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Bruno Fitoussi vous emmène à Las Vegas pour les WSOP dans le daté mai de Poker52 !

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Chers lecteurs,

Et si 2023 était la bonne ? Et si le Main Event allait à un Français, tout droit sorti d’une qualification online —PMU ou les fameux King 5 de Winamax ? Et si au beau milieu de ces dizaines de bracelets WSOP offerts cette été, la France raflait la mise et devenait première nation au leaderboard à la fin de l’été ? Et si David Benyamine, Antony Lellouche, Bruno Fitoussi, ElkY, Roger Hairabedian, Sylvain Loosli, Gaelle Baumann, Pierre Calamusa et autres supernova hexagonales allaient au bout de leurs rêves ? Et si Julien Martini signait à nouveau une performance historique, avant d’aller tout remettre sur le tapis dans les gros mixed-games de Las Vegas ? Et sI Doyle Brunson se hissait en table finale du Main et remportait le 50 000$ Players Championship ? Et si Stu Ungar, ou son sosie, peu importe, revenait sur terre, au beau milieu du sable du désert du Mojave, pour faire une dernière apparition, en guest-star, dans les nouvelles salles flambantes des World Series ? Et si le casino Stardust renaissait de ses cendres, comme dans une vidéo d’explosion jouée à l’envers, et se juchait, tous néons allumés, à nouveau dans la nuit de Las Vegas, symbole Scorsesien des grandes années mafia ? Et si Dario Minieri rachetait sa montre, laissée au pawnshop en face de la Stratosphere, après avoir enfin gagné une grosse session de cash-game ? Et si Sam Farah se pointait à nouveau en heads-up d’un tournoi, et venait à bout de Chris Moneymaker ? Et si Jamie Gold arrêtait de se faire payer ses bluffs, et recouvrait les dizaines de millions de dollars flambés après sa victoire histoire du plus gros Main Event ? Et si plus de 10 000 joueurs, justement, s’acquittaient des 10 000$ de l’entrée du plus gros tournoi de l’année ? Et si Michael Jackson, mort en direct sur les écrans de l’Amazon Room durant un été de tournois, était annoncé vivant, en plein shuffle up & deal ? Et si les dés des tables de craps revenaient dans les mains de leurs lanceurs, toutes mises payées, dans un éclat de rires, de voix, d’alcool et de paillettes ? Et si la roulette payait tout le monde, royal au bar, pour toute la salle ? Et si les strip-teaseuses du Spearmint et autres Sapphire se rhabillaient, en direct, devant les regards ahuris des punters surexcités ? Et si les hustlersi  du Strip remisaient leurs cartes de réduction et ravalaient leurs arnaques de rue, retournant en roue arrière de leur vélos pimpés des souterrains de Las Vegas ? Et si, finalement, rien n’était pareil, cette année ?

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Alexandre Réard & sa plus belle perf, Julien « YuEstud » Brécard & Isabelle « NoMercy » sont dans Poker52 !

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Chers lecteurs,

Une chanson des Bugles, en 1979, annonçait, prophétique, la disparition du son, au gré de l’image – Video killed the radio stars –, plus d’un demi-siècle après l’apparition du cinéma parlant, où le son, cette fois, avait pris le pas sur l’image. Dans le domaine des médias, cette éternelle croyance en la puissance du multimédia à tout prix prend souvent le dessus, un temps au moins, sur l’écrit et toutes ses déclinaisons. Depuis près de deux décennies où ce magazine existe, les modes du « live Periscope » et autre « vlog Youtube », sans compter les « JT présentés par IA » sont passées, repassées et ont, très rarement, perduré. Il suffit de jeter un coup d’œil aux compteurs (souvent gonflés par les achats de followers) des contenus vidéo pour constater que ce qui se consomme passivement (une vidéo lancée en arrière-plan, un live sur lequel on jette un œil distrait entre huit parties multitablées) n’est rien d’autre qu’un bruit de fond dont le contenu importe peu.

Depuis ces maximes bien connues datant de l’Antiquité – le dicton latin verba volant, scripta manent – édictant que les paroles disparaissent, tandis que les écrits restent, les époques plus contemporaines ont eu quelques variantes comme la fameuse devise de Paris Match, premier hebdomadaire hexagonal, sur « le poids des mots, le choc des photos ». En ligne, le contenu « lourd » (au sens positif du terme) est lui aussi souvent dénigré au profit du futile, du fugace, de ce qui disparaît avant même que l’on ait pu l’intégrer, y réfléchir, le traiter intellectuellement. Face aux innombrables vidéos éphémères en direct des tables proposées par les joueurs eux-mêmes ou des wannabe médias, on reviendra toujours aux reportages au long cours, comme le propose par exemple depuis des années toute l’équipe éditoriale de Winamax ou, seul aux commandes le plus souvent, Greg Ceran-Maillard chez PMU Poker. De l’émotion, du temps long, des paroles écrites qui restent et esquissent, filet invisible dans le big data des informations non traitées, la légende vaporeuse des figures singulières du poker.

L’intégralité du hors-série été 2025 de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

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Stéphane Matheu, le coach du Team W, vous donne toutes les cartes en main

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Chers lecteurs,

Alors que les World Series s’achèvent tout juste, nous sacrifions comme chaque année à un numéro spécial hors-série stratégie, avec comme invité d’honneur, Stéphane Matheu, le légendaire coach du Team Winamax, qui vient de publier un ouvrage passionnant qui va vous donner « les cartes en main ». Psychologie, mental, maîtrise de ses émotions, définition d’objectifs mais aussi, et c’est là une notion centrale dans le monde hasardeux du poker, appréhension et acceptation de la variance, ce satané bad-beat qui nous tombe dessus ou ce run good qui semble venir de nulle part !

Stéphane Matheu nous a accordé un long entretien, plein de bon sens et de conseils pour les joueurs aguerris ou amateurs —une recette qui a en tout cas porté ses fruits lorsqu’on regarde les résultats des joueurs du Team W depuis la mise en place professionnelle de leur accompagnement. A la rentrée, il sera le temps d’ailleurs de faire le point sur les WSOP à Las Vegas, et la quasi-absence de performances françaises malgré un fort contingent qui s’y était déplacé. D’ici, là, bonne lecture et bonne remise en question de vos approches du jeu !

L’intégralité du hors-série été 2025 de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

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Antoine Berruel, le nouvel élu du Pro Dream PMU Poker !

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Chers lecteurs,

Le rêve de tout joueur, amateur ou semi-professionnel ? Être considéré comme un « pro », et surtout avoir l’occasion de vivre son rêve du circuit pendant une pleine année, comme Antoine Berruel, le nouveau venu chez PMU Poker, grâce à sa promotion Pro Dream. Alors que cette nouvelle tête bien faite se dotait d’un logo lui permettant de parcourir le continent et, aussi, les tournois étrangers, une énorme communauté de joueurs français était sur le point de partir à Las Vegas, afin de se frotter aux fields très américains des WSOP.

Pour le moment, alors que nous bouclons ce magazine mi-juin, aucun d’entre eux n’a fait une grande moisson : pas de bracelets à l’horizon, ni même de superbes performances, malgré le nombre important de tournois et, donc, d’occasions d’entrer dans l’histoire. Comme une bénédiction semble entourer les joueurs made in USA qui retrouvent leurs couleurs à chaque WSOP : même si le contingent local est fort logiquement présent en masse, il laisse peu de place aux exploits individuels venus du Vieux Continent. L’été n’est pas fini pour autant, il ne fait même que commencer. Et on croise les doigts pour que Grégory Chochon ait à faire retentir l’hymne hexagonal dans les salles noires de monde des WSOP !

L’intégralité du daté juillet 2025 de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

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