Le poker semble être entré dans une « deuxième phase médiatique ». Comme l’ont analysé les sociologues des médias, cette deuxième phase est critique : elle s’accompagne d’une remise en cause globale du système des valeurs d’un milieu.
Dans le cas du poker, le « déclencheur » a été le retour de manivelle du Black Friday : pendant des années, les sites web online ont opéré en toute illégalité aux USA, avant d’être rattrapés, un matin, par la réalité judiciaire. Les centaines de milliards joués (et les milliards prelévés par les rooms onlines) avaient disparu depuis longtemps, mais à l’aune de ces arrestations en masse, le grand public s’est levé avec la gueule de bois : leur passion n’était-elle que blanchiment, détournement et évasion fiscale ?
Le joueur, adulé, héros moderne, pionnier du hasard serait-il en fait un vulgaire bandit du quotidien ? Les rounders, leur arme sur les genoux et les cartes truqués dans la manche, étaient-ils si différents des nouveaux champions WPT/WSOP/EPT ? Quelques mois auparavant, la triche supposée d’Ali Tekangamac, au PPT, avait déjà fait grand bruit. La parole des joueurs, souvent, était d’or. Comme le disait si bien Marcel Lüske dans un documentaire sur le poker : « dans un casino, on te vole l’argent, en tête à tête, sur tapis vert. Mais le voleur le fait savoir au type qui va se faire dépouiller. C’est un accord tacite… Par contre, tu peux laisser une liasse au bar de la poker-room, sans attention, et personne n’y touchera. »
Sauf qu’avec l’arrivée des millions de joueurs, l’appât du gain facile —comme dans tous les domaines sociétaux—a refait surface. Oh, il ne s’était pas non plus bien éloigné : les rumeurs de cartes marquées couraient depuis des années chez certains habitués des cash-games high-stakes ; le chip-dumping serait même un sport national en tournoi, chez une communauté de joueurs vietnamiens menés par The Master, lui-même… Mais quelles preuves à toutes ces allégations ? Quelles vidéos le prouvant ? Quel joueur avouerait, « face up » de tels scandales ?
Et puis le Black Friday est arrivé. Un système, dévoilé au grand jour. Des entreprises, déjà pourries, comme UltimateBet, qui replongent ; d’autres, réputées irréprochables, qui plongent dans un enfer financier gris/noir, comme l’argent qu’il manie, les sommes qu’il « prête » au grand jour à leurs joueurs vedettes (Ivey en tête) d’un simple clic. Et puis il y a ce vainqueur de l’Epic Poker League —compétition autoproclamée sans sponsor illégal— qui n’est autre que Chino Rheem, broke-for-life, qui doit des dizaine de milliers de dollars, jamais remboursés à ses congénères.
Avec cet évènement-choc, les langues se sont déliées. Des génies du online, comme Daniel « Jungleman12 » Cates se sont retrouvées pris dans la tourment de triches online globalisées ; dans l’arrière-cour de certaines salles online .fr, on évoque des collusions par chat IRC, du multi-account de certains joueurs vainqueurs réguliers de tournois hebdommadaires, de chip-dumpings en amis. On bannit, sous couvert de la confidentialité, ou l’on attend plus de preuves.
Mais la « deuxième phase » qui touche tout le milieu pourrait faire trembler tout le système de promotion du poker : comment assurer une parfaite légalité du jeu online ? et lors des tournois ? Les réponses viennent des Tournament Director : ne pas parler à table, comme le prône Matt Savage, pour ne pas communiquer de vraies/fausses informations, même à des complices. Les joueurs, Negreanu en tête, s’insurgent : le poker est un jeu d’informations, de détours et d’assertions. Il faut pouvoir tromper, analyser, faire parler. Les deux parties se tiennent, et la réponse aux fraudes n’est sûrement pas là. Il faudra peut-être uniquement accepter que le monde —du poker, ou autre— n’est jamais univoque, propre et sans faille. Tout cela, finalement, le « milieu » du poker le savait. Par coeur. Et depuis longtemps. L’heure de la « glasnost », de la transparence à tout va, semble avoir sonné. Pour combien de temps, et pour quels intérêts ?
Du 7 au 17 septembre, les Kick Off Series reviennent sur PMU® Poker. Au programme : plus de 200 tournois pour une garantie totale supérieure à 1 000 000€, des Daily Leaderboards, des Twister spéciaux, un Freeroll 2500€ et le très attendu Tournoi des champions. Des buy-ins allant de 1€ à 250€ avec de belles garanties, et notamment 150 000€ GTD pour le Main Event.
Main Events des Kick Off Series
À partir du 7 septembre et jusqu’au 17 septembre, les Main Events se joueront en format flight avec des Day 1 quotidiens. lls seront déclinés en 3 niveaux de buy-in, pour permettre de s’adapter à toutes les bankrolls :
Buy-in de 5€ pour une garantie de 20 000€
Buy-in de 30€ pour une garantie de 50 000€
Buy-in de 125€ pour une garantie de 150 000€
Pour les amateurs de bounty mystère, PMU® Poker proposera un Mystery KO en format flight avec des buy-ins à 2€ et 10€, pour des garanties de 5 000€ et 15 000€. Les qualifications débutent dès le 7 septembre via les satellites, ou dès le 1er septembre via les Twisters Spéciaux à 3€*.
Un programme XXL
Le coup d’envoi de ce programme XXL débute le dimanche 7 septembre, avec notamment des tournois magnifiques comme le 250€ High roller PKO avec 20 000€ garantis et le 100€ MonsterStack PKO, avec 7 500€ de garantie.
1 000€ à se partager tous les jours !
PMU® Poker offre 1 000€ de tickets Kick Off Series quotidiennement pour récompenser les performances des meilleurs joueurs. Un Leaderboard “Low” pour les tournois ayant un buy-in de 10€ ou moins et un autre Leaderboard “High” pour les buy-in de 11€ ou plus.
Les points des joueurs sont collectés à chaque tournoi Kick Off Series joué. Plus les joueurs figurent haut dans les résultats des tournois, plus ils accumulent des points pour avancer dans le classement. Il est nécessaire pour marquer des points de terminer dans les 40 premiers pour le classement Low, et dans les 20 premiers pour le classement High.
Les Leaderboards prendront en compte l’ensemble des Events Kick Off Series chaque jour durant le festival sauf les satellites, les freerolls et les Day 1 des Main Events.
Au total, ce sont 10 000 € de tickets qu’ils se partageront pour les Events Kick Off Series.
Des tickets Freeroll de 2 500€ offert
Du dimanche 7 septembre jusqu’au vendredi 12 septembre, les joueurs pourront remplir la mission Kick Off Series et remporter leur ticket pour le Freeroll qui mettra en jeu pas moins de 2 500€ de tickets. Afin de remporter leur entrée, ils devront participer à 10 tournois Kick Off Series avant le 12 septembre à 20h00. Les satellites, flights et freerolls ne sont pas pris en compte.
C’est l’une des chances pour les joueurs de gagner une entrée pour le Main Event le 17 septembre, garanti à 150 000€.
Des champions récompensés
PMU® Poker prolonge l’expérience et le plaisir des meilleurs joueurs du festival. Ils s’affronteront en exclusivité lors du Tournoi des Champions Kick Off Series – 5 000€ le samedi 20 septembre à 20h00, pour tenter de remporter un package FPO d’une valeur de 2 000€ pour jouer le prochain FPO Lyon qui aura lieu du 7 au 12 octobre.
La rentrée s’annonce chaude et bruyante avec les Winamax Series, qui auront lieu du 31 août au 11 septembre. Au programme, 337 tournois avec 30 millions d’euros garantis : l’inévitable 3 Million Event et les autres tournois aux buy-ins variés comme le Giant Space KO (2 €), le High Five KO (5 €), le Colossus Million Space KO (20 €) ou encore le Million Event KO (50 €) garantissant 1 000 000 € : programme complet des tournois : Winamax Series.
Dimanche 24 août, profitez d’une édition spéciale des Road to Series : nouvelle édition spéciale ce dimanche avec une journée Road to Series exceptionnelle : 500 000 € garantis et plus de 110 000 € de tickets à gagner ! Douze tournois sont proposés à partir d’un ticket d’entrée de 2 €.
Pour beaucoup, participer aux World Series of Poker, ne serait-ce que pour un tournoi, c’est le rêve d’une vie. Un objectif représentant une sorte d’accomplissement dans une carrière de joueur, mais qui reste toujours aussi difficile d’accès. Pensez donc : dans le monde d’aujourd’hui ? Mais alors que les prix s’envolent et que les conditions d’entrée sont toujours plus incertaines au pays de l’Oncle Donald, il est un événement à même de vous offrir fortune et gloire, sans vous ruiner, et sans flinguer votre bilan carbone : les Mini WSOP.
Du mardi 27 mai au mercredi 16 juillet, Winamax se met ainsi à l’heure du Nevada avec, outre le reportage en langue française le plus complet du marché, un festival en ligne calqué sur celui des véritables Championnats du Monde de Las Vegas, à l’échelle 1/100ᵉ. Comprenez : en déboursant cent fois moins de billets verts, vous pourrez tenter de couronner votre été de succès sur nos équivalents maison des plus belles épreuves de variantes de la planète poker. Ils sont tous là : les dantesques Millionaire Maker, Mystery Millions, Colossus et autres Monster Stack, les divers et prestigieux Championships… sans oublier, bien sûr, l’immanquable Main Event.
Et si ce dernier, clou d’un spectacle digne du feu d’artifice du 4th of July tiré au-dessus des fontaines du Bellagio, vous demandera de dégainer le billet de 100, près de la moitié des 100 tournois à l’affiche seront accessibles pour 20 € ou moins. Mais quel que soit le prix d’entrée, chaque épreuve offrira à son futur vainqueur son propre bracelet de Champion, exempté de tout droit de douane. Parfait pour briller de mille feux aux tables, même loin des lumières du Strip.