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Clubs parisiens

Enorme succès pour les European Poker Awards

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Ceremonie des Europeans Poker Awards 2012 à… par poker52

C’était jour de gala, hier, sur les Champs Elysées, pour toute la communauté poker européenne. Pour cette onzième édition, organisée par l’Aviation Club de France, Poker52 et Poker52 Europa, tous les grands noms du moment avaient réservé leur place pour la grande cérémonie organisée à l’Elysée Biarritz.

Dans l’après-midi, le jury composé de professionnels de tous les pays d’Europe (Nic Szeremeta, en président d’honneur, accompagné entre autres de Kara Scott, du journaliste anglais Barry Carter, du membre franco-allemand de PokerStrategy Mike Michelin, du COO du casino Montesino à Vienne, du joueur high-roller finlandais Juha Helppi, du responsables de tournois européens de PokerStars Jonathan Raab, et des deux rédacteurs en chef de Poker52/Poker52 Europa et PokerBlatt Jérôme Schmidt et et Jan-Peter Jachtmann), avait délibéré pendant plus de deux heures pour déterminer les lauréats.

La soirée a débuté par la remise des trophées HendonMob/Poker52 aux 3 meilleurs joueurs français de l’année, par Bruno Benveniste, directeur de Poker52, et les deux co-fondateurs de HendonMob, les Anglais Barny Boatman et Joe Beevers. Les trois champions français —ElkY, David Benyamine et Lucien Cohen— ont été récupérer les trophées sous les applaudissements des quelques deux cents invités.

Au terme du dîner, le magicien de renommée internationale Stéphane Vanel a offert quinze minutes de spectacle au public, enchanté et bouche bée devant le savoir-faire étonnant de ce manipulateur de cartes qui se produit habituellement avec son spectacle « Magic Of Paris » dans les casinos de Las Vegas. La cérémonie de remise des prix a ensuite pu débuter, menée de main de maître par l’Anglaise Michelle Orpe et Nicolas Schull. Sur la scène ont ainsi défilé les invités de prestige et les lauréats :

• le prix Rob Gardner de la personnalité de l’année, remis à ElkY par Bruno Benveniste
• le prix du meilleur « poker staff », remis à Warren Lush (représenté par sa collègue de PartyPoker, Hermance Blum) par Juha Helppi
• le prix du meilleur évènement poker 2011, remis à toute l’équipe des WSOP-Europe par Liv Boeree
• le prix de la révélation de l’année au Russe Andreiy Pateychuk, remis par Victoria Coren
• le prix de la meilleure performance en tournoi, remis à Pius Heinz, le vainqueur du Main Event WSOP 2011
• le prix du meilleur joueur internet, remis à Ilarie Sahamies (joint par téléphone en direct), par Mike Michelin
• le prix de la joueuse de l’année à Natalia Nikitina, remis par Alexis Laipsker
• le prestigieux prix du joueur de l’année à Sam Trickett, remis par la charmante Kara Scott
• le prix du Lifetime Achievement pour Jesse May, remis par Nic Szeremeta et Bruno Fitoussi. Le journaliste américain qui vit à Copenhague était très ému d’avoir reçu cette consécration pour sa vie et sa carrière consacrée au poker.

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[WiPT Paris – Grande finale] L’action ne s’arrête jamais

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Alors que le Day 1A s’apprête à accueillir, en mode turbo, un Day 1b qui débute chaque jour à 18h, les busto ou les joueurs trop en retard qui veulent une compétition ne s’étalant pas sur trop de journées, se pressent déjà pour le « Battle Royale », un 750€ qui débute à 17h30, avec des ITM qui se reverront en Day 2 pour toucher le « vrai » argent. Déjà 50 inscrits, et au vu des tables où les croupier se sont déjà installés, il semble que le field devrait au moins doubler dans l’heure à venir.

Au programme, 1 seul re-entry possible, des niveaux de 25 minutes et un bounty à 300€. Bruno Fitoussi, qu’on a aperçu de loin en grande discussion avec Apo Chantzis et François Lascourrèges, les deux hommes-lige à la marque Texapoker, devrait être de cette compétition : l’ambassadeur de la marque a dû renoncer au dernier moment à jouer le Main Event qu’il convoitait car il aurait été pris par un rendez-vous immanquable en éventuel Day 2…

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Autres tournois

[WiPT Paris – Grande finale] Le rêve est à portée de jetons

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Le poker est une course de fond, mais au rythme assez soutenu des niveaux d’une demie heure proposés par ce Day 1A —à l’heure où nous écrivons ces lignes, sur un tapis de départ, on est déjà à mi-parcours du 600/1200/1200—, les éliminations se succèdent à un train de sénateur (lentement, donc, mais sûrement). Pierre Calamusa, le deuxième pro Winamax à avoir fait son apparition dans la grande salle du parc des Expos de la porte de Versailles, a amené un peu de chaleur et de vie avec lui, déclenchant les selfies des qualifiés et autres joueurs ayant fait le déplacement.

En parallèle, des satellites s’organisent à l’entrée de la salle de tournoi, sous l’oeil affûté d’Apo Chantzis, l’homme derrière la saga fabuleuse de Texapoker, devenu en quelques années le grand acteur incontournable du poker live en France. Ses équipes sont en place, les croupiers de toutes nationalités enchaînent avec dextérité les mains, tandis que les Tournament Director et autres responsables assurent des jugements de Salomon lors des rares protestations. Au menu des satellites, un format peu connu —en tout cas, pas chez nous— qui accélère le jeu : une fois atteint un tapis de 120 000 jetons (sur un tapis de départ de 20 000 jetons), vous décrochez automatiquement vos buy-in pour la finale, au jour désiré. Le gamble va bon train, avec des levels de 10 minutes, mais tout semble désormais possible, avec seulement 105€ en poche. Le rêve, toujours, à portée de jetons.

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[Finale WiPT Paris — journal off] Le poker, c’est pas de la littérature

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Les années passent, les passions se déplacent. Il y a quelques années encore, se diriger vers l’autre bout de Paris (quand on habite rive droite) au beau milieu du mois de mars était synonyme d’un voyage quotidien, durant une petite semaine, vers le Salon du Livre qui avait lieu au mêmes dates que cette grande finale du Winamax Poker Tour, au même endroit —dans l’un des grands pavillons de la Porte de Versailles.

En arrivant ce matin sous la chape nuageuse qui obscurcit ce quartier sans grand charme du deep south parisien, les souvenirs reviennent : l’effervescence des signatures d’écrivains régionaux qui attendent le chaland désespérément, les files d’attentes interminables devant les quelques rares stars de l’édition, les stands thématiques qui rappellent plus le salon de l’agriculture que la décadence germano-pratine, les open bar mouvants des soirées de vernissage, les réserves de livres qui s’agitent frénétiquement au rythme des aventures sexuelles des différentes parties en présence, les haines pichrocolines entre éditeurs, les rumeurs de rachat entre géants de l’édition pré-Bolloré (Editis, Hachette, Gallimard), et les reportages cultes qui y sont tournés (« L’édition c’est pas de la littérature », meilleur Strip Teasejamais proposé sur la question, à découvrir gratuitement ici).

Cette année, c’est le poker qui a pris place, parmi d’autres, dans l’un des grands pavillons de cette gigantesque place tournante qu’est la porte de Versailles et ses salons à tous les étages. Au-dessus, une exposition Johnny Haliday, dans deux jours, un championnat de France du sushi, en attendant le « Salon des seniors », le « Sandwich & snack show » ou le plus populaire « Comic Con », fin du mois. Les passions s’additionnent, se superposent, cohabitent le plus naturellement possible.

Avec le temps, la littérature poker, elle, a quasiment disparu. Fut une époque où chaque grand champion offrait son propre livre au joueur qui le bustait des WSOP. Alors que les grandes théories du jeu avaient été popularisées par ce medium —Super System  de Doyle Brunson en tête—, et que chaque joueur sponsorisé rêvait d’avoir son nom en couverture d’une biographie ou d’un livre de stratégie (Isabelle Mercier, Patrick Bruel, les collections de François Montmirel —pour les francophones), la mode est passée. « Un livre, mais pour quoi faire ? » répondait un grinder américain à une intervieweuse aux WSOP qui s’enquérait quant au jour où il sortirait sa méthode. Désormais, le passage de témoin se fait par les tutos vidéos, les streaming sur twitch et, de plus en plus rarement, sur des blogs éditorialisés pour l’occasion.

Si les écrits restent, la parole, elle, circule. Elle s’accommode des changements et des évolutions stratégiques, permet de réviser ses erreurs et les nier, autorise tout un chacun à ne pas passer pour le ringard de service. Seuls les récits épiques du jeu parviennent encore à trouver matière à réédition, avec un public de plus en plus restreint. Mais sans story telling, sans grand souffle, le poker arrivera-t-il encore à subsister dans l’histoire et écrire ainsi son grand roman?

Jérôme Schmidt

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