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Liz Lieu, ambassadrice de charme pour l'ISPT

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Après Sam Trickett, spécialiste incontesté des high-stakes, et le double champion HORSE Michael Mizrachi, c’est au tour de Liz Lieu de compléter le trio d’ambassadeurs de chic et de choc de l’ISPT (International Stadium Poker Tour »).

Joueuse professionnelle originaire du Vietnam et résidente aux USA, c’est une des meilleures joueuses de Limit au monde ainsi qu’une compétitrice acharnée dans tous les autres formats. Elle est née le 2 août 1974 au Vietnam. Peu de temps après, elle emménage aux Etats-Unis. Dès l’adolescence, la jeune femme se passionne pour le poker et les cartes deviennent, alors, ses meilleures amies. Au fur et à mesure de son expérience dans le poker, elle devient une joueuse professionnelle coquette et respectée par ses pairs, qui la surnomment la « Diva du Poker ». Liz Lieu effectue ainsi de très belles performances tout au long de sa carrière dans le poker. En 2005, elle participe à une table finale lors des WSOP où elle remporte $ 168.590. Elle poursuit ses exploits aussi bien à Las Vegas qu’à Macao, aux Philippines, en France, en Italie, en Angleterre, etc.

Pour elle, l’« ISPT innove le poker d’une manière créative et audacieuse, cet événement permettra de créer beaucoup d’attention positive autour de ce sport. Je suis très enthousiaste par le concept du stade et je suis sûre qu’ISPT fera partie de l’histoire du poker. Mon rôle sera d’agir comme ambassadrice de tournoi et partager mon avis sur cet événement. Je ne veux pas seulement que les joueurs aient conscience de la nature historique de l’ISPT, mais aussi qu’ils envisagent le plaisir qu’ils auront à jouer un aussi gros événement » précise Liz Lieu.

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EXCLU : Gus Hansen intègre le Team Winamax !

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Qui aurait imaginé un jour écrire ce titre ? Le rêve est devenu réalité, avec l’arrivée d’une légende du poker dans le Team W : Gus Hansen vient d’enfiler le logo de Winamax, et compte bien en porter haut les couleurs durant toute la saison à venir, à commencer par le SISMIX à Marrakech… Derrière ce coup de génie, une amitié très forte qui lie Stéphane Matheu, le responsable du Team, et Gus Hansen, depuis des années. En exclusivité pour Poker52, Stéphane revient sur le making-of de ce transfert de l’année.

Peux-tu nous raconter comment s’est fait ce transfert historique et inattendu de Gus Hansen au sein du Team W ?

Ce transfert inattendu s’est fait, indirectement, par Poker52, lors du WPT au Wynn, cet hiver 2023. En fait, le World Poker Tour m’avait contacté pour inviter Gus Hansen lors de ce tournoi, et ils savaient qu’on se connaissait bien. J’ai facilité l’invitation, et on s’est retrouvés à Vegas, ce qui était très cool car cela faisait longtemps qu’on ne s’était pas croisé. A ce moment-là, tu as fait une interview exclusive de Gus pour Poker52, où il parlait du Team Winamax, en des termes très élogieux et positifs. Du coup, ça a mis la puce à l’oreille de Benjo lorsqu’il a lu l’article, et comme on tournait Dans la Tête d’un pro au même moment, on s’est demandés si cela ne serait pas intéressant de faire DLTDP avec lui. Le soir-même, j’ai retrouvé Gus à un concert à la Sphere, à Vegas, pour voir U2 et j’ai abordé le sujet avec lui. Je lui ai demandé s’il avait juste voulu être sympa en parlant de nous, et il m’a confirmé que c’était vraiment ce qu’il pensait. Gus est un type authentique et direct, et il m’a bien dit à nouveau qu’il trouvait que tout ce qu’on faisait avec le Team était super. Du coup, je lui ai parlé de l’idée de Benjo de faire DLTDP avec lui, et même si on n’a pas eu le temps de boucler un épisode entier car Gus  au sauté en début de Day 2, j’ai senti qu’il ouvrait la porte à une éventuelle collaboration… Courant janvier, puis février, on a eu des conversations plus formelles sur ce que ça impliquerait d’intégrer le Team W, et on a trouvé un deal qui devient réalité en ce début de printemps !

A quand remonte votre amitié ? Je me souviens de toi qui jouait déjà au tennis avec Gus pendant That’s Poker… Comment a-t-elle évolué ?

On s’est rencontrés il y a près de vingt ans avec Gus, j’étais alors coach de tennis à Las Vegas en 2005, je finissais mes études à UNLV. Ca partait d’un pari assez burlesque où il devait jouer le match sur une jambe contre un autre joueur, mais finalement ça ne s’est jamais fait ! Mais on est devenus très amis, on a même failli habiter ensemble en collocation entre 2005 et 2008. C’est Gus qui m’a fait découvrir le poker, je ne connaissais pas du tout ce milieu… C’est même lui qui m’a donné l’idée du métier que je fais aujourd’hui, car fin 2005, il m’avait proposé de devenir son manager, au moment où on s’est rencontrés avec Fabrice Soulier, et toute l’équipe de That’s Poker. L’histoire est vraiment belle pour moi, la boucle est bouclée en le recrutant vingt ans plus tard pour le Team dont je m’occupe. A partir de 2008, on s’est moins vus mais on se croisait chaque année sur le circuit international, et on était restés en contact même à distance. C’est quelqu’un que j’ai toujours estimé comme un ami fidèle avec qui on peut se confier.

Gus s’est toujours intéressé à l’esprit d’équipe, que retrouve-t-il, selon toi, dans cette nouvelle aventure ?

L’esprit d’équipe l’a toujours intéressé, il aime bien l’approche sportive que l’on a dans le Team Winamax, le côté performance et esprit de compétition. Il est intrigué par la dynamique qui nous anime, par notre cohésion et notre esprit de groupe qui sont peu communs dans le poker.

Quand verra-t-on Gus sur les évènements Wnamax ?

Il sera présent sur plusieurs évènements Winamax, dont le SISMIX à Marrakech fin mai pour sa première apparition. Il viendra à Bratislava pour le WPO, mais aussi sur les étapes de lancement du Winamax Poker Tour ! Ca va vraiment être génial de l’avoir avec nous.

Comment penses-tu que cela va influer sur la dynamique du Team ?

Humainement, c’est certain qu’il va très bien s’intégrer, en toute fluidité. Gus est plus âgé, il a un autre regard sur le jeu, il a été pionnier à son époque, et il va amener expérience et un regard décalé mais très pertinent sur plein de choses… Il a vécu tellement de choses de l’âge d’or du poker… Ca sera très riche pour toute l’équipe.

Quelles valeurs as-tu envie qu’il amène et renforce au sein du Team W ?

Les siennes, tout simplement. C’est la force du Team que de respecter les singularités et les forces de chacun. Et ça, Gus n’en manque vraiment pas… Il est très authentique, comme tous nos joueurs. J’aime son approche transparente et cartésienne des choses, c’est un grand expert en mathématiques dans le jeu.

Quels liens Gus a-t-il avec la France ? Il me racontait qu’il écoutait Sexion d’Assaut…

Il y a bien sûr notre amitié, et il a également vécu à Monaco où tout le monde parle français. Ca fait des années qu’il apprend la langue, et je crois qu’être dans notre Team lui donne envie d’être bilingue. C’est vrai que dans ses playlists Spotify, il écoute énormément d’artistes français, des choses hyper variées, aussi bien du Brel, du Brassens que du hip-hop et même des chanteuses de folk obscures ! Et en plus, sa sœur dont il est très proche est professeur de Français…

Enfin, quels sont les objectifs du Team pour les WSOP de cette année ?

C’est toujours très difficile de répondre à ça… On a essayé de calculer notre EV en nombre de bracelets lors de notre dernière réunion du Team, en moyenne on devrait gagner un bracelet par an aux WSOP ! On a un effectif qui est tellement de super haut niveau, avec des vraies machines de guerre et tous les joueurs et joueuses qui sont ultra-compétitifs. Un bracelet serait top, et tout le reste est du bonus. En tant que manager, mon but numéro 1 est de garder cet esprit de groupe et intégrer au mieux Gus dans cette nouvelle équipe.

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Bruno Fitoussi, nouvel ambassadeur Texapoker

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« Il a été le précurseur du poker en France, et a régné pendant plus d’un quart de siècle sur les plus beaux cash-games et les plus prestigieuses franchises de tournois de poker en France : c’est donc tout naturellement que Bruno Fitoussi rejoigne l’équipe de Texapoker, numéro 1 du poker en France, en tant qu’ambassadeur » : c’est ainsi qu’Apostolos Chantzis a annoncé la nouvelle sur les réseaux sociaux en ce week-end à l’actualité poker déjà bien chargée.

Durant toute sa carrière dans le poker — joueur professionnel, conseiller poker pour l’Aviation Club de France jusqu’en 2013, puis occupant la même fonction à l’ouverture du Club Pierre Charron, jusqu’en 2022—, Bruno Fitoussi a su développer un très large carnet d’adresses à l’international, créant ainsi la première étape européenne du World Poker Tour (Grand Prix de Paris, 2003).

Ses nombreuses contributions médiatiques à l’industrie du poker vont de la télévision (plus de 300 émissions) à la presse (fondateur de Poker52) ; elles lui ont valu un Lifetime Achievement Award aux European Poker Awards,  ainsi que de nombreuses nominations au WSOP Poker Hall Of Fame. Il est également membre de l’European Poker Hall Of Fame et du WPT Honors.

Toujours présent dans le Top 20 français d’HendonMob, il a repris récemment son activité de joueur sur le circuit international et hexagonal, signant de nombreuses places payées, notamment aux WSOP 2022. « Je suis très fier de rejoindre l’équipe de Texapoker, qui fait un travail remarquable depuis des années et qui su se réinventer lors de la difficile période de la pandémie. Apo possède une vision unique, et son succès ne doit rien au hasard. En tant qu’ambassadeur, je suis très heureux de pouvoir contribuer, à mon niveau, à cette aventure exceptionnelle. »

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Moundir, à l’épreuve des questions

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Des années qu’ils côtoient les grands pros lors des tournois les plus prestigieux ! Qui d’entre nous n’a pas rêvé d’être à leur place au moins un soir, plus encore au Main Event à Vegas ? Ce mois-ci : Moundir, rescapé de Koh-Lanta, du Covid et des WSOP où il a tenu jusqu’au Day 3, c’est dire s’il est coriace ! À peine guéri, remis en selle
pour le prochain.

Depuis quand joues-tu ?
Depuis 2009 ou 2010, j’étais à Miami chez un copain. Je m’entraînais avec les joueurs de l’équipe des Dolphins, une équipe pro de football américain. Un aprèsmidi, à la télévision, je découvre la retransmission des WSOP qui passionnait tout le monde. Je demande qu’on m’explique les règles et note sur un papier les combinaisons : paire, double paire, brelan… Le soir même, je fonce au casino et je gagne 800 $ ! J’étais piqué et bien addict, moi qui n’avais jeu de cartes auparavant.

Quelle est ta principale motivation à une table ?
Gagner ! J’ai appris à analyser très vite une table. Dès que je repère un loose-passif, je le martyrise pour monter des jetons. Dans ce cas, il faut se montrer aggro, aggro et toujours plus aggro. Sinon, je patiente. Je note les joueurs qui paient cher une relance hors position et j’en profite quand j’ai du jeu. Et puis quand je repère un fish à ma droite ou à ma gauche, je fais tout de suite ami-ami avec lui pour mieux le déstacker.

Quel type de joueur es-tu ?
Appliqué, prudent, stratège. L’inverse d’un flambeur. Je n’ai spew réellement qu’une fois en voulant surjouer un adversaire qui me surjouait. Grave erreur que je me suis promis de ne jamais recommencer. J’aime la vie, j’ai le respect de l’argent, je ne joue pas pour la frime et je sais mettre mon ego de côté. Être père m’a beaucoup aidé. Non seulement tu sais pourquoi tu te lèves le matin, mais pour qui.

Live ou online ? Tournoi ou cash-game ?
Le cash-game est exclu pour la bonne raison que je ne risque jamais mon propre argent. Pour les tournois, je pratique beaucoup le online qui est, à mes yeux, la meilleure école. C’est mon lever de rideau pour le live qui reste le Graal du poker. J’aime m’asseoir à une table, m’imprégner de l’ambiance
électrique, entendre le bruit des jetons, jauger mes adversaires. J’ai pas mal lu de bouquins sur les tells, en particulier Poker Tells de Joe Navarro, un ex-agent du FBI. J’ai étudié les postures, les taiseux comme les bavards… J’ai repéré, entre autres, que ceux qui parlent beaucoup avant de mettre tapis comme ceux qui surjouent la fébrilité sont souvent max. Et quand j’ai des pros à table, comme je sais qu’ils sont meilleurs que moi, j’observe leur manière de jouer en regardant les vidéos de leurs tournois précédents et je joue très tight. Et puis, si je n’ai pas d’infos fiables contre eux et que je doute dans un coup, comme dit Davidi Kitai : « Il n’y a pas de honte à faire le lâche. »

As-tu l’impression de progresser ?
Au début oui, mais plus vraiment aujourd’hui. Pour y arriver, il faudrait que je m’entraîne quatre heures par jour. C’est trop chronophage. J’ai une famille, une femme (Inès), trois enfants (Aliya : 6 ans, Ali : 2 ans et Aya :
un an), et un boulot télé. Mais j’ai quand même mon petit bagage. J’ai appris par coeur la table de Nash et je compile toutes les statistiques imaginables sur mon iPhone.

Ton meilleur souvenir ?
J’en ai deux. Ma victoire lors d’un side à 225 € du Winamax Poker Tour en 2012 où j’ai empoché 10k et ma 472e place au Main Event des WSOP en juillet 2018 à Vegas. Nous étions 7 874 concurrents au départ et je suis reparti avec 29 625 $. Lors- du Day 3 qui s’est terminé à une heure du matin, je me suis retrouvé dans le top 10. J’étais tellement euphorique que je n’ai quasiment pas dormi de la nuit. Je ne pouvais pas m’empêcher de cogiter : soit je me voyais en table finale, soit je sortais sur la première main ! Bilan, je suis arrivé très fatigué et j’ai perdu quasi tous mes jetons avec QQ, puis mes cinq dernières blindes avec KK contre Q3 ! Mais quel pied !

Par Philippe Lecardonnel

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