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Les masseuses de tournoi en couv’ du Poker52 de décembre

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Il fut un temps où le mois de décembre faisait la une de tous les journaux de poker – ils étaient, à l’époque, plus qu’une simple poignée –, a n de relater la dernière ligne droite de la course au classement. Chacun y allait de son « meilleur classement », de ses commentaires sur les règles de décompte ou sur la part belle qui était donnée aux High Rollers face aux petits tournois. Des figures comme Roger Hairabedian tentaient le clash en permanence – on n’était pas encore à l’époque du buzz pour le buzz, le joueur utilisant alors peu les réseaux sociaux – afin d’affirmer être (déjà) le meilleur au monde, et les poches se vidaient à toute vitesse lors des derniers jours de l’année, a n de s’inscrire au maximum de compétitions pour améliorer son score.

Depuis, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts… Les deux classements phare, dont nous avons le privilège de publier chaque mois les données, sont HendonMob et GPI, qui appartiennent à un homme d’affaires novateur, Alexandre Dreyfus, ayant plus ou moins arrêté toute implication dans le poker. Heureusement, même s’il est aspiré dans la cryptomonnaie et le social gaming, il a laissé en marche ces deux très bons outils qui permettent de juger de la régularité de chacun. Et même si l’on ne bataille plus vraiment comme à l’âge d’or du poker, GPI et HendonMob restent des baromètres fidèles du jeu en temps réel.

Ne voir qu’un seul Français (Julien Martini) dans le Top 50 du GPI fait un peu mal au cœur. C’est cependant un indicateur able qui tendrait à prouver que la France est en manque de grands cham- pions actuellement. Quelqu’un qui, comme Antoine Saout il y a tout juste dix ans, avait porté les couleurs françaises en finale des WSOP…

Disponible maintenant en kiosque !

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Erik Seidel, le Team W, Jason Mercier, Mike Matusow… Tous sont dans le daté mars de Poker52 !

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Chers lecteurs,

Les gros cash-games en streaming se multiplient outre-atlantique, et semblent parfois de plus en plus dériver vers une version bas de gamme de ce qu’on aime par-dessus tout : du high-stakes avec des joueurs au niveau hors de l’ordinaire. Si PokerGo, le projet de Mori Eskandari, grand manitou derrière High Stakes Poker, a pour le moment signé un presque sans-faute dans la qualité des produits proposés, les alternatives qui fleurissent (le Hustler Casino Live, ou le Live at the Lodge) ne sont pas du même acabit. Il y a quelques jours, on a par exemple eu l’étrange surprise d’entendre un flambeur amateur insulter Dan « Jungleman » Cates après lui avoir passé un bluff : « You’re my bitch now » (« tu es ma petite pute, d’accord », en VF), a-t-il lancé sans que personne n’y trouve rien à redire, pas même le champion en question. C’était pourtant en direct d’une émission brandée par deux des figures de la twittosphère poker, Doug Polk (propriétaire des lieux) et Joey Ingram (aux commentaires).

 

Les habitudes stéroïdées des deux « émissions » pré-citées commencent à déteindre de plus en plus sur la qualité de l’environnement proposé aux joueurs : la première, le HCL, a été l’objet de nombreuses accusations de triches (dont le fameux J4 de Robbi Jade Lew), tandis que la deuxième se vautre dans la vulgarité assumée et la « bro » attitude sans même s’en rendre compte. De podcasteur malin et attachant, Ingram est devenu depuis quelques mois le garant ricanant d’un poker bas du front où l’on se gausse qu’aucune femme n’est à la table de 200-400$, comme si c’était une évidence génétique. La confrérie des imbéciles a encore de beaux jours devant elle.

La rédaction

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Apo, une équipe au service du poker ; rencontre avec Freddy Deeb ; le WPT Championship…

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Chers lecteurs,

L’année 2022 s’achève en beauté à l’international avec les succès du WPT Championship à Las Vegas et de l’EPT à Prague, et laisse présager du meilleur tant sur la scène hexagonale – avec tous les tournois Texapoker et la nouvelle mouture du Barrière Poker Tour – que dans les pays limitrophes. Comme le remarque Freddy Deeb, interviewé dans nos pages, « tout le monde a l’air de vouloir jouer au poker depuis quelques mois » ! En effet, que ce soit dans la capitale du jeu au Nevada, ou dans les casinos plus modestes dans toute la France et à chaque étape des freerolls du Winamax Poker Tour, l’engouement est plus qu’intact : il a été décuplé !

Certains diront qu’en temps de crise, le loisir est plus indispensable que jamais. Et que le hasard, étonnamment, devient une valeur refuge : il touche aussi bien les moins aisés que les plus riches, sans distinction d’origine et de milieu social. Dans les mois à venir, le retour du WPT Prime à Paris, San Remo ou Aix-en-Provence, mais aussi l’arrivée de l’EPT à Paris et la grande activité des clubs de jeux va offrir à tous les joueurs dans l’âme une part de rêve et, peut-être, de victoire.

Meilleurs voeux pour 2023 de la part de toute la rédaction !

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Le World Poker Tour fête ses 20 ans, le BPT fait son retour… Tout est dans le daté décembre de Poker 52 !

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Chers lecteurs,

Un questionnement revient hanter les éminences médiatiques du poker à intervalles réguliers : comment raconter le poker ? Comment mettre en image (ou en mots) ce milieu si mythologique qu’il est cinéma avant même de passer sur pellicule ? Comment communiquer le frisson intérieur, les affres et les doutes, l’hystérie de la victoire, la force démiurge de la grande main invisible du hasard, le roller-coaster permanent de la vie à table et hors champ ? Ces questions n’ont jamais trouvé de réelles réponses tant la production documentaire et cinématographique en termes de poker – et même plus largement dans le milieu du jeu – est rare, et globalement très faible.

Il suffit d’aller voir du côté d’Hollywood (où le seul film qui a fait génération, _Les Joueurs_, n’est pas vraiment un chef-d’oeuvre, et date déjà d’un quart de siècle) pour se désespérer de ce qui s’y fait. Bien sûr, quelques scènes (comme dans James Bond) font entrer encore plus le monde du casino dans la mythologie cinématographique, mais c’est du côté des grands maîtres avec des films comme _Casino_ de Scorsese que se dévoilent, comme une architecture invisible, les grands ressorts du jeu et des joueurs.

Côté réalité, la question centrale de montrer et de raconter le poker revient au souci commun à tout documentaire : des personnages forts, une tension narrative à identifier et suivre au plus près, une unité dramatique à documenter lors d’un tournage. C’est là toute l’importance de l’approche documentaire : savoir rebondir sur des situations imprévues, apprendre à abandonner ou reléguer un personnage au destin atone pour rebondir sur un inattendu, écrire en amont un film, puisque le documentaire – contrairement au reportage – relève du cinéma. Du cinéma, de l’écriture, du pouvoir narratif. Sans cela, sans se poser en médiateur entre le joueur et le public (qu’on aimerait rêver nombreux), en se contentant d’une approche bas du front, collé à la caméra (qu’elle soit 5k ou pellicule argentique), on ne peut que livrer un récit désarticulé et sans saveur, qui obère tout partage des émotions et oublie cet influx vital qui brûle les veines des joueurs. L’équation est complexe, difficile à résoudre. Un jour, peut être, cela viendra.

La rédaction

PS : Retrouvez le coverage du WPT World Championship au Wynn, mi-décembre 2022, avec un envoyé spécial de notre rédaction à Las Vegas !

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