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Hermance Blum en couv’ du Poker52 de novembre

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Chers lecteurs,

À l’heure où nous bouclons ce magazine, la France (du poker) est divisée en deux : ceux qui sont déjà à Las Vegas, et ceux qui sont en train de piétiner devant leur valise à attendre la date fatidique du 8 novembre, quand les frontières américaines seront ouvertes aux Européens sans autre prérequis qu’un passe sanitaire et une batterie de tests PCR basiques. Le premier contingent, que nous suivons de près depuis le départ de l’édition 2021 des WSOP, aura déjà vécu bien des rêves, se sera broké plus que de mesure ou aura connu le frisson du bracelet qu’on aperçoit sans toucher (Pierre Calamusa, Adrien Delmas, François Pirault, David Benyamine, etc.), tandis que ceux qui débarqueront pleins d’espoir et les poches pleines le 8 novembre pour la fin des Jours 1 du Main Event prendront le relais…

Pour le moment, les Français se sont fait remarquer, mais n’ont pas brillé jusqu’à obtenir d’un bracelet, dans une compétition très largement dominée – et c’est logique – par les Américains, maîtres en leur pays confiné. Bien sûr, on n’oubliera pas Phil Hellmuth, ses cinq tables finales et son seizième bracelet, dont nous retraçons in extenso la carrière dans ce numéro, pas plus qu’Anthony Zinno et son doublé. Grâce à notre envoyé spécial à Las Vegas, vous pouvez suivre en temps réel tous les exploits jusqu’au bout de la compétition, fin novembre… Et d’ici là, n’oubliez pas de jeter un œil sur notre grande enquête du mois à propos des streamers et autres vendeurs de rêves falsifiés produits par les casinos en ligne dérégulés. Une addiction à distance qu’aucune autorité de tutelle n’arrive à juguler et qui peut laisser bien des joueurs déraisonnés sur le bas-côté…

La rédaction de Poker52

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Le numéro de juin, spécial Doyle Brunson, enfin disponible !

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Chers lecteurs,

Alors que les WSOP viennent tout juste de lancer leur édition 2023 avec un objectif qui fait beaucoup parler – battre le record d’entrées au Main Event, détenu jusque-là par celui remporté par l’étoile filante Jamie Gold, le streaming est en train de révolutionner le cash-game médiatisé. Comme souvent, la qualité de production et du line-up passe au second plan pour mettre en avant des personnalités clivantes, voire carrément forcées en termes éditoriaux, et des pots historiques. 1 million ? 2 millions ? 3 millions ? On parle là des sommes au milieu d’une table en plein cash-game, sous les yeux des caméras du Hustler Casino Livestream, en direct de Los Angeles. Les nouveaux héros sont forts en gueule, riches en cryptomonnaies ou autres scams plus ou moins assumés, et même si on tire deux ou trois fois les turn et river pour faire mentir la variance, il faut bien avouer que de telles sommes n’avaient jamais été mises en jeu devant les yeux du public auparavant.

Bien sûr, les grandes heures, mythologiques, de High Stakes Poker sont loin derrière nous, attestant du « c’était mieux avant » qui parfois nous traverse l’esprit lorsqu’on est confronté à certaines évolutions du poker. Mais le passé et le souvenir sont de faux amis, qui reconstruisent et effacent les défauts, nous donnent le goût d’une nostalgie de privilégiés qui mettent des œillères pour s’arroger des moments d’exception non partagés avec les nouvelles générations. Finalement, si c’était mieux maintenant ?

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Bruno Fitoussi vous emmène à Las Vegas pour les WSOP dans le daté mai de Poker52 !

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Chers lecteurs,

Et si 2023 était la bonne ? Et si le Main Event allait à un Français, tout droit sorti d’une qualification online —PMU ou les fameux King 5 de Winamax ? Et si au beau milieu de ces dizaines de bracelets WSOP offerts cette été, la France raflait la mise et devenait première nation au leaderboard à la fin de l’été ? Et si David Benyamine, Antony Lellouche, Bruno Fitoussi, ElkY, Roger Hairabedian, Sylvain Loosli, Gaelle Baumann, Pierre Calamusa et autres supernova hexagonales allaient au bout de leurs rêves ? Et si Julien Martini signait à nouveau une performance historique, avant d’aller tout remettre sur le tapis dans les gros mixed-games de Las Vegas ? Et sI Doyle Brunson se hissait en table finale du Main et remportait le 50 000$ Players Championship ? Et si Stu Ungar, ou son sosie, peu importe, revenait sur terre, au beau milieu du sable du désert du Mojave, pour faire une dernière apparition, en guest-star, dans les nouvelles salles flambantes des World Series ? Et si le casino Stardust renaissait de ses cendres, comme dans une vidéo d’explosion jouée à l’envers, et se juchait, tous néons allumés, à nouveau dans la nuit de Las Vegas, symbole Scorsesien des grandes années mafia ? Et si Dario Minieri rachetait sa montre, laissée au pawnshop en face de la Stratosphere, après avoir enfin gagné une grosse session de cash-game ? Et si Sam Farah se pointait à nouveau en heads-up d’un tournoi, et venait à bout de Chris Moneymaker ? Et si Jamie Gold arrêtait de se faire payer ses bluffs, et recouvrait les dizaines de millions de dollars flambés après sa victoire histoire du plus gros Main Event ? Et si plus de 10 000 joueurs, justement, s’acquittaient des 10 000$ de l’entrée du plus gros tournoi de l’année ? Et si Michael Jackson, mort en direct sur les écrans de l’Amazon Room durant un été de tournois, était annoncé vivant, en plein shuffle up & deal ? Et si les dés des tables de craps revenaient dans les mains de leurs lanceurs, toutes mises payées, dans un éclat de rires, de voix, d’alcool et de paillettes ? Et si la roulette payait tout le monde, royal au bar, pour toute la salle ? Et si les strip-teaseuses du Spearmint et autres Sapphire se rhabillaient, en direct, devant les regards ahuris des punters surexcités ? Et si les hustlersi  du Strip remisaient leurs cartes de réduction et ravalaient leurs arnaques de rue, retournant en roue arrière de leur vélos pimpés des souterrains de Las Vegas ? Et si, finalement, rien n’était pareil, cette année ?

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Winamax Poker Tour : la conquête de Paris

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Chers lecteurs,

Le printemps a débuté sur les chapeaux de roue avec des festivals qui ont été parfois victimes de leur succès, avec des compteurs affolants en terme d’inscriptions. Une réalité s’impose : le poker live n’a jamais été aussi populaire en France de toute son histoire ! Et les mois qui viennent ne devraient pas dire autre chose puisque le FPS Paris, le Sismix Marrakech, les étapes du Barrière Poker Tour, les tournois Unibet et PMU ou tous les festivals Texapoker… s’annoncent déjà comme des évènements incontournables.

A l’horizon proche, les World Series Of Poker, à Las Vegas. Là encore, rien ne semble s’ériger contre le plus grand évènement poker de l’année et son festival qui dure plus d’un mois. Les joueurs américains devraient toutefois être encore promis aux joueurs américains et aux gros pros, notamment grâce à leur pouvoir d’achat et la force du dollar par rapport à l’euro. Surtout que depuis la fin de la pandémie, Las Vegas est redevenue LA ville de la fête et du jeu, dopée par les nouveaux millionaires de la cryptomonnaie. Prévoyez donc bien votre voyage pour Sin City en amont, afin de vivre au mieux la magie des WSOP.

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