Chers lecteurs,

À quoi tient la longévité d’un joueur de poker ? À un sponsor, à sa régularité aux tables ou, également, à sa stabilité émotionnelle, affective, psychologique, loin des casinos ? Certains argueront que la présence d’un sponsor est une condition quasi sine qua non, mais ce genre d’aventures ne dure toujours qu’un temps. Rares sont ceux qui ont traversé une décennie floqués du même logo sur leurs vêtements, notamment du côté des Teams anglo-saxonnes où la volatilité fait désormais partie du business : à chaque nouveau changement de direction, à chaque traversée du désert personnelle, les Teams disparaissent, pour souvent ne jamais revenir. Il suffit de voir un joueur star comme ElkY, longtemps égérie de PokerStars, qui officie désormais chez le nouveau géant GG Poker, « acquéreur », en vrac, des WSOP, de Daniel Negreanu… et du Français.

La stabilité, c’est en tout cas ce qui caractérise la plus belle success-story du poker hexagonal, Winamax, avec son Team qui évolue sans bouleversements majeurs, mais aussi un maillage de tournois live & online qui sont autant de rendez-vous pour les amateurs et les pros : le WPO Bratislava donne le coup d’envoi de leur saison live fin septembre, avant l’éternel retour du WiPT et sa kermesse formidable qui passe de ville en ville. PMU Poker ou Unibet ne dérogent pas non plus, à leur façon, à cette règle, avec de nombreux tournois en partenariat avec Texapoker, mais aussi le Hip Poker Tour ou des DSO. L’offre est désormais claire pour celui qui veut affronter chance, hasard et beauté du jeu durant la saison 2024-2025.

L’intégralité du daté septembre de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

Chers lecteurs,-

La torpeur de l’été est encore bien en place, et tous les regards sont pour une fois détournés du poker et de ses tapis verts pour vivre à fond la folie des Jeux olympiques de Paris. Les WSOP se sont closes sur une participation record et, plus rare encore, une polémique au sujet du vainqueur : peut-on, comme il l’a fait, utiliser des solvers en direct afin de vérifier que son jeu est bien GTO ? Et si oui, est-ce vraiment légal, moral voire tout simplement… utile ? Nous reviendrons en détail dans notre numéro de septembre sur ce sujet qui a fait couler beaucoup d’encre, et qui risque bien de continuer à faire parler dans les mois à venir…

Entre-temps, les World Series ont aussi changé de main, pour la modique somme d’un demi-milliard de dollars, et ont été cédées à GG Poker, qui prouvent une fois de plus qu’ils comptent bien asseoir leur toute-puissance sur le monde du poker en ligne, et live. Que cela changera-t-il pour les prochaines éditions ? Rien, nous assure-t-on, puisque même le lieu où se tiendront les WSOP devrait rester le même. En tout cas, ce move attendu depuis longtemps aura mis près d’un an à se concrétiser, puisque les rumeurs d’une telle acquisition couraient dans les couloirs du Horseshoe déjà à l’édition précédente ! Wait and see…

L’intégralité du daté « été » de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

Chers lecteurs,-

Une fois les WSOP passées, on est généralement confronté à son propre niveau, souvent défaillant. Mais que s’est-il passé pour que nos coin flips ne passent pas, que des accès de rage ou de tilt nous fassent dérailler de la bonne marche à suivre ? Les pros, eux, ont des coachs payés des fortunes, pour tenter de décrocher la lune, mais qu’en est-il des amateurs comme nous, pauvres mortels ? Avec ce numéro hors-série spécial technique et stratégie, vous tenez autant de pistes et de solutions pour résoudre vos leaks et autres failles…

Pendant ce temps-là, dans le désert du Nevada, il y a eu le come-back de plusieurs gloires du poker, celles qui nous ont fait rêver dans les années 2000, au moment où le boom du online n’avait pas encore tout chamboulé dans le paysage médiatique. Gus Hansen ? Sponsorisé Winamax en 2024 ! Phil Ivey et son logo WPT ? Un onzième bracelet et plusieurs tables finales. Quant à Daniel Negreanu, c’est sûrement le tournoi le plus prestigieux de l’été qu’il vient de gagner, en remportant le 50 000 $ Poker Players Championship, le Graal des Graals… Tout est possible, on vous dit.

L’intégralité du daté de juin de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction