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Portraits / Interviews

Interview Poker52/Moundir : L'aventurier du poker

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Il y a quelques années, Moundir, de passage aux Etats-Unis, joue pour la première fois au poker au cours d’une soirée chez un ami. Emporté par le tourbillon des cartes, il se découvre alors une sincère passion pour ce jeu. Après être passé par la Maison du Bluff, il continue aujourd’hui d’écumer les tables et tente de représenter au mieux sa room de coeur, Winamax.

Professionnel ? Probablement pas. Amoureux du jeu ? Certainement. Rencontre…

Poker52 : Première question, où en-es-tu dans ta carrière de joueur de poker ?

Moundir : J’aime beaucoup le mot « carrière » qui ne me correspond pas dans le fond. Je me considère plutôt comme un vrai passionné de ce jeu qui continue d’apprendre auprès de professionnels et qui a la chance de collaborer avec des vrais scientifiques du poker. J’ai une chance incroyable aujourd’hui d’avoir été choisi par Winamax pour représenter la room du mieux que je peux dans le poker populaire et amateur. Je suis d’ailleurs le seul « PEOPLE » à être sur le circuit depuis 3 ans.

Poker52 : Comment as-tu découvert le poker ?

Moundir : Un jour à Miami chez mon pote Édouard, je suis tombé sur un épisode des WSOP où j’ai vu un mec habillé comme Van Helsing (rires). Toutes ces personnes avec leurs capuches, leurs lunettes… C’était très captivant, un vrai show. J’ai alors demandé à mon ami de m’apprendre les règles. Le soir même, je me retrouvais à une partie de cash-game où j’ai remporté 400 dollars. Depuis je ne cesse d’avoir de l’intérêt pour ce jeu.

Poker52 : Il devient de plus en plus difficile de passer pro. Est-ce un objectif pour toi ?

Moundir : Contrairement à ce que je peux entendre ou lire sur moi, je n’ai jamais voulu être un joueur pro et je ne prétends pas en être un. C’est beaucoup de sacrifices et il faut accepter de laisser un peu de côté la famille. Ce que je ne suis pas prêt à faire. A cela, il faut ajouter les voyages, enchaîner les tournois, les heures passées aux tables de poker, gérer les déceptions et les moments heureux aussi. Pour moi concilier tout cela n’est possible que pour quelques-uns. Je vis un peu de cette vie de joueur professionnel en étant chez Winamax mais ce n’est pas un objectif de devenir pro.

Poker52 : Quel regard portes-tu sur les jeunes joueurs ?

Moundir : Je ne porte pas de regard particulier sur les jeunes joueurs. Je sais qu’il y en a qui gagnent de l’argent et se débrouillent bien. Mais bon, ils ont tous la mêmes chemises et mêmes coupes de cheveux. Ça manque de classe ! Passez me voir au salon les mecs !

Poker52 : Quels sont les joueurs qui t’ont inspiré ?

Moundir : Je pense plutôt à deux personnes qui m’ont été présentées et qui ont fait du Cercle Clichy Montmartre ce qu’il est aujourd’hui : un très beau Cercle de jeux. Je ne remercierai jamais assez Pascal Rollin et Ziad Farhoud pour avoir changé mon approche du poker. Ils sont au poker ce que sont Starsky et Hutch dans la célèbre série : ils ont une approche et une vision qui leur est propre. Si j’en suis là aujourd’hui, c’est aussi grâce à eux.

Poker52 : Quels sont ceux dont tu es proche ?

Moundir : Je suis très proche de Philippe Ktorza qui est comme un frère mais je pense aussi à pas mal de joueurs pros que je respecte pour avoir discuté avec eux et ils sont nombreux.

Poker52 : Comment tu décrirais ton jeu ?

Moundir : Quand j’ai commencé, je dirais que j’étais très agro loose mais mon jeu a évolué depuis que je prends des cours et que je suis suivi. Mon jeu est plus conservateur, même si j’ai encore parfois des moments de folies !

Poker52 : Tu avais l’image de quelqu’un d’impulsif quand on t’a vu les premières fois à la télévision. Penses-tu que cela ait pu jouer en ta défaveur lors de tes débuts autour d’une table ?

Moundir : Je dirais plutôt que ça été une chance d’avoir pu faire de la TV car, parce que tu es un « people », les gens veulent te sortir, juste pour se dire : « j’ai busté untel de la télé ». Donc que ce soit en live ou online, je suis surjoué. Le seul hic : quand je touche et que je suis Max je les destacke mais je me prends aussi beaucoup d’horreurs. Tout ça pour entendre: « Je voulais te sortir car tu es Moundir ».

Poker52 : L’avenir dans le poker, tu l’envisages comment ?

Moundir : J’espère rester encore longtemps dans le monde du poker. Avec ceux que je considère comme les meilleurs mais aussi proche du poker amateur. Je suis ravi de participer au Tour de Winamax qui me donne cette opportunité de rencontrer d’autres passionnés comme moi, d’être inclus dans cette aventure qui donne la chance à des milliers de joueurs de pouvoir vivre une finale live à Paris.

Poker52 : Si tu devais changer une chose qui t’énerve dans le monde du poker, ce serait quoi ?

Moundir : Je rendrais tous les joueurs muets lors des diner break juste pour qu’on ne parle pas de coups de poker. C’est juste horrible non ? (rires)

Poker52 : Tes prochains tournois live seront lesquels ?

Moundir : Je joue souvent les 150 euros au Cercle Clichy Montmartre. Je ferai peut-être un Side à l’EPT de Deauville. Je serai également présent à la Finale du Winamax Poker Tour à partir du 26 février prochain. J’ai vraiment hâte. Il y aura tout le Team Pro Winamax mais aussi plus de 1200 joueurs. Honnêtement, qui dit ou fait mieux que ça ?

Poker52 : Pour finir, quel est le résultat dont tu es le plus fier ?

Moundir : D’avoir gagné il y a un an et demi le side à 225 du Winamax Poker Tour avec 300 joueurs inscrits.

Poker52 : Merci et bonne chance pour la suite.

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Portraits / Interviews

Vincent Reynaert lance le média « Les Enjeux »

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Vincent Reynaert, ancien de PMU Poker et du Groupe Barrière, vient de lancer un média pas comme les autres : Les Enjeux, une plateforme qui analyse un monde du gaming en pleine mutation. Rencontre.

Pouvez-vous nous rappeler votre parcours dans le monde du gaming ?

J’ai découvert l’univers du jeu en 2010, à un moment clé : celui de l’ouverture du marché français. À l’époque, tout était à construire. C’est dans ce contexte que j’ai rejoint Everest Poker, pour développer les partenariats sur un marché qui s’inventait chaque jour. C’était une période excitante, un peu folle aussi, avec beaucoup d’expérimentations et une vraie effervescence autour du poker en ligne.

Un peu moins de 2 ans plus tard, j’ai rejoint le PMU. 8 années passionnantes pendant lesquelles j’ai eu la chance de travailler sur le développement du poker dans une entreprise dont ce n’est pas le coeur de métier. C’est à ce moment-là qu’est né le France Poker Open (FPO), un circuit que nous avons créé avec l’ambition de surfer sur l’ADN poker live, la marque de fabrique de PMU Poker.

En 2020, j’ai intégré le groupe Barrière pour piloter le développement de leur offre digitale. L’objectif : préparer le futur des casinos physiques dans un monde de plus en plus connecté. Et juste avant de lancer Les-Enjeux.com, j’ai occupé le poste de directeur marketing et communication chez Texapoker, une aventure courte mais intense, au cœur de la plus belle scène du poker live. Ces expériences m’ont donné une vision globale du secteur, à la fois côté opérateurs, événementiel et communication et surtout une conviction : celle que l’industrie du jeu a besoin d’être mieux racontée.

Quelle est la volonté derrière “Les Enjeux” ?

Le jeu est un secteur fascinant, en pleine mutation. On assiste à une recomposition de fond : des acteurs comme Winamax ou Betclic ont complètement bouleversé les codes, les casinos physiques amorcent une transition vers le digital, la filière hippique doit se réinventer pour séduire une nouvelle génération de joueurs, et la régulation évolue vers plus d’ouverture, notamment avec la possible arrivée des casinos en ligne, le jeu est de moins en moins un tabou.

Bref, c’est un moment charnière. Et pourtant, il n’existait pas de média francophone pour documenter ces transformations. Les informations circulent, mais souvent de façon éclatée, entre des communiqués institutionnels, des sites d’actualité très spécialisés ou des analyses en anglais.

Avec Les Enjeux, on veut justement combler ce vide. Notre ambition est de devenir un point de convergence : un lieu où les différents acteurs, opérateurs, fournisseurs, régulateurs, start-up, juristes, etc. peuvent se retrouver, échanger, comprendre les grandes tendances, et surtout prendre du recul sur leurs métiers.

C’est aussi un média qui parle à tous les passionnés de jeux, pas seulement aux professionnels. On veut raconter les succès, les innovations, les débats, mais aussi les enjeux humains, économiques et sociétaux derrière cette industrie souvent caricaturée.

Que va apporter une telle publication en ligne, et quelle équipe va y travailler ?

Aujourd’hui, dans le monde francophone, il n’y a pas de média de référence capable de couvrir l’ensemble de l’écosystème du jeu, comme le font des titres anglo-saxons tels que iGaming Business ou EGR.
Nous, on veut occuper cette place.

Notre couverture sera large : la France, bien sûr, mais aussi la Belgique, la Suisse, le Luxembourg, et une partie de l’Afrique francophone, notamment le Maroc, où l’activité casino et hippique est très dynamique. L’idée, c’est de créer un réseau francophone du jeu.

Mais au-delà de l’actu, Les Enjeux veut surtout changer la perception du secteur. Trop souvent, le jeu est résumé à ses excès ou à ses risques, alors qu’il s’agit d’un univers d’innovation, de savoir-faire et d’excellence française. Des milliers de personnes y travaillent, des start-ups y inventent la tech de demain, des groupes investissent dans la RSE, la data, la sécurité ou la formation.

Pour construire ce regard global, je m’entoure d’experts : des avocats fiscalistes, des consultants spécialisés, des technophiles, des pros du casino, du poker ou du pari hippique. Ce sont eux qui apporteront la rigueur, la crédibilité et la diversité de points de vue.

Et enfin, un point qui me tient à cœur : Les Enjeux veut aussi inspirer. En mettant en lumière les réussites, on espère attirer de nouveaux talents, de nouvelles idées et de nouvelles énergies vers le secteur.

Quelle est votre vision du jeu à 1, 5 ou 10 ans en France et en Europe ?

La France, c’est un marché paradoxal : très encadré, parfois rigide, mais incroyablement riche. On compte plus de 200 casinos, soit le maillage le plus dense d’Europe. On a deux opérateurs historiques, la FDJ et le PMU, qui ont su se réinventer pour devenir de véritables acteurs digitaux et européens. D’ailleurs, la FDJ vient de franchir un cap avec le rachat de Kindred Group, propriétaire d’Unibet : un signal fort de l’ambition française.

Dans les cinq prochaines années, on va assister à une recomposition majeure du paysage du jeu en ligne. L’ouverture du marché des casinos en ligne est, à mon sens, inévitable. La vraie question, ce sera : sur quel modèle ? Et avec quelles garanties de protection et de responsabilité ?
Plusieurs visions vont s’affronter : celle des opérateurs terrestres, celle des acteurs déjà en ligne, celle du régulateur, du politique et des moralisateurs… Ce sera un moment clé, comparable à ce qu’a été l’ouverture du marché des paris en 2010.

Sur le long terme, je crois que le secteur va continuer à se professionnaliser et à s’ouvrir. On va vers un écosystème plus mature, plus connecté à la tech, à la data et à l’expérience client. Et je pense aussi qu’on va assister à une forme de réconciliation entre le jeu et la société. Parce que le jeu, au fond, c’est aussi du divertissement, de la culture, et parfois même du patrimoine.

Et nous, chez Les Enjeux, notre rôle, c’est de raconter cette évolution, d’en décrypter les ressorts et d’en faire un sujet de société à part entière.

(crédit photo : Audran Sarzier)

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Portraits / Interviews

Rencontre : Fivebet, poker et vision d’avenir avec Thomas Gimie

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Alors que le poker live connaît un nouvel essor en France, certains acteurs se démarquent par leur énergie et leur volonté de dynamiser le milieu. C’est le cas de Fivebet, une jeune structure qui s’impose peu à peu comme un nom à suivre dans l’univers du poker live. À sa tête, Thomas Gimie et benjamin Camps, passionnés de la première heure, entendent proposer une expérience différente : plus humaine, plus structurée, et résolument tournée vers les joueurs.

  • Pouvez-vous présenter votre société et vos activités, ainsi que votre parcours dans le poker ?

Avec benjamin, mon associé et co-fondateur, on s’est rencontrés il y a plus de 15 ans, et on a eu une carrière qui nous a fait beaucoup travailler ensemble, même si on était dans des endroits différents. On travaillait dans les tournois, partout dans le monde, et un peu à tous les postes.

Benjamin a pris des postes à plein temps, et moi, j’ai toujours été très indépendant en étant sur des tournois dans un cadre plutôt événementiel ! J’ai finalement dirigé beaucoup de tournois avant de monter Fivebet avec Benjamin.

  • Comment interagissez-vous avec vos équipes, celle du casino et celles de Winamax ?

C’est une bonne question ! Mon rôle ici est d’être l’intermédiaire entre tout le monde. Légalement, l’organisateur, c’est le casino. Winamax est le sponsor propriétaire de la marque avec son cahier des charges et ses process, tandis que moi, je suis là pour que tout le monde puisse marcher main dans la main, et réaliser l’objectif qu’on a tous, c’est-à-dire régaler les joueurs et créer des événements qui fassent date !

Moi, j’amène tous les extras poker. Christophe (le responsable du casino) de son côté a aussi d’autres extras comme la sécurité, les barmans… Au niveau des employés de jeu, on a 250 personnes supplémentaires que je manage pour le compte de Christophe, en vue d’assurer l’événement de Winamax.

  • Quels autres grands évènements organisez-vous dans l’année ?

Ici, on a au moins deux rendez-vous importants par an, qui sont les Swiss Poker Series mais aussi les Kill Tilt Poker Series. Ce sont des festivals qui fonctionnent vraiment bien.

Aussi, il y a une stratégie d’événements qui se veulent très gros et très ambitieux, mais il y a aussi des ambitions plus humbles qui sont d’aller combler des territoires qui sont en manque de poker. C’est ce qu’on essaye aussi de faire avec d’autres marques dans d’autres endroits de France où il y a une demande, mais très peu d’offres.

  • Avec la prééminence de Texapoker dans le live, comment avez-vous trouvé votre place et qu’apportez-vous comme savoir-faire ?

Le but était de développer une nouvelle part de marché, plutôt que d’essayer d’en grignoter à TexaPoker, et je crois que c’est ce qu’on a fait ! Soit on est allé faire du poker d’une autre manière dans des établissements qui en proposaient déjà, soit on est allé en faire dans des casinos qui n’en faisaient tout simplement pas. Tu vois par exemple, on ne travaille pas sur des casinos qui travaillaient avec TexaPoker avant qu’on arrive, ce qui fait que la concurrence est bénéfique pour le marché puisqu’on fait grossir le gâteau ! C’est notre approche des choses…

Nous ne sommes pas sur la multiplication du volume, et nous n’avons pas non plus pour objectif de décliner des produits qui sont les mêmes partout. Comme on est une jeune entreprise, on essaye de valoriser notre flexibilité et de développer des produits sur mesure en fonction d’un site. Le but est de mettre un peu d’âme dans tout ça !

 

 

 

Crédit photo : Caroline Darcourt 

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Portraits / Interviews

Rencontre : Christophe Guerin, au cœur des opérations du casino d’Aix-les-Bains

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À l’occasion du WPO d’Aix-les-Bains organisé par Winamax, nous avons pu nous entretenir pendant quelques minutes avec Christophe Guerin, responsable du Casino Grand Cercle. Entre tradition, innovations et passion pour le poker, il nous partage sa vision du métier, et les coulisses de l’organisation d’un événement d’envergure.

  • Pouvez-vous nous présenter votre casino, son offre de jeu et plus particulièrement de poker pendant l’année ?

Au niveau du poker, on a un tournoi mensuel en partenariat avec Fivebet. On s’occupe de l’organisation et de la communication par rapport à ce tournoi. On travaille avec Fivebet depuis deux ans et demi à peu près. Niveau cash game on a trois tables à l’année, et c’est principalement ce qu’on propose chez nous niveau poker. On a reçu aussi Pokerstars, et le Swiss Poker Series.

Notre société existe depuis 1824, et le casino a été construit en 1849, il fait entre 12.000 et 13.000 mètres carrés de surface développée. En offre de jeu, on a 223 machines, et 8 tables de jeu !

  • Comment s’est noué votre partenariat avec Winamax pour le WPO ? Dans quelle stratégie locale et nationale cela s’inscrit-il ?

Grâce à des contacts que Thomas avait déjà chez Winamax, on a discuté de manière ouverte avec eux pour savoir s’ils avaient de la place dans leur calendrier pour pouvoir organiser un tournoi majeur chez nous.

Ça a pris quelques mois, et on a fini par rencontrer les propriétaires de Winamax (Alexandre et Christophe). On a essayé de mettre en avant notre ville qui n’est pas une très grosse ville de province, mais avec un fort potentiel. Après avoir argumenté et plaidé en faveur du casino qui est l’un des plus beaux de France, de par sa localisation, son accessibilité et son architecture, les responsables de chez Winamax ont finalement été convaincus.

Je savais que ça pouvait être un succès et qu’on pouvait mettre tous les moyens nécessaires pour organiser un événement comme le WPO, mais aussi avoir la capacité d’accueillir un très grand nombre de joueurs.  La qualité du site n’allait pas décevoir, c’était une certitude. On a donc tout mis en œuvre pour accueillir Winamax au mieux !

Pour la démarche nationale, on reste un casino régional et nous n’avons pas encore d’ambition nationale.

  • Quels sont les points forts de votre casino et son accueil joueur ?

Le point fort du casino, c’est réellement la qualité du bâtiment, mais aussi l’offre de jeux puisqu’elle est quand même très conséquente au niveau des machines. On a une diversité de jeux qui arrive à satisfaire 95 % des joueurs.

De plus, on dispose d’un restaurant qui est tout à fait exceptionnel. On a plusieurs salles de réception et nos salariés sont parfaitement formés à l’accueil et à l’orientation des clients. On a également une offre hôtelière qui est plutôt très satisfaisante, avec SPA et piscine. On profite aussi du plus grand lac naturel de France qui se trouve juste à côté, donc on a une qualité de vie qui est très intéressante, même pour quelqu’un qui voudrait juste venir quelques jours, c’est vraiment sympa !

  • Quels sont vos prochains grands évènements pour nos lecteurs qui souhaiteraient découvrir votre établissement ?

Les chalets en décembre ! On monte une structure en extérieur pour l’hiver avec DJ, restauration, bar… C’est un immense chalet festif avec une offre alimentaire importante et plusieurs bars ! Il est possible de boire du vin chaud, ou encore de manger des huîtres, et ce, en étant à proximité du casino !

En dehors de ça, à l’année, on organise des pièces de théâtre, des spectacles, et il y a à peu près 150 jours d’animation par an au casino ! Un jour sur trois, vous pouvez donc profiter d’une animation chez nous.

 

 

Crédit photo : Gema Cristobal 

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