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Clubs parisiens

La soirée Prestige de l'Aviation Club de France

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Après deux mois d’absence, la Soirée Prestige a fait son grand retour à l’Aviation Club de France hier soir. On a pu y croisé les habitués comme Bruce Toussaint, Pascal Elbé, Louis Bertignac, Patrick Chêne ou encore le duo infernal Pascal Sellem/Laurent Baffie. Ce dernier était d’ailleurs équipé d’une mini-caméra qui lui a permis d’enregistrer les moments forts de la soirée qu’il compte garder précieusement pour un projet futur, « c’est une surprise » !
Pour ajouter un peu de douceur à ce field, on pouvait compter sur la présence de Shirley Bousquet, Arianne Massenet, Pauline Delpeche, Koxie ou Solène Chavanne. Shirley sera d’ailleurs présentatrice et commentatrice de la Team Poker Cup qui arrive a grands pas : samedi prochain à 16h (live coverage sur www.poker52.fr) et qui sera diffusée sur Paris Première le 1er avril.
Du côté des qualifiés online, ils étaient au nombre de huit à avoir remporté leur précieux sésame pour la soirée moyennant un buy-in de 1€ misé sur le site d’ACFPoker.fr. Et si quatre d’entre eux ont finalement atteint les demi-finales hier soir, c’est Ness Kourdourli (Team ACFPoker) qui s’est emparée du titre. On peut souligner la énième table finale obtenue par Philippe Cura qui s’impose une fois encore comme l’un des meilleurs joueurs des Soirées Prestiges ; il brille également lors des Tournois Prestige online.
Philippe Candeloro, Jonathan Lambert et Paul Boujenah signeront également un très bon tournoi en se glissant avec brio jusqu’aux demi-finales.

Plus la soirée avance, plus il y a d’éliminés et plus il y a de Sit&Go. Et c’est dans ces parties que l’on peut redécouvrir le jeu agressif de Caroline Diament, Adel Bencherif, Frédéric Chau (Jamel Comedy Club) ou du chanteur Christophe. Proche d’un Jean-Noël Thorel par sa sympathie mais surtout par sa tendance à pousser ses jetons très facilement, Christophe aurait enfin pu chanter : « Et j’ai crié… crié… All-in ! », malheureusement sans grand succès. Rebuy ou pas rebuy ? Telle est l’éternelle question que tous demandent à Dédé le Croupier, maître de cérémonie, toujours partager entre la crise de rire et la rupture nerveuse ! Il faut du métier pour gérer ces événements ! Ces Sit&Go sont, en tous cas, la partie la plus conviviale de la soirée, une excellente occasion de jouer en s’amusant.

Cliquez ici pour vous inscrire sur ACFPoker.fr et tenter de vous qualifier pour la Soirée Prestige

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[WiPT Paris – Grande finale] L’action ne s’arrête jamais

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Alors que le Day 1A s’apprête à accueillir, en mode turbo, un Day 1b qui débute chaque jour à 18h, les busto ou les joueurs trop en retard qui veulent une compétition ne s’étalant pas sur trop de journées, se pressent déjà pour le « Battle Royale », un 750€ qui débute à 17h30, avec des ITM qui se reverront en Day 2 pour toucher le « vrai » argent. Déjà 50 inscrits, et au vu des tables où les croupier se sont déjà installés, il semble que le field devrait au moins doubler dans l’heure à venir.

Au programme, 1 seul re-entry possible, des niveaux de 25 minutes et un bounty à 300€. Bruno Fitoussi, qu’on a aperçu de loin en grande discussion avec Apo Chantzis et François Lascourrèges, les deux hommes-lige à la marque Texapoker, devrait être de cette compétition : l’ambassadeur de la marque a dû renoncer au dernier moment à jouer le Main Event qu’il convoitait car il aurait été pris par un rendez-vous immanquable en éventuel Day 2…

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Autres tournois

[WiPT Paris – Grande finale] Le rêve est à portée de jetons

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Le poker est une course de fond, mais au rythme assez soutenu des niveaux d’une demie heure proposés par ce Day 1A —à l’heure où nous écrivons ces lignes, sur un tapis de départ, on est déjà à mi-parcours du 600/1200/1200—, les éliminations se succèdent à un train de sénateur (lentement, donc, mais sûrement). Pierre Calamusa, le deuxième pro Winamax à avoir fait son apparition dans la grande salle du parc des Expos de la porte de Versailles, a amené un peu de chaleur et de vie avec lui, déclenchant les selfies des qualifiés et autres joueurs ayant fait le déplacement.

En parallèle, des satellites s’organisent à l’entrée de la salle de tournoi, sous l’oeil affûté d’Apo Chantzis, l’homme derrière la saga fabuleuse de Texapoker, devenu en quelques années le grand acteur incontournable du poker live en France. Ses équipes sont en place, les croupiers de toutes nationalités enchaînent avec dextérité les mains, tandis que les Tournament Director et autres responsables assurent des jugements de Salomon lors des rares protestations. Au menu des satellites, un format peu connu —en tout cas, pas chez nous— qui accélère le jeu : une fois atteint un tapis de 120 000 jetons (sur un tapis de départ de 20 000 jetons), vous décrochez automatiquement vos buy-in pour la finale, au jour désiré. Le gamble va bon train, avec des levels de 10 minutes, mais tout semble désormais possible, avec seulement 105€ en poche. Le rêve, toujours, à portée de jetons.

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[Finale WiPT Paris — journal off] Le poker, c’est pas de la littérature

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Les années passent, les passions se déplacent. Il y a quelques années encore, se diriger vers l’autre bout de Paris (quand on habite rive droite) au beau milieu du mois de mars était synonyme d’un voyage quotidien, durant une petite semaine, vers le Salon du Livre qui avait lieu au mêmes dates que cette grande finale du Winamax Poker Tour, au même endroit —dans l’un des grands pavillons de la Porte de Versailles.

En arrivant ce matin sous la chape nuageuse qui obscurcit ce quartier sans grand charme du deep south parisien, les souvenirs reviennent : l’effervescence des signatures d’écrivains régionaux qui attendent le chaland désespérément, les files d’attentes interminables devant les quelques rares stars de l’édition, les stands thématiques qui rappellent plus le salon de l’agriculture que la décadence germano-pratine, les open bar mouvants des soirées de vernissage, les réserves de livres qui s’agitent frénétiquement au rythme des aventures sexuelles des différentes parties en présence, les haines pichrocolines entre éditeurs, les rumeurs de rachat entre géants de l’édition pré-Bolloré (Editis, Hachette, Gallimard), et les reportages cultes qui y sont tournés (« L’édition c’est pas de la littérature », meilleur Strip Teasejamais proposé sur la question, à découvrir gratuitement ici).

Cette année, c’est le poker qui a pris place, parmi d’autres, dans l’un des grands pavillons de cette gigantesque place tournante qu’est la porte de Versailles et ses salons à tous les étages. Au-dessus, une exposition Johnny Haliday, dans deux jours, un championnat de France du sushi, en attendant le « Salon des seniors », le « Sandwich & snack show » ou le plus populaire « Comic Con », fin du mois. Les passions s’additionnent, se superposent, cohabitent le plus naturellement possible.

Avec le temps, la littérature poker, elle, a quasiment disparu. Fut une époque où chaque grand champion offrait son propre livre au joueur qui le bustait des WSOP. Alors que les grandes théories du jeu avaient été popularisées par ce medium —Super System  de Doyle Brunson en tête—, et que chaque joueur sponsorisé rêvait d’avoir son nom en couverture d’une biographie ou d’un livre de stratégie (Isabelle Mercier, Patrick Bruel, les collections de François Montmirel —pour les francophones), la mode est passée. « Un livre, mais pour quoi faire ? » répondait un grinder américain à une intervieweuse aux WSOP qui s’enquérait quant au jour où il sortirait sa méthode. Désormais, le passage de témoin se fait par les tutos vidéos, les streaming sur twitch et, de plus en plus rarement, sur des blogs éditorialisés pour l’occasion.

Si les écrits restent, la parole, elle, circule. Elle s’accommode des changements et des évolutions stratégiques, permet de réviser ses erreurs et les nier, autorise tout un chacun à ne pas passer pour le ringard de service. Seuls les récits épiques du jeu parviennent encore à trouver matière à réédition, avec un public de plus en plus restreint. Mais sans story telling, sans grand souffle, le poker arrivera-t-il encore à subsister dans l’histoire et écrire ainsi son grand roman?

Jérôme Schmidt

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