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Clubs parisiens

France Poker Tour : franc succès du Day 1A

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L’Aviation Club de France avait une fois de plus très bien fait les choses pour le Day 1 du France Poker Tour, scindé en quatre sous-journées, et même signé un exploit : organiser le Day 1A et le Day 1B en une seule journée ! Les journalistes fidèles au poste ont par contre du veiller de 10h à 4h du matin pour pouvoir tout couvrir…

Avec un prizepool estimé à près d’un million d’euros, cette édition est encore un plus grand succès que les années précédentes, avec 237 inscrits lors du Day 1A. De grands noms avaient fait le détour, comme Guillaume Darcourt (vite sorti sur AQ<<9-10 trèfle, après avoir joué toutes ses mains de la journée, ou presque), ou Philippe Ktorza, toujours aussi affable, qui réussit à passer la journée dans la moyenne.

Malheureusement, la concommitence du BPT Nice privait la Team Barrière du FPT, mais elle devrait être présente pour le « high-roller » à 2 500€ qui a lieu en milieu de semaine prochaine, ainsi qu’un deepstack 500€, organisé sur 2 jours…

Nom Prénom N° de table N° de place Jetons
BERNANOSE PHILIPPE 8 9 155 700
POLITO LAURENT 9 9 139 000
BENCHIMOL JOSEPH 20 4 132 300
DYZMA STEPHANE 22 6 128 000
AZOULAY YOHANN 19 6 123 900
REY JULIEN 16 1 120 800
GOUMARD BENJAMIN 23 8 116 600
DIF MICKAEL 18 3 114 600
TROUBAT NICOLAS 23 9 105 600
LE MARCHAND STEPHANE 12 9 105 100
DEBAILLEUL REMI 12 4 103 800
PASQUALINI JEAN PAUL 9 4 103 800
GUILLARD ANTHONY 25 9 100 400
VERRIER GUILLAUME 19 9 97 100
BOURRIT LUDOVIC 8 5 96 800
MAUREL JULIEN 10 8 94 900
LEMAIRE HUGO 25 4 93 500
MICHEL YANNICK 24 2 91 100
GAMOT LAURENT 27 3 90 700
DHORASOO VIKASH 5 9 90 300
RIGOLOT MATHIEU 29 3 87 100
TAIEB ROMAIN 5 4 86 300
BERNARD NICOLAS 24 5 85 000
DUCOIN SAMUEL 53 6 84 300
MEYER ROMAIN 18 4 82 800
GLEIZE REMY 25 1 82 000
STOJANOVIC DARKO 29 8 81 900
PAULOBY ALEXANDRE 17 2 81 800
VISCAPI LOIC 23 5 75 800
NIKODIJEVIC MILAN 19 2 75 000
SEGURA FABIEN 19 3 73 900
CLAMOTE SAMUEL 28 8 73 800
BACHAUD LAURENT 12 7 71 800
MORET EDOUARD 22 5 70 400
BALAJ OVI 15 3 70 300
JEHANNE JEREMY 18 2 69 100
COTXET THOMAS 53 7 68 600
CHANAS JULIEN 17 3 68 600
TISSIER STEPHANE 25 2 67 200
LAMBEGE SEBASTIEN 10 2 67 100
DE BUEGER BENOIT 10 5 66 200
RATEAU JOHN 22 9 66 100
SADARNAC FREDERIC 18 7 66 000
PIRES TRIGO PAUL 28 2 65 900
JAOUI DAVID 11 5 63 800
BENIGNA GAETAN 6 9 62 800
AZOUT LAURENT 17 4 60 200
RIBEIRO REGO STEVE 27 2 59 900
L’HUILLIER NICOLAS 8 8 59 400
ROIENA STEPHAN 10 4 58 600
RECLUS JULIEN 29 7 58 400
WYCKAERT VICHARD BERTRAND 24 4 57 200
LEON REGIS 9 5 56 700
PONS NICOLAS 51 3 55 400
SAINT MARY JEAN ROGER 26 7 55 400
RICHARD MATHIEU 6 1 55 400
KTORZA PHILIPPE 23 4 54 800
SCIARE JULES 9 3 54 800
MARSANI BRUNO 52 1 53 200
NESA THIERRY 20 8 52 600
LAPREY PHILIPPE 9 2 52 600
MOLON WILLIAM 24 3 52 500
MILAN PIERRE 6 8 52 400
MAGNIN RODOLPHE 11 9 50 800
BRUN GABRIELLE 20 9 50 100
GUERRERO JIMMY 9 1 49 700
SALMON EDDY 7 6 48 600
BOULIER MARC 17 9 48 000
BUATIER DAVID 5 5 47 700
CARRIE PHILIPPE 26 2 46 600
SERGENT SEBASTIEN 11 3 45 600
RAMES NICOLAS 15 2 43 500
LEVI NICOLAS 6 3 43 300
AGUINET GERARD 15 4 43 000
BOYARD SEBASTIEN 29 9 42 900
VALLE GUILLAUME 53 5 40 200
RAIMBAULT NICOLAS 25 3 39 900
DURANCOIS JOEL 23 2 39 900
BEVAND MANUEL 17 7 38 200
RAVISE GREGORY 28 3 37 600
MARSAULT FLORIAN 7 5 37 600
KANSOUN HUSSEIN 28 6 36 400
GASTARDI DANIEL 11 2 35 900
DUCHESNES GAEL 9 8 35 600
SEUNEVEL OLIVIER 12 5 35 200
FOISSY SEBASTIEN 26 8 34 500
TOUCHARD JEROME 16 9 34 500
BABEL NICOLAS 12 3 34 500
PONCHEL CHRISTOPHE 51 8 33 800
LEVASSEUR FABIEN 52 9 33 600
JOLIVEZ PATRICK 27 8 33 400
CECONI NICOLAS 16 7 33 300
MOLL ETIENNE 11 1 32 900
GRENET CHARLY 23 1 31 900
LOY STEPHAN 8 6 31 300
LOPEZ GEOFFREY 51 1 31 200
MONNIER ANNIE 23 7 31 000
ELLEON LUCIE 18 5 30 900
IMPIERI JEAN LUC 53 2 29 900
FLAMENT BENJAMIN 11 4 29 800
CHEVROLLIER LUDOVIC 18 8 29 200
THEROND JULIEN 6 7 29 200
ZOUITENE AZZEDINE 27 9 28 900
DE SANTA RITA DOMINIQUE 25 8 28 900
COQUET THOMAS 25 5 28 800
ALEXANDRE DOS SANTOS PASCAL 29 6 28 600
SADOIT FABIEN 15 8 28 600
CHEN ANTHONY HAO 7 8 27 400
PIERREL FABRICE 26 9 26 400
LEONARD JULIEN 28 7 26 300
KALFON FRANCK 24 8 25 400
DREUX EMMANUEL 7 3 25 400
MEURILLON JACQUES 24 7 24 400
MOREAU STEVEN 28 5 24 000
GRANDJEAN CYRIL 25 7 22 900
TELLIER JONATHAN 23 6 22 100
UNLU HALIL 7 7 19 900
BENHAMOU BRIAN 17 5 19 500
BEC GREGOIRE 27 7 19 200
CHEYREZY JULIEN 29 5 17 600
YACKX AUDREY 5 6 17 500
CARBONNIER LUDOVIC 20 3 17 100
TRUQUET DAVID 53 1 17 000
CAUSSY RAMESH 17 6 16 900
MESSINA VALENTIN 53 9 14 500
BARBIERI DAMIEN 12 8 14 500
ROCAMORA VANESSA 25 6 10 200
PERROT FABIEN 8 7 10 000

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Autres tournois

[WiPT Paris – Grande finale] L’action ne s’arrête jamais

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Alors que le Day 1A s’apprête à accueillir, en mode turbo, un Day 1b qui débute chaque jour à 18h, les busto ou les joueurs trop en retard qui veulent une compétition ne s’étalant pas sur trop de journées, se pressent déjà pour le « Battle Royale », un 750€ qui débute à 17h30, avec des ITM qui se reverront en Day 2 pour toucher le « vrai » argent. Déjà 50 inscrits, et au vu des tables où les croupier se sont déjà installés, il semble que le field devrait au moins doubler dans l’heure à venir.

Au programme, 1 seul re-entry possible, des niveaux de 25 minutes et un bounty à 300€. Bruno Fitoussi, qu’on a aperçu de loin en grande discussion avec Apo Chantzis et François Lascourrèges, les deux hommes-lige à la marque Texapoker, devrait être de cette compétition : l’ambassadeur de la marque a dû renoncer au dernier moment à jouer le Main Event qu’il convoitait car il aurait été pris par un rendez-vous immanquable en éventuel Day 2…

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Autres tournois

[WiPT Paris – Grande finale] Le rêve est à portée de jetons

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Le poker est une course de fond, mais au rythme assez soutenu des niveaux d’une demie heure proposés par ce Day 1A —à l’heure où nous écrivons ces lignes, sur un tapis de départ, on est déjà à mi-parcours du 600/1200/1200—, les éliminations se succèdent à un train de sénateur (lentement, donc, mais sûrement). Pierre Calamusa, le deuxième pro Winamax à avoir fait son apparition dans la grande salle du parc des Expos de la porte de Versailles, a amené un peu de chaleur et de vie avec lui, déclenchant les selfies des qualifiés et autres joueurs ayant fait le déplacement.

En parallèle, des satellites s’organisent à l’entrée de la salle de tournoi, sous l’oeil affûté d’Apo Chantzis, l’homme derrière la saga fabuleuse de Texapoker, devenu en quelques années le grand acteur incontournable du poker live en France. Ses équipes sont en place, les croupiers de toutes nationalités enchaînent avec dextérité les mains, tandis que les Tournament Director et autres responsables assurent des jugements de Salomon lors des rares protestations. Au menu des satellites, un format peu connu —en tout cas, pas chez nous— qui accélère le jeu : une fois atteint un tapis de 120 000 jetons (sur un tapis de départ de 20 000 jetons), vous décrochez automatiquement vos buy-in pour la finale, au jour désiré. Le gamble va bon train, avec des levels de 10 minutes, mais tout semble désormais possible, avec seulement 105€ en poche. Le rêve, toujours, à portée de jetons.

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Autres tournois

[Finale WiPT Paris — journal off] Le poker, c’est pas de la littérature

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Les années passent, les passions se déplacent. Il y a quelques années encore, se diriger vers l’autre bout de Paris (quand on habite rive droite) au beau milieu du mois de mars était synonyme d’un voyage quotidien, durant une petite semaine, vers le Salon du Livre qui avait lieu au mêmes dates que cette grande finale du Winamax Poker Tour, au même endroit —dans l’un des grands pavillons de la Porte de Versailles.

En arrivant ce matin sous la chape nuageuse qui obscurcit ce quartier sans grand charme du deep south parisien, les souvenirs reviennent : l’effervescence des signatures d’écrivains régionaux qui attendent le chaland désespérément, les files d’attentes interminables devant les quelques rares stars de l’édition, les stands thématiques qui rappellent plus le salon de l’agriculture que la décadence germano-pratine, les open bar mouvants des soirées de vernissage, les réserves de livres qui s’agitent frénétiquement au rythme des aventures sexuelles des différentes parties en présence, les haines pichrocolines entre éditeurs, les rumeurs de rachat entre géants de l’édition pré-Bolloré (Editis, Hachette, Gallimard), et les reportages cultes qui y sont tournés (« L’édition c’est pas de la littérature », meilleur Strip Teasejamais proposé sur la question, à découvrir gratuitement ici).

Cette année, c’est le poker qui a pris place, parmi d’autres, dans l’un des grands pavillons de cette gigantesque place tournante qu’est la porte de Versailles et ses salons à tous les étages. Au-dessus, une exposition Johnny Haliday, dans deux jours, un championnat de France du sushi, en attendant le « Salon des seniors », le « Sandwich & snack show » ou le plus populaire « Comic Con », fin du mois. Les passions s’additionnent, se superposent, cohabitent le plus naturellement possible.

Avec le temps, la littérature poker, elle, a quasiment disparu. Fut une époque où chaque grand champion offrait son propre livre au joueur qui le bustait des WSOP. Alors que les grandes théories du jeu avaient été popularisées par ce medium —Super System  de Doyle Brunson en tête—, et que chaque joueur sponsorisé rêvait d’avoir son nom en couverture d’une biographie ou d’un livre de stratégie (Isabelle Mercier, Patrick Bruel, les collections de François Montmirel —pour les francophones), la mode est passée. « Un livre, mais pour quoi faire ? » répondait un grinder américain à une intervieweuse aux WSOP qui s’enquérait quant au jour où il sortirait sa méthode. Désormais, le passage de témoin se fait par les tutos vidéos, les streaming sur twitch et, de plus en plus rarement, sur des blogs éditorialisés pour l’occasion.

Si les écrits restent, la parole, elle, circule. Elle s’accommode des changements et des évolutions stratégiques, permet de réviser ses erreurs et les nier, autorise tout un chacun à ne pas passer pour le ringard de service. Seuls les récits épiques du jeu parviennent encore à trouver matière à réédition, avec un public de plus en plus restreint. Mais sans story telling, sans grand souffle, le poker arrivera-t-il encore à subsister dans l’histoire et écrire ainsi son grand roman?

Jérôme Schmidt

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