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Dossier NFT en couv’ du Poker52 de juillet

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Chers lecteurs,

Enfin, le grand jour est arrivé ! Même si quelques contraintes Covid pèsent encore sur les casinos et les clubs de jeux, les conditions à table deviennent de plus en plus acceptables, et il n’est pas hypothétique de penser retrouver des tables full ring dans un avenir proche… Combien de temps cela durera-t-il ? Si tout le monde sait que la situation sanitaire est volatile, profitons au moins de tout ce que nous offre le poker tant qu’on peut ! Avec, en ligne de mire, le retour en force des tournois, à Paris, au Maroc et un peu partout en Europe.

Le grand émerveillement de ces derniers jours est venu d’outre-Atlantique, où les World Series of Poker ont dévoilé leur programme maous, prévu pour cet automne 2021. Nous avons pu critiquer vertement quelques décisions ces dernières années quant à la massification des WSOP, mais force est d’avouer qu’à la réception d’un calendrier gorgé en événements, encore plus juteux que celui du « monde d’avant », notre cœur de midinette n’aura fait qu’un tour et, croyant ou agnostique, nous prierons tous pour que Las Vegas, Mecque du poker, tienne bon dans les mois à venir et que nous puissions revivre ce frisson unique de l’entrée dans les salles frigorifiées du casino Rio, du 30 septembre au 23 novembre. Soit sept semaines de folie pure, de gambling old-school, d’histoires incroyables et de destins changés à tout jamais.

Jérôme Schmidt

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Bruno Fitoussi vous emmène à Las Vegas pour les WSOP dans le daté mai de Poker52 !

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Chers lecteurs,

Et si 2023 était la bonne ? Et si le Main Event allait à un Français, tout droit sorti d’une qualification online —PMU ou les fameux King 5 de Winamax ? Et si au beau milieu de ces dizaines de bracelets WSOP offerts cette été, la France raflait la mise et devenait première nation au leaderboard à la fin de l’été ? Et si David Benyamine, Antony Lellouche, Bruno Fitoussi, ElkY, Roger Hairabedian, Sylvain Loosli, Gaelle Baumann, Pierre Calamusa et autres supernova hexagonales allaient au bout de leurs rêves ? Et si Julien Martini signait à nouveau une performance historique, avant d’aller tout remettre sur le tapis dans les gros mixed-games de Las Vegas ? Et sI Doyle Brunson se hissait en table finale du Main et remportait le 50 000$ Players Championship ? Et si Stu Ungar, ou son sosie, peu importe, revenait sur terre, au beau milieu du sable du désert du Mojave, pour faire une dernière apparition, en guest-star, dans les nouvelles salles flambantes des World Series ? Et si le casino Stardust renaissait de ses cendres, comme dans une vidéo d’explosion jouée à l’envers, et se juchait, tous néons allumés, à nouveau dans la nuit de Las Vegas, symbole Scorsesien des grandes années mafia ? Et si Dario Minieri rachetait sa montre, laissée au pawnshop en face de la Stratosphere, après avoir enfin gagné une grosse session de cash-game ? Et si Sam Farah se pointait à nouveau en heads-up d’un tournoi, et venait à bout de Chris Moneymaker ? Et si Jamie Gold arrêtait de se faire payer ses bluffs, et recouvrait les dizaines de millions de dollars flambés après sa victoire histoire du plus gros Main Event ? Et si plus de 10 000 joueurs, justement, s’acquittaient des 10 000$ de l’entrée du plus gros tournoi de l’année ? Et si Michael Jackson, mort en direct sur les écrans de l’Amazon Room durant un été de tournois, était annoncé vivant, en plein shuffle up & deal ? Et si les dés des tables de craps revenaient dans les mains de leurs lanceurs, toutes mises payées, dans un éclat de rires, de voix, d’alcool et de paillettes ? Et si la roulette payait tout le monde, royal au bar, pour toute la salle ? Et si les strip-teaseuses du Spearmint et autres Sapphire se rhabillaient, en direct, devant les regards ahuris des punters surexcités ? Et si les hustlersi  du Strip remisaient leurs cartes de réduction et ravalaient leurs arnaques de rue, retournant en roue arrière de leur vélos pimpés des souterrains de Las Vegas ? Et si, finalement, rien n’était pareil, cette année ?

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Winamax Poker Tour : la conquête de Paris

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Chers lecteurs,

Le printemps a débuté sur les chapeaux de roue avec des festivals qui ont été parfois victimes de leur succès, avec des compteurs affolants en terme d’inscriptions. Une réalité s’impose : le poker live n’a jamais été aussi populaire en France de toute son histoire ! Et les mois qui viennent ne devraient pas dire autre chose puisque le FPS Paris, le Sismix Marrakech, les étapes du Barrière Poker Tour, les tournois Unibet et PMU ou tous les festivals Texapoker… s’annoncent déjà comme des évènements incontournables.

A l’horizon proche, les World Series Of Poker, à Las Vegas. Là encore, rien ne semble s’ériger contre le plus grand évènement poker de l’année et son festival qui dure plus d’un mois. Les joueurs américains devraient toutefois être encore promis aux joueurs américains et aux gros pros, notamment grâce à leur pouvoir d’achat et la force du dollar par rapport à l’euro. Surtout que depuis la fin de la pandémie, Las Vegas est redevenue LA ville de la fête et du jeu, dopée par les nouveaux millionaires de la cryptomonnaie. Prévoyez donc bien votre voyage pour Sin City en amont, afin de vivre au mieux la magie des WSOP.

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Erik Seidel, le Team W, Jason Mercier, Mike Matusow… Tous sont dans le daté mars de Poker52 !

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Chers lecteurs,

Les gros cash-games en streaming se multiplient outre-atlantique, et semblent parfois de plus en plus dériver vers une version bas de gamme de ce qu’on aime par-dessus tout : du high-stakes avec des joueurs au niveau hors de l’ordinaire. Si PokerGo, le projet de Mori Eskandari, grand manitou derrière High Stakes Poker, a pour le moment signé un presque sans-faute dans la qualité des produits proposés, les alternatives qui fleurissent (le Hustler Casino Live, ou le Live at the Lodge) ne sont pas du même acabit. Il y a quelques jours, on a par exemple eu l’étrange surprise d’entendre un flambeur amateur insulter Dan « Jungleman » Cates après lui avoir passé un bluff : « You’re my bitch now » (« tu es ma petite pute, d’accord », en VF), a-t-il lancé sans que personne n’y trouve rien à redire, pas même le champion en question. C’était pourtant en direct d’une émission brandée par deux des figures de la twittosphère poker, Doug Polk (propriétaire des lieux) et Joey Ingram (aux commentaires).

 

Les habitudes stéroïdées des deux « émissions » pré-citées commencent à déteindre de plus en plus sur la qualité de l’environnement proposé aux joueurs : la première, le HCL, a été l’objet de nombreuses accusations de triches (dont le fameux J4 de Robbi Jade Lew), tandis que la deuxième se vautre dans la vulgarité assumée et la « bro » attitude sans même s’en rendre compte. De podcasteur malin et attachant, Ingram est devenu depuis quelques mois le garant ricanant d’un poker bas du front où l’on se gausse qu’aucune femme n’est à la table de 200-400$, comme si c’était une évidence génétique. La confrérie des imbéciles a encore de beaux jours devant elle.

La rédaction

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