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Clubs parisiens

WPT National Series Diamond : le Day 2 commence !

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Les deux Day 1 du WPT National Series Diamond se sont achevés hier soir à l’Aviation Club de France, et la moitié du field originel sont encore en lice pour concourir à ce prestigieux titre World Poker Tour.

Au total, 88 joueurs reviennent lors du Day 2 de cette compétition qui va durer jusque la semaine prochaine, en cinq jours, pour une table finale télévisée exceptionnelle, à 8 joueurs. Le field est largement dominé par Guillaume Darcourt, le Français de la Team PMU, suivi de la révélation de 2010-2011, l’Anglais Sam Trickett, récent vainqueur du tournoi high-roller le plus cher de l’histoire…

Michel Abécassis, un des leaders de la Team Winamax, est en embuscade, ainsi que deux joueurs BarrierePoker.fr, Bruno Benveniste et Benjamin Pollak, qui pourraient bien porter haut leurs couleurs jusqu’à des stades avancés du tournoi… Retour des hostilités à 15h !

TABLE
TABLE
SIEGE
SEAT
JETONS
CHIPS
Darcourt Guillaume 6 4 220 100
Yacoub Dori 6 2 157 900
Trickett Sam 16 7 135 400
Abécassis Michel 11 6 121 900
Wagner Tobias 17 2 120 000
Tepper Jean-Louis 8 3 118 200
Barrau Fabien 7 8 113 800
Benveniste Bruno 17 6 110 700
Pollak Benjamin 17 4 110 400
Boujenah Ilan 12 3 109 900
Inizan Marc 17 7 107 200
Aube Yohann 7 1 103 900
Zerbib Jérôme 5 6 101 900
Neuville Pierre 5 7 98 100
Jacobs Lawrence 11 7 96 600
Mattsson Nichlas 16 2 93 400
Loumi Moulay 16 4 93 000
Fhal Jonathan 11 4 84 300
Le Dour Pierre 16 8 82 300
Queiros Da Silva Hervé 10 8 82 200
Lamsa Janne 7 9 78 800
Karlsson Jalcob 16 6 77 400
Kruglov Kirill 10 3 76 400
Saout Antoine 8 8 73 900
Crudo Franck 8 6 70 200
Baer Donovan 12 8 65 000
Petit Emile 9 8 60 800
Ostensson Jimmy 7 7 60 500
Desferet Renaud 12 4 60 100
Gremotton Sébastien 6 9 59 400
Berende Paul 10 2 54 700
Fourniols Eric 11 8 52 500
Vilmunen Jani 9 2 51 000
El Bakkouri Mohamed 12 1 49 900
Kyllonen Jens 16 3 49 300
Brivot Alexandre 11 5 49 000
Bonnin Hycinthe 7 4 48 600
Chartier Samuel 6 5 47 700
Mercier Isabelle 9 6 46 600
Kérignard Yorane 12 6 46 000
Derwiche Brahim 10 7 45 500
Pasqualini Jean-Paul 8 2 44 200
Roux Pascal 17 3 43 500
Kudriavtcev Ivan 7 2 43 400
Bellée Sébastien 5 3 42 800
Layani Jonathan 6 3 41 400
Nitsche Dominik 11 1 40 600
Perrot Fabien 8 9 40 000
Paulus Ingo 12 9 38 600
Lacay Ludovic 6 6 38 500
Cap Jean-Louis 10 6 36 400
Bot JB 9 9 35 900
Monvoisin Frédéric 5 9 35 300
Lemaire Hugo 10 4 34 700
Nock Jeremy 5 8 33 900
Thommen Tristan 8 1 33 800
Bevand Manuel 6 1 33 500
Marot Christophe 17 5 33 500
Vorobjovs Viktors 8 4 31 100
Mostafavi Chojaeddin 17 1 29 600
Kalfon Franck 9 5 29 500
Edberg Kristoffer 12 7 29 400
Nikitina Natalia 11 9 29 000
Jacobsen Philip 6 7 28 000
Calia Nicolo 11 2 28 000
Van Zadelhoff Steven 8 5 27 400
Rapiner Emmanuel 12 2 26 800
Goeta William 5 2 25 500
Bergmann Daniel 9 1 23 000
Tylzynski Jean-François 7 3 22 900
Alfalasi Faisal 5 4 21 500
Benadiba Stéphane 5 5 21 500
Tnina Samy 5 1 18 900
Gérin Stephan 8 7 18 000
Soulier Fabrice 10 1 17 400
Antoine Julien 6 8 16 300
Retteivaier Marvin 16 1 15 800
Mendes Pedro 10 5 15 700
Nebezhev Khazret 9 7 13 600
Diaz 17 8 13 100
Ktorza Philippe 12 5 12 600
Juliano Mickaël 9 3 12 300
Lefebvre Anthony 7 5 11 700
MacCorkell Craig 9 4 11 600
Halimi Guy 7 6 10 500
Levasseur Mark 16 5 9 900
Lykov Maxim 10 9 7 300
Jeppssen Christian 11 3 4 100

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Autres tournois

[WiPT Paris – Grande finale] L’action ne s’arrête jamais

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Alors que le Day 1A s’apprête à accueillir, en mode turbo, un Day 1b qui débute chaque jour à 18h, les busto ou les joueurs trop en retard qui veulent une compétition ne s’étalant pas sur trop de journées, se pressent déjà pour le « Battle Royale », un 750€ qui débute à 17h30, avec des ITM qui se reverront en Day 2 pour toucher le « vrai » argent. Déjà 50 inscrits, et au vu des tables où les croupier se sont déjà installés, il semble que le field devrait au moins doubler dans l’heure à venir.

Au programme, 1 seul re-entry possible, des niveaux de 25 minutes et un bounty à 300€. Bruno Fitoussi, qu’on a aperçu de loin en grande discussion avec Apo Chantzis et François Lascourrèges, les deux hommes-lige à la marque Texapoker, devrait être de cette compétition : l’ambassadeur de la marque a dû renoncer au dernier moment à jouer le Main Event qu’il convoitait car il aurait été pris par un rendez-vous immanquable en éventuel Day 2…

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Autres tournois

[WiPT Paris – Grande finale] Le rêve est à portée de jetons

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Le poker est une course de fond, mais au rythme assez soutenu des niveaux d’une demie heure proposés par ce Day 1A —à l’heure où nous écrivons ces lignes, sur un tapis de départ, on est déjà à mi-parcours du 600/1200/1200—, les éliminations se succèdent à un train de sénateur (lentement, donc, mais sûrement). Pierre Calamusa, le deuxième pro Winamax à avoir fait son apparition dans la grande salle du parc des Expos de la porte de Versailles, a amené un peu de chaleur et de vie avec lui, déclenchant les selfies des qualifiés et autres joueurs ayant fait le déplacement.

En parallèle, des satellites s’organisent à l’entrée de la salle de tournoi, sous l’oeil affûté d’Apo Chantzis, l’homme derrière la saga fabuleuse de Texapoker, devenu en quelques années le grand acteur incontournable du poker live en France. Ses équipes sont en place, les croupiers de toutes nationalités enchaînent avec dextérité les mains, tandis que les Tournament Director et autres responsables assurent des jugements de Salomon lors des rares protestations. Au menu des satellites, un format peu connu —en tout cas, pas chez nous— qui accélère le jeu : une fois atteint un tapis de 120 000 jetons (sur un tapis de départ de 20 000 jetons), vous décrochez automatiquement vos buy-in pour la finale, au jour désiré. Le gamble va bon train, avec des levels de 10 minutes, mais tout semble désormais possible, avec seulement 105€ en poche. Le rêve, toujours, à portée de jetons.

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Autres tournois

[Finale WiPT Paris — journal off] Le poker, c’est pas de la littérature

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Les années passent, les passions se déplacent. Il y a quelques années encore, se diriger vers l’autre bout de Paris (quand on habite rive droite) au beau milieu du mois de mars était synonyme d’un voyage quotidien, durant une petite semaine, vers le Salon du Livre qui avait lieu au mêmes dates que cette grande finale du Winamax Poker Tour, au même endroit —dans l’un des grands pavillons de la Porte de Versailles.

En arrivant ce matin sous la chape nuageuse qui obscurcit ce quartier sans grand charme du deep south parisien, les souvenirs reviennent : l’effervescence des signatures d’écrivains régionaux qui attendent le chaland désespérément, les files d’attentes interminables devant les quelques rares stars de l’édition, les stands thématiques qui rappellent plus le salon de l’agriculture que la décadence germano-pratine, les open bar mouvants des soirées de vernissage, les réserves de livres qui s’agitent frénétiquement au rythme des aventures sexuelles des différentes parties en présence, les haines pichrocolines entre éditeurs, les rumeurs de rachat entre géants de l’édition pré-Bolloré (Editis, Hachette, Gallimard), et les reportages cultes qui y sont tournés (« L’édition c’est pas de la littérature », meilleur Strip Teasejamais proposé sur la question, à découvrir gratuitement ici).

Cette année, c’est le poker qui a pris place, parmi d’autres, dans l’un des grands pavillons de cette gigantesque place tournante qu’est la porte de Versailles et ses salons à tous les étages. Au-dessus, une exposition Johnny Haliday, dans deux jours, un championnat de France du sushi, en attendant le « Salon des seniors », le « Sandwich & snack show » ou le plus populaire « Comic Con », fin du mois. Les passions s’additionnent, se superposent, cohabitent le plus naturellement possible.

Avec le temps, la littérature poker, elle, a quasiment disparu. Fut une époque où chaque grand champion offrait son propre livre au joueur qui le bustait des WSOP. Alors que les grandes théories du jeu avaient été popularisées par ce medium —Super System  de Doyle Brunson en tête—, et que chaque joueur sponsorisé rêvait d’avoir son nom en couverture d’une biographie ou d’un livre de stratégie (Isabelle Mercier, Patrick Bruel, les collections de François Montmirel —pour les francophones), la mode est passée. « Un livre, mais pour quoi faire ? » répondait un grinder américain à une intervieweuse aux WSOP qui s’enquérait quant au jour où il sortirait sa méthode. Désormais, le passage de témoin se fait par les tutos vidéos, les streaming sur twitch et, de plus en plus rarement, sur des blogs éditorialisés pour l’occasion.

Si les écrits restent, la parole, elle, circule. Elle s’accommode des changements et des évolutions stratégiques, permet de réviser ses erreurs et les nier, autorise tout un chacun à ne pas passer pour le ringard de service. Seuls les récits épiques du jeu parviennent encore à trouver matière à réédition, avec un public de plus en plus restreint. Mais sans story telling, sans grand souffle, le poker arrivera-t-il encore à subsister dans l’histoire et écrire ainsi son grand roman?

Jérôme Schmidt

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