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[WPTDS Paris] Sonny Franco prince de Paris

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Sonny Franco s’est adjugé le Main Event du WPTDS Paris 2020 sur les coups de 1h15 du matin. Et avec un avantage en jetons de trois contre un, accompagné d’un talent brut dont lui seul a le secret, le Petit prince de Marrakech n’a pas eu de grandes difficultés à se débarrasser de l’ultime obstacle qui se dressait devant lui, son poto Ouassini Mansouri.

La dernière main du tournoi ? Sonny ouvre du bouton à 500 000 avec {K-Hearts}{8-Clubs}, défendu par Ouass’ de BB avec {J-Clubs}{10-Clubs}. Sur le flop {3-Diamonds}{2-Clubs}{8-Clubs}, ce dernier lead à hauteur de 2 millions, et se fait mettre à tapis dans la seconde par Franco. Mansouri paye tout aussi vite avec son tirage flush et une tonne d’outers pour… conserver son avantage. Car oui, sa main est pour l’instant devant avec 55 % de chances de victoire. Turn : {K-Spades}, qui donne une double paire à Sony, histoire de complètement renverser la vapeur.

Tension maximale avant la découverte de la river…

Le floor Micka Millat donne l’autorisation au croupier de retourner ce qui pourrait être l’ultime carte du tournoi… une {Q-Diamonds} ! « Ouais, pas de chance pour Ouassini sur cette dernière main », constate Elky aux commentaires. Sonny jubile, Sonny savoure, le sourire jusqu’aux oreilles, pour cette 17e victoire sur le circuit live depuis sa première ligne Hendon Mob décrochée en 2011. « C’était écrit. Je vous l’avais dit, que je pouvais déjà préparer mon post de conclusion », me lâche Veunstyle. Bien vu, bien senti.

Ce nouveau triomphe n’était-il pas une ici qu’une simple fatalité déjà inscrite dans l’histoire du temps ? C’est à se poser la question, tant le Petit prince de Marrakech, de son surnom, survole son sujet une fois dans les cimes d’un classement général. Quand une dose de talent débordant du verre se mélange à une insolente mais nécessaire réussite, un cocktail explosif se déverse devant nous, souvent innarêtable, intouchable.

✅ Deux millions de dollars de gains

« Ça continue, tous les jours, on prend », a réagi à chaud le résident marrakchi, toujours dans un calme impérial. A l’écouter, on ne croirait pas que Sonny sort vainqueur d’un tournoi à 853 inscriptions, promettant 200 000 euros à la clé. Et pourtant, si. Mais comment fait-il ? « La recette, c’est la réussite je pense ». « Tu étais aussi plus fort que le field, non ? », demande Steven durant notre entrevue. « On va leur faire croire ça. Mais oui, je dois être un peu meilleur ». Un peu ? Bel euphémisme. Osons les mots : beaucoup.

Savoure-t-on toujours autant une dixième-sept victoire sur le circuit live ? « C’est moins fou que la première, normal. Je vibre moins, mais je vibre toujours. Le coin-flip contre Marcin, j’ai vibré hein ! », admet le sudiste, qui franchit ici le cap des deux millions de dollars de gains en live, le plaçant à la 22e place juste derrière un certain Arnaud Mattern de la All time money list française. « Il ne m’en reste pas beaucoup, il ne m’en reste pas beaucoup » , avertit le champion. « Ce sont certes des gains, mais ce n’est pas ce qu’il y a dans la poche. Mais ce que j’ai pris aujourd’hui, ça fait plaisir ».

Sa besace fraîchement garnie de 200 000 euros le met forcément dans les meilleures dispositions avant son pèlerinage vegassien annuel. D’ailleurs, avec ou sans ce gain substantiel, Franco prévoyait de sortir le grand jeu : « Ça ne change rien. J’arrive le 2 juin, et je joue tout, avec ou sans cette victoire, ça aurait été la même. Je suis grave chaud », nous indique-t-il, gonflé à bloc. « Entre temps, j’irais peut-être jouer le Golden Million à Marrakech, puis le WPT Barcelone, le vrai. Et aussi Deauville ! ».

Une échéance importante pour S.F, autrefois classé 9e du classement WPT Europe Player of the Year , mais désormais leader au nez et à la barbe de Madi Macalou et Omar Lakhdari. « Je suis bien parti normalement. Ça passera, sauf si quelqu’un de bien placé fait TF ». Une belle carotte au bout de cette compétition annexe l’attend : 10 000 euros, pour disputer, si l’envie lui prend, le circuit 2020/2021 en freeroll, ou presque.

N’occultons pas non plus Ouassini Mansouri, runner-up ô combien méritant au regard de son parcours mené à la perfection. Chipleader du Jour 2B, Ouass’ a saisi les opportunités pour se glisser la majeure partie du temps dans le haut du classement. Fun fact : Sonny Franco, lui aussi, s’était adjugé le costume de chipleader… du Jour 2A. Deux leaders attachés à leur statut jusqu’au bout, pour conclure en beauté cet événement entre copains. Elle est pas belle, la vie ?

Il est temps pour moi de fermer la page de ce coverage. Que pourrait-on juste retenir de ce festival ? Que le poker à Paris vit des heures heureuses. Les organisateurs ne s’attendaient pas à autant de succès : ils ont pourtant été servis. Au plaisir de vous recroiser autour d’une table. Peace. Greg H ?

? Résultats du Main Event – 1500 € – 853 inscriptions – 107 ITM – Prizepool 1 105 488 €

Vainqueur – Sonny Franco : 200 000€ + ticket Main Event WPTDS Deauville à 2 000 €
Second – Ouassini Mansouri : 136 788 €
3e – Lianmin Bai : 97 000 €
4e – Florent Estegassy : 69 000 €
5e – Marcin Wydrowski : 49 500 €
6e – Jean Paul Pasqualini : 37 000 €
7e – Duco Ten Haven 29 200 €
8e – Gilles Gauyacq : 23 800 €
9e – Ivan Sheptytskyi : 19 700 €

Ils remportent 16 500 €
10e – Xavier Mouysset
11e – Ekrem Sanioglu

Ils remportent 14 000 €
12e – Alain Zeidan
13e – Julien Pieffet

Clyde Tjauw Foe

Ils remportent 11 900 €
14e – Johnny Hansen
15e – Clyde Tjauw Foe

Ils remportent 10 200 €
16e – Laurent Polito
17e – François Scapula

Laurent Polito

Ils remportent 8 700 €
18e – Nicolas Dumont
19e – Lucien Cohen
20e – David Hu

Ils remportent 7 400 €
21e – Ahmed Haddouche
22e – Jean Louis Perez
23e – Rayane Didi

David Hu

Ils remportent 6 300 €
24e – Jean Yves Chichportiche
25e – Abdelhamid El Khayati
26e – Tarek Bouchama
27e – Ange Besnainou

Ils remportent 5 400 €
28e – Kidhir Megrous
29e – Timothee Scotti
30e – Luis Miguel De Sousa
31e – Milkos Santana

Pierre Merlin

Ils remportent 4 700 €
32e – Pierre Merlin
33e – Mohamed Jouar
34e – Jerry Koob
35e – Samy Ouellani
36e – Ronan Leroux
37e – Benjamin Bonnardot
38e – Xavier Benyamine
39e – Karim Lehoussine

Omar Lakhdari

Ils remportent 4 100 €
40e – Vladimir Dmitriev
41e – Sylvain Nespoux
42e – Benjamin Constant
43e – Omar Lakdhari
44e – Patrick Kallas
45e – Yucheng Liu
46e – Emmanuel Kahan
47e – Loic Dobrigna

Ils remportent 3 600 €
48e – Philipp Zukernik
49e – Marc Uzan
50e – Drice HamzaI
51e – Sergei Illarionov
52e – Benjamin Bohot
53e – Bruno Fitoussi
54e – Alexandre Dana
55e – Julien Loire

Sergei Illarionov

Ils remportent 3 200 €
56e – Manuel Fischer
57e – Florian Montes
58e – David Pecheur
59e – Marc Poustis
60e – Meddi Ferrah
61e – Roger Taieb
62e – Olivier Arnault
63e – Antoine Colas

Ils remportent 2 900 €
64e – Benjamin Souriau
65e – Philippe Joseph
66e – Alexandre Lavanant
67e – Julien Veyssiere

Benjamin Souriau

68e – Julien Breuil
69e – Miroslav Alilovic
70e – Abdelkrim El Kandoussi
71e – Jazzar Maroun
72e – Franck Kalfon

Ils remportent 2 700 €
73e – Yannick Cardot
74e – Lionel Cohen
75e – Minh Tran
76e – Kacper Pyzara
77e – Andrej Desset
78e – Alexis Courtois
79e – Benjamin Chiss

Jonathan Benbaron

80e – Jonathan Benbaron
81e – Ismael Boujahma
82e – Mustapha Messaoudi
83e – Victor Goisset
84e – Nathan Gozlan
85e – Ahmad Ismail
86e – Nicolas Julien
87e – Kiryan Haddad

Ils remportent 2 500 €
88e – Mohamed Aissani
89e – Marinel Oros
90e – Moncef Karoui
91e – Thomas Simsen
92e – Boris Chong Sit
93e – Barbara Genuini
94e – Nicolas Torossian
95e – Carlos Queiroz
96e – Pior Zeitoun

Jenny Israel

97e – Massimiliano Rosi
98e – Gael Obers
99e – Patrice Chamarre
100e – Nabil Mansour
101e – Rui Da Costas Dias
102e – Jenny Israel
103e – Romain Taieb
104e – Lukas Soucek
105e – Tom Jarry
106e – Remigiusz Wyrzykiewicz
107e – Axel Fallay

 

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[WiPT Paris – Grande finale] Huit joueurs face à une seule épée

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C’est à midi, porte de Versailles, que reviendront les 8 finalistes du Main Event de la grande finale du Winamax Poker Tour à Paris, mais c’est à partir de 12h30 que vous pourrez suivre en léger différé l’intégralité de cette ultime bataille, sur la chaîne Twitch de Winamax. 

Le vainqueur se verra doté d’une belle épée d’Excalibur, et surtout de 170 000€. Le premier sortant, quant à lui, se contentera d’un très beau chèque de 21 000€. Notre coup de coeur, pour cette finale, est Hugues Girard, très agréable joueur à table, amateur éclairé (comme tous les autres finalistes) et revenu du diable vauvert pour arriver en table finale avec une moyenne raisonnable qui lui permettra de jouer son propre poker.

Photographie : Caroline Darcourt pour Winamax

Jérémy CAUCHARD 44 300 000
Adem AGOUDJIL 29 975 000
Sunday OGUNJOBI 21 975 000
Karim LEHOUSSINE 20 100 000
Hugues GIRARD 18 925 000
Sidoine PACHOT 16 200 000
Cyril BELKEBIR 12 000 000
Denis XIONG 8 950 000

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[WiPT Paris – Journal off] Comme un joueur

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Comme un joueur, j’ai cru en mes chances. Cédé à l’ennui de la mi-journée pour buy-in un satellite à 100€, et le gagner, à force de cartes folles.

Comme un joueur, j’ai enchaîné directement par un turbo Day 1 pour le Main Event. Comme un joueur, je suis allé prendre l’air, respirer une dernière fois avant d’entrer dans l’atmosphère de néons blancs et de hangar des salles de tournoi.

Comme un joueur, j’ai enfoncé mon casque, mis en boucle le même morceau lancinant, j’ai dit bonjour au croupier, en anglais ou français selon leur nationalité, j’ai recouvert le babil de mes adversaires des premiers niveaux par un drone en différence et répétitions, j’ai occulté le monde extérieur pour trouver un rythme intérieur.

Comme un joueur, rénégat cette fois, j’ai dû rendre mon accréditation presse au responsable du tournoi, histoire de déiontologie. Comme dans un (mauvais) film policier français, où un flic corrompu dépose pistolet en holster et médaillon de flic sur son bureau, avant de repartir avec son carton vide sous le bras.

Comme un joueur, cela m’a passablement agacé, alors je suis resté concentré. Au lieu d’aller avaler une pizza cartonneuse (18€) ou un « hamburger édition spéciale Johnny Halliday » (26€) dans les rades de cette porte de Paris, j’ai fait le tour à grandes enjambées des autres espaces du salon, pour rester dans ma (toute petite) bulle.

Comme un joueur, j’ai tenté un re-steal en grosse blinde avec une main pourrie (3-8 offsuit), payé debout sur la table par un relanceur avec paire de Dame. Comme un joueur, je suis retombé à une vingtaine de blindes, et j’ai attendu maussade qu’on oublie mes move débiles.

Comme un joueur, j’ai eu trois paires de suite, et comme un joueur, on a fini par me payer, et j’ai triple-up, et je me suis dit que j’étais vraiment le meilleur, et que plus rien ne pouvait m’arriver.

Comme un joueur, j’ai passé le Day 1, je suis entré dans l’argent, et comme un joueur, j’ai regardé le payout des places finales, imaginant ce que je ferais de l’argent vu que je finirais dans le Top 3.

Comme un joueur, j’ai ignoré les injonctions des amis m’enjoignant à « aller me reposer », et au lieu de cela, je suis allé à une fête prévue de longue date. Comme un joueur, je me suis réveillé à 2h30 du matin dans un bar qui passait du métal à 120db, et je me suis dit qu’il était temps de rentrer, peut-être.

Comme un joueur en gueule de bois, j’ai dépensé mes derniers euros en bouteilles de badoit glacée, je les ai bues d’affilée en attendant le début de la deuxième journée de tournoi, mâchonnant deux pommes pour couvrir mon haleine frelatée. Comme un joueur, j’avais envie d’être autre part, et puis a résonné le lancement de cette deuxième journée, et j’ai branché mon casque au téléphone, puis la musique a redémarré, et les premières cartes sont arrivées.

Comme un joueur, Caroline Darcourt m’a pris en photo, et j’étais plutôt content, même si je déteste ces moments, car Caroline a cette empathie qui rend chacun désirable sous son objectif.

Comme un joueur, j’ai fait ami avec mon voisin de table, avant de lui prendre un gros coup, et comme tous les autres joueurs autour, j’ai maugréé à chaque fois que nos tables étaient cassées, et comme un joueur, j’ai foldé, foldé, foldé, puis foldé à nouveau.

Comme un joueur, en huit heures de jeu, j’ai touché une seule paire (de 7, qui touche brelan au flop, et me propulse bien au-delà de l’average), pas une seule main au-dessus d’As-Dame offsuit, et comme un joueur qui regarde les autres joueurs, j’ai du voler la plupart de mes pots, pour attendre un ailleurs plus souriant.

Comme un joueur, j’ai fait le bluff le plus pourri du monde, et comme en face un joueur avait les As en main, j’ai dû faire une horreur pour le sortir. Comme un joueur, j’ai balbutié quelques mots ridicules, car on ne sait jamais comme consoler un autre joueur d’une petite mort imméritée. Comme un joueur, j’ai fermé les écoutilles pour ne pas entendre les moqueries des autres.

Comme un joueur, j’ai attendu et rebondi, j’ai passé un (beau) coup à un semi-pro imbu de lui-même, et je lui ai montré mes cartes car je suis moi aussi un joueur imbu de moi-même.

Comme un joueur, j’ai checké un inconnu après un beau coup, comme un joueur, j’ai écouté mes semblables déverser leurs bad beat, comme un joueur, je les ai entendus se justifier de leurs moves les plus absurdes, comme un joueur, j’ai demandé à mes voisins de table si j’avais bien joué mes mains, histoire de savoir comme eux le feraient.

Comme un joueur, à la pause, je me suis précipité recharger mon téléphone, j’ai fait la queue interminable dans des toilettes saturées, et comme un joueur, j’ai tout fait pour ne pas les entendre parler de re-buy, de tournois high-roller ou de side-events.

Comme un joueur, à environ 100 joueurs left, j’y ai cru encore plus, car j’avais bien au-dessus de la moyenne, car le rythme à table était calme, car j’avais tout le temps du monde et une gueule de bois oubliée dans les effluves de sueur aigre des autres joueurs.

Comme un joueur, j’ai complété un min-raise de la petite blinde, en big blinde, avec 9-10 de coeur. Comme un joueur, j’ai vu apparaître un flop agréable, Dame-Valet-2 offsuit. Comme un joueur, j’ai misé les 2/3 du pot, comme un joueur, mon adversaire, qui avait checké, a payé. Comme un joueur, j’ai vu un turn apparaître, avec rien de plus à l’horizon. Comme un joueur, j’ai check-back pour voir une carte gratuite. Comme un joueur qui voit la lueur au bout du tunnel, j’ai vu un Roi arriver. Et un tapis face à moi. Et comme un joueur avec la deuxième meilleure main possible, je n’ai pas hésité, et j’ai eu une montée d’adrénaline mal identifiée. Comme un joueur qui envisageait de perdre, j’ai payé, et j’ai perdu. As-10 pour une quinte supérieure. Comme un joueur, je viens de vous raconter mon badbeat.

Comme un joueur qui venait de buster, je suis parti l’air vaguement détaché, alors que j’étais agacé, déçu, énervé —contre moi, surtout, mais bien sûr contre le monde entier, car l’enfer, c’est les autres. Comme un ex-joueur, j’ai été toucher mon gain (1750€), et comme un joueur, j’ai fait la liste de ce que cela m’offrirait —une paire de chaussures trop chères, une montre ancienne, un restaurant japonais— et comme un joueur, j’ai rapidement calculé qu’il y en aurait pour bien plus que cela.

photographie Caroline Darcourt pour Winamax

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[WiPT Paris – Grande finale] Et ils ne sont plus que 32…

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La journée a été longue, porte de Versailles, pour les survivants du Main Event de la grande finale du Winamax Poker Tour : débutée à midi pile après l’introduction tripartite des responsables du succès parfait de cet évènement (Thierry Bolleret pour le Club Circus, François Lascourrèges pour Texapoker et Matthieu Duran pour Winamax), elle s’est achevée au moment de l’objectif déclaré, celui d’atteindre 32 joueurs restants.

Avec un payout classique constitué de petits paliers par 100, puis 200€ entre chaque step, pas le moment d’attendre, surtout qu’au vu des quelques 500 survivants du début de journée, beaucoup étaient dotés d’un (tout) petit tapis. Pour ceux qui s’étaient qualifiés via les Day 1 turbo, la bonne surprise était de voir les blindes repartir en 6k/12k/12K, sur un average de 310 000 — bref, de quoi voir venir !

Les 32 survivants reviennent donc en ce samedi avec des rêves de finale, notamment Alexandra Meyobeme, avant-dernière en stack, mais personnalité singulière et attachante que nos confrères de Winamax ont rencontré (à lire, ici !). Car on aime défendre les petits stacks et les joueurs et joueuses hors de l’ordinaire, on vote pour elle…

photographie : Caroline Darcourt pour Winamax

Nom Prénom Statut Jetons
CAUCHARD JEREMY 15 515 000
GANCIERIUS TITAS Red Diamond 15 295 000
BEQQALI JAD Qualifié satellite
Winamax.fr
12 560 000
AGOUDJIL ADEM Qualifié satellite
Winamax.fr
9 855 000
PACHOT SIDOINE 9 100 000
MEUNIER CLEMENT Red Diamond 8 685 000
BERNIERI GIUSEPPE LUCA 7 060 000
BOISNARD THOMAS Qualifié Expresso 6 975 000
XIONG DENIS Qualifié satellite
Winamax.fr
6 625 000
HAMEAU NICOLAS 6 135 000
LABONNE FREDERIC Qualifié Expresso 6 035 000
Pierrot Thomas Qualifié KING5 2021 6 035 000
LEHOUSSINE KARIM 5 800 000
AZRIA RAPHAEL 4 535 000
OGUNJOBI SUNDAY Qualifié freeroll
Marseille
4 450 000
LOUARGANT STEPHANE Qualifié Expresso 4 240 000
SOK BRUNO 4 100 000
GAUCI JEREMY 3 755 000
ABIDI KARIM 3 675 000
DELABRE MAXIME Red Diamond 3 555 000
PALVINI JEREMY 3 440 000
GIRARD HUGUES 3 215 000
VAYSSIERES NICOLAS Qualifié Expresso 2 855 000
GARCIA KEVIN 2 830 000
BELKEBIR CYRIL Qualifié Expresso 2 725 000
RADLOVIC PETAR Qualifié Expresso 2 345 000
LE FRIOUX YANN 2 305 000
PRUCHON ABEL 1 895 000
JOFFROY ROLAND 1 755 000
GADRAT GREGOIRE 1 710 000
MEYOBEME ALEXANDRA 1 700 000
GERBOIN THIBAUD 1 560 000

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