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Romain Lewis en couv’ du Poker52 de janvier

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Chers lecteurs,

On avait beaucoup espéré, côté poker, une année 2021 sous le sceau du renouveau et de solutions à terme pour le live. Force est de constater, malheureusement, que l’arrivée d’un nouveau variant au début de l’hiver a encore une fois tout chamboulé. Le Maroc et son lot de tournois magnifiques au Es Saadi s’éloignent à nouveau, les grands rendez-vous de l’hiver 2022 à Paris (EPT, WSOP-C, WPTDS et autres franchises internationales) se conjuguent au conditionnel, et dans toute l’industrie, on veut absolument éviter un grand bond en arrière et subir un nouveau confinement ou une nouvelle fermeture des casinos et clubs de jeux.

Au poker, comme dans bien d’autres activités, le pire est de naviguer à vue. Si toute l’industrie a su rebondir et s’adapter très vite, le poker live reste une activité sociale de contact, où l’on reste des heures à table (à moins d’un bad beat) et où le contact des mains et des cartes ou des jetons se fait en continu. On n’a pas connu de cluster pour autant au sein de cette activité. La preuve cet été avec les WSOP, dont la dernière édition s’est jouée au casino Rio pour le chant du cygne de cette propriété un peu vieillotte que les joueurs avaient appris à aimer comme à détester. Comme Benjamin Gallen et Caroline Darcourt, respectivement journaliste et photographe, nous le confient dans ce numéro, «on y était». Et des générations de joueurs pourront désormais dire la même chose, avant que la compétition ne migre sur le Strip, face au prestigieux Bellagio, dans deux casinos du groupe Harrah’s. «On y était», ce n’est pas valable qu’à Las Vegas. On y était, aussi, au premier EPT Deauville, dans le joyau du groupe Barrière, il y a bien des années. On y était, aux WSOP-E à Cannes, face à la mer, ou dans les salles sombres des casinos londoniens. On y était, à Mazagan et ses resorts flambant neufs, à Foxwoods perdu dans la forêt, à Atlantic City en marge du Boardwalk, à Seattle dans les réserves indiennes, à Montréal dans les clubs de bikers, à Berlin pendant le braquage de l’EPT, à Amnéville et son casino déprimant, à l’Aviation Club de France, sous ses lambris et les caméras du Grand Prix de Paris. On y était, on l’a vécu et maintenant on aimerait surtout que tout redémarre, et que la liste de nos souvenirs puisse enfin se renouveler dès 2022.

La Rédaction de Poker52

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Grégory Chochon vous ouvre les portes des WSOP

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Chers lecteurs,

Direction les WSOP, comme chaque année, mais cette fois avec le plus avisé des connaisseurs de la ville : Grégory Chochon, le grand Monsieur des WSOP, qui a réussi une carrière exceptionnelle au sein de l’organigramme de la plus belle série de tournois de poker au monde. L’homme a gravi tous les échelons dans le monde du poker, après des débuts dans l’univers du sport et une explosion médiatique au niveau du grand public lors de ses années passées au sein du groupe Barrière.

Et depuis ? Depuis, lui et son épouse Karine se sentent comme chez eux dans la capitale du Nevada, mais portent un regard amical et bienveillant sur la communauté française qui ne manque jamais une occasion de tenter l’exploit en terre américaine. Dans ce long entretien, Grégory Chochon nous ouvre les portes des World Series, de sa nouvelle vie en famille et des perspectives nombreuses qui s’ouvrent à lui ainsi qu’à l’écosystème poker pour les années à venir. D’ici là, les paris sont ouverts : combien de fois La Marseillaise retentira-t-elle dans les salles des WSOP ? Une seule chose est certaine : Grégory Chochon y sera à chaque fois présent, et sur l’estrade à côté du ou de la gagnante.

L’intégralité du daté juin 2025 de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

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Avant les WSOP, voyage à Las Vegas, ville-monstre…

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Chers lecteurs,

Que connait-on vraiment d’une ville dont on ne fréquente que les casinos ? C’est le cas, le plus souvent, des joueurs de poker qui cèdent à la grande transhumance annuelle des WSOP, chaque été, pour rejoindre la grande aventure collective de la quête des bracelets. Las Vegas, pourtant, n’est pas que le Strip, pas que l’enfilade et l’empilement de casinos et de pool-parties qui sont disséminées tout au long de Las Vegas Boulevard. Las Vegas est une mégalopole de chair et d’affect, d’aventures humaines rarement racontées, de rêves et d’épopées parfois réussies, parfois brisées.

Dans le cadre de la sortie d’un guide et récit éponyme signé par notre rédacteur en chef, nous publions en avant-première les bonnes feuilles de ce « Las Vegas », disponible en librairie dès le 22 mai, et qui lève le voile sur les coulisses de la Mecque du jeu, ses mythes et ses légendes, ses anonymes comme ses étoiles filantes. On y croisera des magiciens de la taxe carbone au Big Game du Bellagio, des cocktail-waitress jouant 10 000$ au Blackjack, des stripteaseuses gothiques ou des prêtres illuminés des réserves indiennes. Du poker, bien sûr, mais tous les jeux qui font tourner la tête aux plus solides des visiteurs. Un voyage express pour ceux qui pensaient connaître Vegas, ou qui rêvent un jour de s’y perdre.

L’intégralité du daté mai 2025 de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

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Qui sera le nouvel élu du Winamax Poker Tour ?

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Chers lecteurs,

Avec le printemps, le poker semble avoir retrouvé tout son allant : tout d’abord la grande finale du Winamax Poker Tour au Pasino Grand d’Aix-en-Provence, en partenariat avec Texapoker, mais aussi, online, la nouvelle offre de PMU Poker, et une foultitude de tournois live aux quatre coins de l’Europe. Et, bien évidemment, les WSOP à Las Vegas qui se profilent une nouvelle fois, attirant tous les amoureux du jeu. Bonus dans tout ça, la réouverture des clubs parisiens de poker, grâce à une avancée législative rapide, pour une fois…

Mais la question qui se pose, c’est de savoir si les WSOP attireront toujours autant de joueurs européens, malgré les soubresauts politiques qui agitent les relations bilatérales avec l’Amérique de Donald Trump : au-delà des effets de manches et des différentes brimades, se cache une réalité bien plus prosaïque, celle du coût de la vie aux Etats-Unis, et notamment à Las Vegas. Cette ville-monstre que l’on aime détester —et qu’on se surprend à détester aimer— coûte de plus en plus cher pour les amateurs qui veulent y vivre le rêve du compétiteur au moins une fois dans leur vie. One time !

L’intégralité du daté avril 2025 de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

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