fbpx
Connect with us
center>

Clubs parisiens

WPT National Series Diamond : 31 joueurs pour le Day 3

Published

on

La journée a été courte à l’Aviation Club de France pour ce Day 2 du World Poker Tour National Series Diamond, le Main Event des EFOP. Seuls trente joueurs ont réussi à passer entre les gouttes et se qualifier pour le Day 3.

La grande surprise vient d’un des éliminés du jour : Guillaume Darcourt, fer de lance de la Team PMU, a « spew » son énorme tapis de chipleader (il est même monté jusqu’à 300 000 jetons…) et a sauté avant la fin de journée. Une nouvelle étonnante car le chipleader à la fin du Day 2 dépasse de très peu les 300 000 unités…

Toujours dans ce field qui célèbrera 18 places payées, Isabelle Mercier en mode shortstack, Benjamin Pollak et Bruno Benveniste pour porter haut les couleurs de BarrièrePoker.Fr, l’habitué de l’Aviation Jérôme Zerbib, l’homme en forme du moment Sam Trickett, le très régulier joueur d’ACFPoker.fr, Ilan Boujenah ou encore Stéphane Gerin.

La bulle va éclater auiourd’hui, afin de déterminer les demies finales. Début des hostilités à 15h, sur l’avenue des Champs Elysées…

NOM
NAME
PRENOM
FIRST NAME
TABLE
TABLE
SIEGE
SEAT
JETONS
CHIPS
Trickett Samuel 5 1 287 000
Barrau Fabien 5 2 104 100
Mercier Isabelle 5 3 53 400
Mattsson Nichlas 5 4 315 900
Kerignard Yorane 5 5 50 200
Nikitina Natalia 5 6 167 700
Gerin Stephan 5 7 90 000
Rapinier Emmanuel 5 8 88 000
Nock Jeremy 6 1 92 000
Pollak Benjamin 6 2 307 300
Tyczynsqi Jean-François 6 3 150 000
Jacobsen Philip 6 4 231 700
Boujenah Ilan 6 5 120 700
Le Dour Pierre 6 6 174 000
Petit Emile 6 7 53 600
Derwiche Brahim 6 8 82 900
Loumi Moulay 7 1 111 800
Tepper Jean-Louis 7 2 118 000
Van Zadelhoff Steven 7 3 43 000
Bevand Manuel 7 4 174 400
Wagner Tobias 7 5 295 000
Calia Nicolo 7 6 128 800
Carlsson Jakob 7 7 104 200
Queiros Hervé 7 8 67 400
Zerbib Jérôme 12 1 288 400
Yacoub Dori 12 2 277 000
Paulus Ingo 12 3 80 500
Benveniste Bruno 12 4 147 900
Brivot Alexandre 12 5 288 600
Vorobjovs Viktors 12 6 83 300
Bonnin Hyacinte 12 7 137 100

Continue Reading
Advertisement
Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Autres tournois

[WiPT Paris – Grande finale] L’action ne s’arrête jamais

Published

on

Alors que le Day 1A s’apprête à accueillir, en mode turbo, un Day 1b qui débute chaque jour à 18h, les busto ou les joueurs trop en retard qui veulent une compétition ne s’étalant pas sur trop de journées, se pressent déjà pour le « Battle Royale », un 750€ qui débute à 17h30, avec des ITM qui se reverront en Day 2 pour toucher le « vrai » argent. Déjà 50 inscrits, et au vu des tables où les croupier se sont déjà installés, il semble que le field devrait au moins doubler dans l’heure à venir.

Au programme, 1 seul re-entry possible, des niveaux de 25 minutes et un bounty à 300€. Bruno Fitoussi, qu’on a aperçu de loin en grande discussion avec Apo Chantzis et François Lascourrèges, les deux hommes-lige à la marque Texapoker, devrait être de cette compétition : l’ambassadeur de la marque a dû renoncer au dernier moment à jouer le Main Event qu’il convoitait car il aurait été pris par un rendez-vous immanquable en éventuel Day 2…

Continue Reading

Autres tournois

[WiPT Paris – Grande finale] Le rêve est à portée de jetons

Published

on

Le poker est une course de fond, mais au rythme assez soutenu des niveaux d’une demie heure proposés par ce Day 1A —à l’heure où nous écrivons ces lignes, sur un tapis de départ, on est déjà à mi-parcours du 600/1200/1200—, les éliminations se succèdent à un train de sénateur (lentement, donc, mais sûrement). Pierre Calamusa, le deuxième pro Winamax à avoir fait son apparition dans la grande salle du parc des Expos de la porte de Versailles, a amené un peu de chaleur et de vie avec lui, déclenchant les selfies des qualifiés et autres joueurs ayant fait le déplacement.

En parallèle, des satellites s’organisent à l’entrée de la salle de tournoi, sous l’oeil affûté d’Apo Chantzis, l’homme derrière la saga fabuleuse de Texapoker, devenu en quelques années le grand acteur incontournable du poker live en France. Ses équipes sont en place, les croupiers de toutes nationalités enchaînent avec dextérité les mains, tandis que les Tournament Director et autres responsables assurent des jugements de Salomon lors des rares protestations. Au menu des satellites, un format peu connu —en tout cas, pas chez nous— qui accélère le jeu : une fois atteint un tapis de 120 000 jetons (sur un tapis de départ de 20 000 jetons), vous décrochez automatiquement vos buy-in pour la finale, au jour désiré. Le gamble va bon train, avec des levels de 10 minutes, mais tout semble désormais possible, avec seulement 105€ en poche. Le rêve, toujours, à portée de jetons.

Continue Reading

Autres tournois

[Finale WiPT Paris — journal off] Le poker, c’est pas de la littérature

Published

on

Les années passent, les passions se déplacent. Il y a quelques années encore, se diriger vers l’autre bout de Paris (quand on habite rive droite) au beau milieu du mois de mars était synonyme d’un voyage quotidien, durant une petite semaine, vers le Salon du Livre qui avait lieu au mêmes dates que cette grande finale du Winamax Poker Tour, au même endroit —dans l’un des grands pavillons de la Porte de Versailles.

En arrivant ce matin sous la chape nuageuse qui obscurcit ce quartier sans grand charme du deep south parisien, les souvenirs reviennent : l’effervescence des signatures d’écrivains régionaux qui attendent le chaland désespérément, les files d’attentes interminables devant les quelques rares stars de l’édition, les stands thématiques qui rappellent plus le salon de l’agriculture que la décadence germano-pratine, les open bar mouvants des soirées de vernissage, les réserves de livres qui s’agitent frénétiquement au rythme des aventures sexuelles des différentes parties en présence, les haines pichrocolines entre éditeurs, les rumeurs de rachat entre géants de l’édition pré-Bolloré (Editis, Hachette, Gallimard), et les reportages cultes qui y sont tournés (« L’édition c’est pas de la littérature », meilleur Strip Teasejamais proposé sur la question, à découvrir gratuitement ici).

Cette année, c’est le poker qui a pris place, parmi d’autres, dans l’un des grands pavillons de cette gigantesque place tournante qu’est la porte de Versailles et ses salons à tous les étages. Au-dessus, une exposition Johnny Haliday, dans deux jours, un championnat de France du sushi, en attendant le « Salon des seniors », le « Sandwich & snack show » ou le plus populaire « Comic Con », fin du mois. Les passions s’additionnent, se superposent, cohabitent le plus naturellement possible.

Avec le temps, la littérature poker, elle, a quasiment disparu. Fut une époque où chaque grand champion offrait son propre livre au joueur qui le bustait des WSOP. Alors que les grandes théories du jeu avaient été popularisées par ce medium —Super System  de Doyle Brunson en tête—, et que chaque joueur sponsorisé rêvait d’avoir son nom en couverture d’une biographie ou d’un livre de stratégie (Isabelle Mercier, Patrick Bruel, les collections de François Montmirel —pour les francophones), la mode est passée. « Un livre, mais pour quoi faire ? » répondait un grinder américain à une intervieweuse aux WSOP qui s’enquérait quant au jour où il sortirait sa méthode. Désormais, le passage de témoin se fait par les tutos vidéos, les streaming sur twitch et, de plus en plus rarement, sur des blogs éditorialisés pour l’occasion.

Si les écrits restent, la parole, elle, circule. Elle s’accommode des changements et des évolutions stratégiques, permet de réviser ses erreurs et les nier, autorise tout un chacun à ne pas passer pour le ringard de service. Seuls les récits épiques du jeu parviennent encore à trouver matière à réédition, avec un public de plus en plus restreint. Mais sans story telling, sans grand souffle, le poker arrivera-t-il encore à subsister dans l’histoire et écrire ainsi son grand roman?

Jérôme Schmidt

Continue Reading
Advertisement

Buzz

POKER52 Magazine - Copyright © 2018 Game Prod. Design by Gotham Nerds.