à régresser. Lorsqu’on parcourt rapidement l’importante salle du palais des Congrès de la porte de Versailles, on croise très peu de joueuses. A un ami joueur qui écume le circuit depuis bien des années, d’Europe en Asie en passant par les Etats-Unis, la France est toujours en retard quant à l’intérêt des femmes pour le poker. Non pas que les rooms fassent l’impasse sur cet axe de développement, bien au contraire : pour une Gaelle Baumann, une Alexane Nachaus chez Winamax ou, dans le passé une Vanessa Selbst, une Isabelle Mercier (la liste est longue) côté PokerStars et, actuellement, Aurélie Réard chez Unibet, combien de joueuses semi-pro ou amatrices actives en France ?

Ce n’est pas faute de faire une promotion du jeu auprès d’un nouveau public —la série Poker Society, axée public d’influenceurs va en ce sens— ou au plus près de chez soi —le concept même de Texapoker, qui va chercher le joueur dans sa région plutôt que de le forcer à prendre train ou avion… Le constat n’évolue guère, surtout en ces Day 1 qui se jouent en semaine, à un moment où beaucoup travaillent et ne peuvent se libérer. L’absence ou la présence de tournois Ladies n’a jamais révolutionné le sujet, même si avoir un rendez-vous du genre fédère momentanément des joueuses, qui n’iront pas pour autant s’aventurer dans les fields  généralistes.

Le souci, sûrement, est bien plus profond. Un conservatisme de la part de joueurs qui abusent des codes de la masculinité toxique, « posent leurs couilles sur la table », jouent à fond « les femmes » quand ils ont une paire de Dames en main, s’abreuvent de remarques sexistes. Les seules femmes qui ont leur place dans ce monde trop masculin sont au service des joueurs : croupières, hôtesses d’accueil, serveuses aux tables. Là, la parité se joue plutôt dans l’autre sens, avec une grande partie d’observatrices qui ne peuvent sauter le pas d’aller de l’autre côté de la barrière. Personne, pour l’instant, n’a trouvé la solution à un grand rééquilibrage qui, en plus d’être souhaité, devrait être tout simplement une évidence.

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[WiPT Paris – Grande finale] Espace, calme et sérénité

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Quoi de plus frustrant, pour un joueur « monté » de province ou simplement commuter parisien & grande banlieue de voir toute sa concentration dissipée dans des problèmes annexes et extérieurs à son objectif de la semaine : jouer le plus gros tournoi de poker de sa vie (en buy-in, en field, en intensité, en longueur – peu importe). L’année dernière, les deux plus beaux festivals de la saison avaient vécu bien des mésaventures du côté de la Porte Maillot, tout d’abord l’EPT puis, chacun à sa façon, la grande finale du Winamax Poker Tour. Des cafouillages qui avaient eu l’insolence de remettre en cause des franchises pourtant connues pour leur sérieux et leur attention aux joueurs. Car l’organisateur de tournois live est comme un gardien de but médiatisé : on trouve juste qu’il fasse un sans faute, et on cloue au pilori le moindre caillou dans la chaussure.

2024, changement de lieu et de décor pour la finale du WiPT, qui est le seul festival à aller chercher les joueurs pour les emmener gratuitement via un très généreux système de freerolls en ligne et en live dans toute la France jusqu’à la capitale, jusqu’au rêve, jusqu’au Graal : décrocher une somme à six chiffres et devenir plus qu’un local hero de son club amateur. Depuis des années désormais, Winamax fait plus que le job, en offrant la plus belle des expériences live pour sa finale à 500€ (buy-in direct, qualification online via des satellites ou son système de freerolls) ; en cette saison 2024, avec la force humaine des équipes de Texapoker associées à celles du Club Circus, il règne une sensation d’absolue sérénité dans le grand espace du parc des Expositions, paris 15ème. Aucune électricité dans l’air (on pourrait même déplorer un petit manque de chauffage, écologie oblige, qui rappelle les matins glaciaux de la grande salle des WSOP durant l’été à Las Vegas, tant que la salle n’est pas remplie), du professionnalisme souriant à l’accueil, un « parcours du joueur » simplifié par la disposition des lieux et les équipes en présence.

Lorsque résonne le shuffle up & deal partagé entre Thierry Bolleret, grand manitou du Circus en compagnie d’Alexis Laipsker, et Matthieu Duran (Live Event Manager pour Winamax) —le tout sous le regard bienveillant de François « Texapoker » Lascourrèges— seules la concentration et la passion du jeu sont au rendez-vous autour des quelques 32 tables de 9 joueurs déjà en action. La route sera longue : 6 Day 1, à raison de deux pars jour (1 premier qui débute en structure classique dès 10h du matin, les 12-13 et 14 mars ; un second qui commence à 18h, en structure turbo, aux mêmes dates), 1 Day 2 de la « réunification » vendredi 15 mars, un Day 3 samedi 16, puis la grande finale streamée ce dimanche 17 mars. Côté re-entry, le principe est simple, comme le précise le règlement en ligne : « Six Day 1 sont au programme, à raison de deux par jour du mardi 12 au jeudi 14 mars. En cas d’élimination, vous pouvez re-entry une fois le Day que vous venez de jouer. Vous aurez ensuite le droit à une entrée possible par Day 1 suivant. Donc si vous jouez le Day 1A, vous pouvez cumuler jusqu’à sept entrées (deux sur le Day 1A et une sur chacun des Days suivants). »

Il ne reste donc « plus qu’à » : à relancer, à folder au bon moment, à apprendre à connaître ses adversaires, à tenter des bluffs, à attendre les cartes ou à toucher un good run, à parler bad beats aux pauses (la première est déjà dans 4 niveaux, à l’heure du déjeuner), à devenir le maître des horloges afin de passer ce Day 1 fatidique —ou à re-entry si tout se passe mal. Chacun a désormais ses cartes en main.

Jérôme Schmidt

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