fbpx
Connect with us
center>

Magazine

Rencontre avec Eric Cavillon en couv’ du Poker52 de décembre

Published

on

Chers lecteurs,

On pensait tenir, il y a quelques mois, le champion WSOP 2020 en la personne d’un pro bulgare du nom de Stoyan Madanzhiev : près de 4 millions de dollars de gains lors du Main Event à 5 000 $ online organisé par WSOP et GG Poker dans les pays qui n’interdisent pas cette plateforme – la France n’en fait pas par- tie. Mais le marketing en aura donc décidé autrement puisque la marque prestigieuse des WSOP, qui a eu tendance à apposer son logo sur de plus en plus de tournois ces dernières années, s’est décidée à organiser un nouveau Main Event. Non, pas celui-là, un autre : LE Main Event. À 10 000 $, avec une table finale télévisée, comme le Main Event habituel.

Derrière des arguments fallacieux et une capacité à se voiler la face le plus longtemps possible, la rouée équipe des World Series aura donc eu le panache – ou l’indécence, à vous de choisir – de refaire chauffer les bankrolls des joueurs online et de proposer une formule à la demande très étrange avec un double tournoi : « domestique » (pour les joueurs américains du New Jersey et du Nevada) et « international » pour… les autres. Chaque tournoi ira jusqu’à une finale live organisée à Las Vegas au Rio Casino (qui vient tout juste de rouvrir après un semestre de fermeture) pour les premiers, et à Rozvadov pour les seconds. Quant aux deux vainqueurs, ils se retrouveront ensuite en heads-up pour un freeroll à un million de dollars.

Et le Covid dans tout ça ? Les autorités du Nevada viennent d’interdire toute réunion privée sans masque entre personnes ne se connaissant pas, ont décidé de limiter à 25% de leur capacité tous les établissements accueillant du public, et en Europe, la maladie galope, avec toujours une interdiction de voyager. Annoncée un moment pour les WSOP, une mesure plus qu’étonnante précisait que si un participant à la table finale live était positif au Covid, il serait éliminé automatiquement en neuvième place, sans plus de discussion. Ces derniers jours, les boss des WSOP ont semblé revenir sur ces conditions honteuses et absurdes, pour proposer une sorte de « bulle sanitaire » préalable. C’est parfois dans les crises les plus terribles que se révèle l’iniquité des entreprises et de leurs décideurs.

Jérôme Schmidt

 

Continue Reading
Advertisement
Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Magazine

Bryn Kenney : l’interview-fleuve où il dit tout !

Published

on

Chers lecteurs,

Cette année, les deux plus gros tournois de l’hiver à Paris ont été des succès à la fois populaires mais aussi en termes d’industrie. Jamais, à l’EPT Paris comme à la Grande Finale du Winamax Poker Tour, les tournois ne se sont enchaînés avec autant de facilité et d’inscrits – preuve s’il en est que les années noires du poker live sont bien loin derrière nous. Et comme à chaque printemps, c’est une nouvelle salve d’énormes événements qui attendent les joueurs de tous les horizons : WSOPC Cannes, bien sûr, mais aussi Sismix à Marrakech, WSOPC Paris, EPT Monte-Carlo… La liste est longue et ne cesse de s’étoffer au fur et à mesure des semaines.

Les WSOP à Las Vegas sont eux aussi en ligne de mire, avec des dates annoncées du 28 mai au 17 juillet, avec comme devise : « Les records sont faits pour être battus. » C’est Ty Stewart, le directeur exécutif des WSOP, qui le clame haut et fort, avec un turnout qui s’annonce d’ores et déjà historique. Au programme, bien sûr, quelques nouveautés autour des plus de 700 tables de poker qui seront ouvertes pendant le festival, dont un étonnant Mixed NLHE-PLO double-board bomb pot qui risque bien de faire des étincelles !

L’intégralité du daté d’avril de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

Continue Reading

Magazine

Barrière réinvestit massivement dans le poker

Published

on

Chères lectrices, chers lecteurs,

Quoi de plus sain que la concurrence ? Quoi de plus réjouissant que de voir un grand acteur du jeu revenir en force au devant de la scène poker, avec des projets qui devraient une fois de plus séduire anciens routiers du circuits autant que les nouvelles générations biberonnées au poker en ligne, façon Expresso, durant le désormais lointain confinement de 2020 ?

L’offre de tournois mid-stakes ne cesse de s’agrandir partout en France, et les gros évènements aux buy-ins internationaux se jouent presque tous à guichet fermé, comme récemment l’EPT de Paris, remporté par un revenant, Barny Boatman. A 68 ans, ce personnage lumineux, cultivé et toujours pince sans-rire a fait le bonheur des amoureux de l’histoire de poker en devant le plus âgé des vainqueurs de la célèbre compétition —preuve s’il en est que les vieux grinders ne s’en laissent pas toujours compter…

Avant de vous dévoiler, le mois prochain, une interview fleuve et « psychédélique » du plus gros vainqueur de tous les temps, l’Américain Bryn Kenney, prenez le temps de construire en lisant ce numéro votre agenda poker pour 2024 : les tournois sont légion, et il y en aura pour tous les goûts !

L’intégralité du daté mars de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

Continue Reading

Magazine

L’incroyable come-back de Gus Hansen

Published

on

Chers lecteurs,

Nous sommes encore à Las Vegas au moment où nous écrivons ces lignes, après avoir vécu une quinzaine de tournois absolument exceptionnels grâce au World Poker Tour. Pour une fois, notre inclinaison critique n’a rien trouvé à redire, bien au contraire : entre le luxe discret des salles du casino Encore/Wynn, le professionnalisme et l’humanisme de toute l’équipe du WPT —d’Adam Pliska à Hermance Blum, toujours aux manettes—, on a pu profiter de compétitions d’anthologie dans les meilleures conditions.

Bien sûr, les stars s’étaient presque toutes données le rendez-vous à Las Vegas en cette mi-décembre,  et c’est avec un immense plaisir que nous avons pu croiser Patrik Antonius, Gus Hansen, Fabrice Soulier, Phil Ivey, Joe Hachem, John Juanda, Mike Matusow, Huck Seed, Erik Lindgren et autres Sammy Farha ! L’occasion, pour nous, d’évoquer avec certains d’entre eux les grands moments du boom du poker, dont ils ont largement été les acteurs, ainsi que de découvrir la nouvelle scène high-stakes live avec les joueurs du Big One for One Drop à 1 000 000$ le buy-in… La finale du Main Event commence dans quelques heures, avec malheureusement l’élimination en fin de Day 6 des deux derniers Français encore en lice, qui ont signé un très beau deep-run. C’est certain, eux comme nous reviendront l’an prochain.

L’intégralité de notre numéro est disponible gratuitement en ligne ici !

Jérôme Schmidt

Continue Reading
Advertisement

Buzz

POKER52 Magazine - Copyright © 2018 Game Prod. Design by Gotham Nerds.